Commentaires publiés dans les dernières 24h

  • Featured 08e89f9ca3ccd008612a57afbfe02420

    Chaque fois qu'un auteur affirme ses convictions nationalistes et identitaires, il se trouve un endoctriné aux médias wokes pour s'en formaliser.   Mais de plus en plus, les médias à l'idéologie wokiste anti-Nous se voient dénoncés et abandonnés en raison de leur parti-pris biaisé.   La chroniqueuse émérite Sophie Durocher nous en fait part:   Le journaliste américain Uri Berliner vient de publier dans Free Press, un texte qui dénonce les dérives et les dérapages «Équité, diversité et inclusion» du réseau de radio américain NPR wokisé.   NPR était «ouverte et curieuse» mais elle est rendue «militante et donneuse de leçons», dit Berliner. Le plus gros problème: l’absence de diversité de points de vue. Alors qu’avant NPR représentait des opinions des conservateurs et des progressistes, des démocrates ET des républicains, elle penche maintenant seulement d’un côté. «Il existe un consensus tacite sur les histoires que nous devrions couvrir et sur la manière dont elles devraient être formulées. Une histoire après l’autre sur des cas de racisme présumé, de transphobie, de signes de l’apocalypse climatique, d’Israël faisant quelque chose de mal et de la menace désastreuse des politiques des républicains. C’est presque comme une chaîne de montage.» Uri Berliner écrit aussi que «Nous avons abordé la guerre entre Israël et le Hamas et ses répercussions dans les rues et les campus à travers le prisme “intersectionnel” qui est passé des salons universitaires aux salles de rédaction. Oppresseur contre opprimé. Cela signifiait mettre en lumière les souffrances des Palestiniens à presque chaque instant tout en minimisant les atrocités du 7 octobre, en négligeant la façon dont le Hamas met intentionnellement les civils palestiniens en péril et en accordant peu de poids à l’explosion de la haine antisémite dans le monde». Au sujet de la mort de George Floyd, Berliner écrit qu’au lieu de se demander si le racisme systémique existait, les patrons de NPR le tenaient pour acquis et s’autoflagellaient de leur «privilège blanc» et de leurs «biais inconscients». Les questions de race et d’identité sont devenues des obsessions. «Les journalistes devaient demander à toutes les personnes interviewées quels étaient leur race, leur sexe et leur origine ethnique (entre autres questions) et devaient les saisir dans un système de suivi centralisé. Nous avons suivi des séances de formation sur les préjugés inconscients. Des dialogues mensuels ont été proposés aux “femmes de couleur”, aux “hommes de couleur” et aux personnes de couleur non binaires». Il affirme que des groupes d’employés militants ont dicté ce qui pouvait être dit en ondes, comme l’interdiction de parler de «sexe biologique». Le très sérieux Financial Times dit que «Tous les journalistes devraient lire son texte», qui est «une mise en garde sur la façon dont une idéologie distortionne les valeurs journalistiques et s’aliène le public».   (fin de la citation)   Source: https://www.journaldemontreal.com/2024/04/18/quand-les-wokes-trouvent-les-wokes-trop-wokes   Il est facile de voir abusivement du racisme et de la xénophobie partout lorsqu'on s'oppose à la défense de l'identité collective de chaque nation, mais rappelons que c'est nous qui avons raison! Défendre sa patrie, c'est la base de l'appartenance à sa nation.   Recommandation nationaliste: ne laissez aucun endoctriné servile vous reprocher de défendre votre nation, le peuple dont vous descendez en droite ligne et qui mérite à lui seul son propre pays.   Comment répondre aux accusations infondées de xénophobie, de racisme: Soyons nationalistes parce que nous sommes Québécois         Soyons nationalistes parce que nous sommes Québécois         À lire: Ce qui est du racisme et tout ce qui ne l'est pas en 25 exemples éclairants