Élection fédérale 2009

Justin Trudeau parle de Michael Ignatieff



Justin Trudeau explique pourquoi il ne croit pas que Michael Ignatieff soit à la hauteur de son père, l'ancien Premier ministre Pierre Elliott Trudeau (13 novembre 2006).

Best answer to the Quebec question? A majority

Things will change only when someone is able to win a majority without substantial Quebec support.


Angelo Persichilli - Here we go again. With an election (or at least the chance of one) around the corner, the media have already started the guessing game about Quebec. "There isn't anything in the two federalist parties right now that a lot of Quebecers would be attracted to," a political scientist from Montreal told a national newspaper this week. If we go to the polls, there are many issues t...

The Bloc paradox

Never beaten at the polls and never farther from its cardinal ambition, the party is a victim of its own success


Bloc Quebecois Leader Gilles Duceppe takes questions during a news conference on Sept. 2, 2009, in Bois-des-Filions, Que. *** Apart from the Alberta Progressive Conservatives, the Blo...

Campagne électorale

L'adversaire du Bloc aura deux têtes



Chose certaine, le Bloc entamera la campagne avec des sondages favorables. Hier matin, une enquête Strategic Counsel réalisée pour CTV et le Globe and Mail accordait ainsi 49 % des intentions de vote des Québécois au Bloc.

La pub des Libéraux: une insulte pour le Québec



Aussi, à moins que le Bloc québécois se décide enfin à faire de la question de la guerre en Afghanistan – une guerre qui nous coûte 200 millions $ par mois – un enjeu électoral, les Libéraux et les Conservateurs n’en parleront pas au Québec. Ils feront campagne uniquement sur des enjeux « domestiques ». Ce qui ne les empêchera pas, cependant, d’envoyer des soldats québécois se faire estropier et mourir dans la région de Kandahar pour la plus grande gloire du Canada.

Pourquoi des élections?



Des élections? Fort bien, mais pourquoi? Parce que le gouvernement Harper n'a rien fait contre la pluie qui a gâché les vacances de juillet? Parce que la pelouse est plus belle au 24, Sussex qu'à Stornoway? Parce qu'à 62 ans, on n'a pas de temps à perdre si l'on veut faire deux mandats comme premier ministre? Je blague, bien sûr, mais le fait est que quatre ans après son entrée en politique et huit mois après...

La famille libérale

Après des années de relations acrimonieuses, la paix semble enfin revenue dans la grande famille libérale.


Même si Jean Charest et Michael Ignatieff n'ont pas beaucoup d'affinités sur le plan personnel, le départ de Stéphane Dion, puis l'arrivée au PLC de l'ancien ministre Jean-Marc Fournier et de l'ancien président du PLQ, Marc-André Blanchard, ont créé un climat plus amical. M. Charest sait très bien que le Parti conservateur n'a plus grand-chose à voir avec celui dont il était jadis le chef. S'il a pu entretenir un te...

Gilles Duceppe a raison



Bien sûr, l'idée émane cette fois-ci du Bloc. C'est embêtant. Mais que voulez-vous, il se trouve qu'en matière de sécurité publique, le Bloc québécois fait un travail particulièrement brillant. Les propositions de Gilles Duceppe et Serge Ménard (annoncées mercredi) pour lutter contre les crimes financiers sont équilibrées, réalistes et intéressantes. Parmi elles, l'abolition de la libération au sixième, réclamée sans relâche par le Bloc. Les conservateurs devraient nous donner une seule bonne raison de ne pas être d'accord au moins avec ça.

La revanche des urnes...

Vers des gains libéraux au Québec

Le Bloc demeure largement favori chez les francophones


Les trois grands partis fédéralistes ont toutefois une côte à remonter pour rattraper le Bloc québécois dans les intentions de vote chez les francophones, qui décident du sort de 80 % des 75 circonscriptions de la province. Ainsi, le Bloc récolte 42 % chez les francophones, contre 26 % pour le Parti libéral, 15 % pour le NPD et 14 % pour le Parti conservateur.

Un pays paralysé



Nous verrons donc s'il y aura des élections cet automne. Et donc, si le PLC, le Bloc et le NPD tenteront de "débloquer" un Parlement de plus en plus sclérosé par l'entêtement d'un homme incapable de gouverner de bonne foi en bon chef de gouvernement minoritaire.

Ottawa - Jouer son va-tout



Tout indique que les Canadiens seront bientôt appelés de nouveau aux urnes. Les partis d'opposition, qui n'ont jamais accepté le verdict rendu par les électeurs le 16 octobre dernier, sont désormais en mesure de faire tomber le gouvernement de Stephen Harper. Après des mois de tergiversations, le Parti libéral de Michael Ignatieff se dit prêt à joindre sa voix à celles du Bloc québécois et du NPD lors d'un prochain vot...

L'épouvantail



Le chef libéral, Michael Ignatieff, a effacé tout doute quant à la tenue d'élections générales cet automne. En multipliant les déclarations-chocs du genre «Le temps de Stephen Harper est terminé», M. Ignatieff et ses lieutenants ont coupé les ponts qui leur auraient permis de reculer au moment décisif. Les conservateurs ont répliqué en évoquant l'instabilité que provoquerait une campagne électorale alors que ...

Riding the rails to government?

As part of a broader economic vision, high-speed rail has much to recommend it


Early morning sun lights up the train tracks that run under the Bathurst St. bridge in Toronto. *** For all the feasibility studies, ...