23- Faire adopter des mesures restrictives muselant la liberté d'expression qui vont toujours dans le même sens (même les humoristes ne peuvent plus rien dire)

L'humoriste québécois Martin Petit a "osé" parlé des pro-hamas. Une quarantaine de ces extrémistes prêts à tous sont venus l'intimider à la salle de spectacle où il était pour le faire taire.

Martin Petit raconte:

«Ils étaient donc une quarantaine. Ils ont mobilisé des policiers et mis un stress sur les employés du Bordel, le tout pour espérer mettre des limites à un humoriste et sa liberté d’expression, a-t-il ajouté. Je sympathise avec tous les juifs de Montréal qui vivent depuis 14 mois dans ce climat d’intimidation.»

Dans son segment sur Israël, Martin Petit, avec son personnage de «l’humoriste masqué», parlait des gens qui militaient de façon «pacifique» depuis 14 mois. «Ça arrache du gazon à McGill, ça terrorise les juifs et ça dit que tous les juifs devraient mourir, mais de façon pacifique selon Valérie Plante et le service de police.»

Source: Martin Petit ciblé par les pro-hamas

Ces dangereux extrémistes qui s'en prennent aux nôtres doivent tous être expulsés du pays.

À lire: Les immigrés qui apportent les conflits de leur pays chez nous devraient être bannis

Un autre d'entre eux vient de tuer son voisin.

Tous les signes annonciateurs étaient pourtant présents, mais les autorités n'ont rien fait, comme d'habitude.

Son propriétaire:

«Ç’a commencé en mai environ. Guy me disait qu’il entendait des voix et qu’il venait de passer un mois en psychiatrie. Je n’ai jamais eu de problèmes avec avant», soupire Sylvain Carrier, toujours sous le choc.

D’ailleurs, son locataire aurait même arrêté de payer son loyer depuis l’été.

«Mardi soir, Guy a crevé les pneus des voisins. La police aurait dit qu’elle ne pouvait rien faire pour ça. Je me suis demandé s’ils attendaient qu’il tue quelqu’un pour agir. Le lendemain, Patrick est mort...», confie au Journal Sylvain Carrier, propriétaire du triplex où s’est déroulé le drame sur la rue Saint-Gérald.

Source: Fou de l'asile dangereux laissé en liberté

Changez toutes les lois qu'il faut pour protéger la population et enfermer les fous de l'asile.

Des Ukrainiens vivant au Canada appréhendent d'être obligés de retourner dans leur pays. Ils craignent d'être contraints de combattre sur la ligne de front. Une nouvelle loi ukrainienne exige de s'inscrire auprès de l'armée afin d’obtenir certains services de leur ambassade. Sans cette inscription, ils ne peuvent ni renouveler leur passeport, ni obtenir un nouveau permis de travail ici au Canada.

Voyez le reportage vidéo de Radio-Canada ici.

Au nom de quoi devrait-on les laisser se la couler douce installés bien confortablement chez nous, profitant de tous nos services, au lieu d'aller défendre leur patrie? On ne doit pas encourager la couardise, la lâcheté, la fuite.

Ton pays est en danger, tu le défends.

Les Ukrainiens sont 1 400 000 au Canada. Que le gouvernement canadien les renvoie tous contribuer à l'effort de guerre sans tarder, plutôt que de se montrer complice des lâches et des poltrons.

Les faits alarmants sont sans équivoque:

89 % des attentats terroristes en Europe ont été perpétrés par des « immigrants » de deuxième et troisième générations et par des immigrants de première génération, qu’ils soient réguliers ou irréguliers. Il existe donc une corrélation statistique entre immigration et terrorisme.

65 (47 %) des 138 terroristes enregistrés dans la base de données START InSight sont des migrants réguliers ; 36 (26 %) sont des immigrants de deuxième ou troisième génération ; 22 (16%) sont des immigrants irréguliers. Ce dernier chiffre est en hausse et représente 25% des auteurs en 2020.

(fin des citations)

Source : Lien direct entre immigration et augmentation du terrorisme

C'est la nette impression qui se dégage de la situation en France très islamisée, où des quartiers et villages entiers sont devenus musulmans et dangereux.

Il faut changer la loi pour que ces criminels de seconde génération puissent être expulsés au pays de leurs parents dans le but de s'en débarrasser pour de bon.

À lire: Les dizaines de milliers d'attentats islamistes dans le monde 1979-2024

Il est heureux que certains politiciens aient le courage d'affirmer maintenant une telle évidence.

Le chef du Parti conservateur du Canada, Pierre Poilievre, appelle les autorités à expulser du pays tout étranger qui aurait participé à la casse entourant une manifestation de vendredi dernier, à Montréal.

« Les gens qui ne sont pas des résidents permanents ou citoyens, qui ont brisé les lois, devraient être expulsés du Canada de façon permanente », a-t-il formulé lundi au micro de l’animateur Mario Dumont sur les ondes de LCN.

Le chef de l’opposition officielle a été choqué par les vidéos montrant des manifestants contre l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN) briser des vitres, incendier des voitures et commettre d’autres méfaits trois jours plus tôt. Il promet des « lois sévères pour mettre en prison ceux et celles qui brisent la propriété des gens », ainsi qu’une protection accrue de la frontière « pour empêcher l’entrée au Canada de ce type de personnes violentes ».

Source: Dehors les fauteurs de trouble étrangers!

Ci-dessus: territoire conquis: zone en rouge

Le pire en question, c'est le maintien de langues étrangères qui se renforcent et deviennent langue de communication au quotidien au Québec même, ce qui est mal.

Un chroniqueur renommé constate avec dépit que Laval est devenue une ville arabe!

Je le cite:

On y parlait d’une famille libanaise installée à Laval depuis quelques mois. Je cite la mère: «On aime Laval. C’est comme si on était au Liban! Il y a plus d’Arabes que de Québécois ici.»

La journaliste complète son propos: «Ce multiculturalisme est un atout pour son mari [...], qui ne maîtrise pas encore bien le français.» Avant de redonner la parole à la mère: «Ici, il est à l’aise dans sa langue.»

Immigration

Première chose: pour cette dame, Laval n’est pas culturellement québécoise. On comprend par ailleurs qu’elle ne se contente pas d’une définition strictement juridique de ce qu’est un Québécois. Pour elle, un Québécois appartient à la majorité historique francophone. Et elle se réjouit que les Québécois soient en minorité. Cela lui permet de vivre dans sa communauté d’origine sans prendre le pli de son pays d’accueil.

Elle veut des avantages de la société québécoise, sans subir les Québécois, qui, trop nombreux, l’encombreraient. J’ai envie d’écrire: heureux de savoir qu’on ne la dérange pas!

Deuxième chose: cette situation fait en sorte que son mari n’a pas à parler français, que sa non-maîtrise de la langue nationale n’est pas un obstacle pour sa vie au quotidien. Retenons-en une leçon: malgré les grands discours gouvernementaux, le français n’est pas nécessaire au Québec. Pour que les étrangers se sentent chez eux chez nous, nous devons désormais nous sentir étrangers chez nous.

Source: Laval, ville arabe

Article de La Presse dont la journaliste diversitaire se réjouit de la situation

(fin des citations)

Rien que les Libanais établis à Laval dépassent les 20 000 habitants, assez pour former une ville entière rien qu'à eux. Et c'est sans parler de tous les autres arabes qui y sont incrustés.

Source: Nombre de Libanais à Laval

Témoignages de citoyens qui ne se sentent plus chez eux

Lorsqu'on affirme qu'il faut éviter de laisser entrer au pays des ethnies dont la langue ne s'efface pas mais se maintient, on en a le plus récent exemple avec ces immigrés libanais dont le mari ne parle pas français et qui se réjouit de pouvoir vivre en arabe à Laval.

Ces étrangers qui le restent se vantent de ne pas avoir à se mêler aux de souche et de pouvoir se tenir à l'écart de tout contact avec eux, ce qui leur fait pousser un soupir de soulagement.

Il est clair que de tels immigrés ne méritent pas de vivre au Québec. Eux et leurs semblables doivent être relocalisé ailleurs hors-Québec ou renvoyés chez eux, le second choix étant de loin préférable.

Leur nombre grandissant est une menace directe à la survie de notre nation. Ce type d'immigrants nuisibles doit être bloqué.

La plus récente tuerie de masse en Louisiane, commise le jour de l'an 2025 par un musulman islamiste du nom de Shamsud-Din Jabbar, le démontre.

Ce qu'il faut retenir, c'est le caractère haineux inné qui devait exploser tôt ou tard, la facilité naturelle à se radicaliser, et la folie homicidaire qui s'empare de ces gens-là, qui restent dans cet état second jusqu'au passage à l'acte. Ils ne deviennent que haine envers l'humanité.

Les médias révèlent que le musulman islamiste du nom de Shamsud-Din Jabbar avait été élevé chrétien, mais qu'il s'était converti à l'islam. Cela démontre que cette religion convient mieux aux esprits dérangés destructeurs qui s'en servent comme prétexte pour exprimer leur haine intérieure par des actes horribles.

Plus on laissera entrer au Québec des êtres semblables au musulman islamiste du nom de Shamsud-Din Jabbar, plus grand sera le risque que certains d'entre eux fassent de même et passent à l'acte.

Une société civilisée ne peut courir de tels risques.

Nous ne pouvons laisser s'installer dans tous les quartiers de nos villes des bombes à retardement potentielles comme le musulman islamiste Shamsud-Din Jabbar. Tôt ou tard, l'étincelle homicidaire s'allumera chez l'un d'eux. Un de plus, un de trop. Pas de ça ici.

Source: La haine innée de type islamique

L'attaque du musulman islamiste du nom de Shamsud-Din Jabbar vient s'ajouter aux près de 50 000 autres attentats terroristes islamistes ayant tué 210 000 personnes.

Selon Fondapol, entre 1979 et mai 2021, au moins 48 035 attentats terroristes islamistes ont eu lieu dans le monde, causant la mort d'au moins 210 138 personnes. Durant cette période, chaque attaque islamiste a entraîné la mort d'environ 4,4 personnes en moyenne. Le type d'arme le plus couramment utilisé sont les explosifs (43,9 %). La cible principale de ces attaques est l'armée (31,7%), suivie par les civils (25,0%) et les forces de police (18,3%). L'Afghanistan est le pays le plus touché par le terrorisme islamiste, suivi de l'Irak et de la Somalie. Avec au moins 82 attentats islamistes et 332 morts, la France reste le pays le plus touché par le terrorisme islamiste au sein de l'Union européenne.

Voir ici la liste détaillée de tous les milliers d'attentats commis au nom de l'islam

Plus que jamais, soyons fiers d'être Québécois!

L'étranger immigré mexicain latino nommé Salvador Ramirez-Nolasco avait trois fois la limite d'alcool dans le sang et avait consommé du cannabis lorsqu'il a percuté le véhicule conduit par Mario Fleury, qui est mort à 59 ans.

Les brutes acéphales comme l'étranger immigré mexicain latino nommé Salvador Ramirez-Nolasco doivent être expulsés du pays à leur sortie de prison.

Source: l'étranger immigré mexicain latino nommé Salvador Ramirez-Nolasco reconnu coupable

L'étranger immigré congolais de race noire ivre-mort du nom de Falanka-Yves Kiona s'est engagé à contresens sur l'autoroute Laurentienne avant de percuter de plein fouet le véhicule de Dominic Gauthier à la hauteur de Stoneham. Il conduisait avec un taux de 151 mg d’alcool par 100 ml de sang, soit près du double de la limite permise.

L'étranger immigré congolais de race noire ivre-mort du nom de Falanka-Yves Kiona se déclare innocent:

C'est juste un accident, un manque de jugement, s'est-il justifié.

L'étranger immigré congolais de race noire ivre-mort du nom de Falanka-Yves Kiona affirme que dans son pays, on n'en ferait pas tant de cas, que ce ne sont que des banalités.

L'étranger immigré congolais de race noire ivre-mort du nom de Falanka-Yves Kiona doit être expulsé du pays à sa sortie de prison.

Source: L'étranger immigré congolais de race noire ivre-mort du nom de Falanka-Yves Kiona reconnu coupable

Rien qu'en Europe, il est classé parmi

Les 100 qui font l'opinion : le numéro 34, Mathieu Bock-Côté.   Pas mal, n'est-ce pas?

Voici comment il voit la lutte au wokisme.

Début des extraits fournis par la page Facebook du Parti québécois:

MBC nous donne une description du wokisme et des wokes très juste de cette pathétique et hallucinante réalité...

Il est temps que nous dénoncions les ravages du wokisme chez-nous; cette réalité empoisonne et gangrène notre Québec qu'on reconnaît de moins en moins. Et "non" le wokisme N'EST PAS un trait de l'extrême droite ni même de la droite comme l'énonce clairement MBC : "Le wokisme prend le relais du communisme dans l’histoire de la gauche totalitaire."

Merci à MBC pour cette lecture (ci-dessous) lucide du wokisme.

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Mathieu Bock-Côté

Lundi, 25 novembre 2024 15:30

DÉFINISSONS LE WOKISME (QUI EST UN TOTALITARISME)

Paul St-Pierre Plamondon est parvenu, depuis une semaine, à remettre la question du wokisme au cœur de l’actualité. Mais il n’y serait pas parvenu si sa critique ne rejoignait pas un profond ras-le-bol dans la population, qu’il a su exprimer vigoureusement.

Combien sont-ils à s’être mis la tête dans le sable pendant des années avant de reconnaître aujourd’hui que ce mouvement, que j’ai qualifié dans mon livre La révolution racialiste, en 2021, de virus idéologique, dévore les sociétés qu’il contamine, en les plongeant dans une forme de névrose collective?

Définissons le wokisme:

Le wokisme est fondé sur une vision paranoïaque de la civilisation occidentale, qu’il assimile à un complexe néocolonial de systèmes discriminatoires (racisme, sexisme, hétéropatriarcat, etc.) poussant à la répression des minorités ethniques et sexuelles par une série de discours haineux phobiques, au service de l’homme blanc hétérosexuel, qui en serait le fondement et le bénéficiaire exclusif.

Cette vision prend la forme d’une révélation religieuse inconsciente d’elle-même, convaincue d’incarner le bien, et surtout convaincue que ceux qui s’opposent à elle sont dans le mal absolu.

J’ai parlé d’une révélation religieuse. C’est que le wokisme, son nom le dit, est une doctrine de l’éveil, censée nous délivrer de notre sommeil dogmatique occidentaliste. Qui se délivre de cette illusion découvre alors un monde à ce point horrible qu’il en est souvent pris de tremblements – et je ne dis pas cela qu’au sens imagé, car nous avons tous vu des wokes, qu’on aime piquer en les appelant les cheveux bleus, basculer dans l’hystérie lorsqu’ils manifestent contre la venue d’un conférencier qu’ils n’aiment pas, ou lorsqu’ils se rassemblent en meute pour hurler la haine de notre monde.

Le wokisme croit se présenter comme une prise de conscience.

Celui qui s’ouvre les yeux, surtout s’il appartient à la majorité, doit entrer dans un processus pénitentiel sans fin, où il devra déconstruire ses privilèges – mais il s’agit d’une expiation sans rédemption, car le péché occidental a laissé une marque indélébile en lui.

Il doit donc être en situation de vigilance permanente pour ne pas retomber dans ses travers «héréditaires» et en faire toujours plus pour demeurer «éveillé» et devenir un allié des «minorités», dont les revendications deviennent sa boussole morale et idéologique.

Qui ne donne pas immédiatement raison à ces revendications est accusé de déshumaniser les «minorités».

Le wokisme, on l’aura compris, fonctionne à la censure, car il nomme «discours de haine» tout propos qui ne reprend pas exactement la définition que les «minorités» donnent d’elles-mêmes (on aura compris qu’on parle moins des vraies minorités ici que de ceux qui prétendent parler en leur nom, avec des revendications toujours plus hystérisées).

Ainsi, la moindre réserve exprimée à l’endroit d’un homme se prenant désormais pour une femme au nom de son «ressenti de genre» est assimilée à un discours haineux.

Le rappel de l’existence d’une réalité qui ne vient pas se dissoudre dans les fantasmes des uns et des autres passe pour un discours haineux, caractéristique de «l’extrême droite».

Celui qui n’est pas woke est un réactionnaire, accroché à l’humanité d’avant la révélation diversitaire. Il faut donc le traiter comme le bois mort de l’humanité.

Le wokisme prend le relais du communisme dans l’histoire de la gauche totalitaire.

J’en vois certains vouloir sauver le wokisme des dérives qu’on lui prête. C’est ne pas comprendre que le wokisme est une dérive lui-même, dès ses origines.

La société libérale est parfaitement capable de corriger elle-même les injustices qu’elle génère inévitablement, sans verser dans cette idéologie qui pousse à un contrôle social intégral, car il est jugé nécessaire, par exemple, pour combattre le «racisme systémique», qui serait constitutif de l’ordre social.

Ce rêve d’un contrôle social total, politisant jusqu’à l’intimité, est au centre de la doctrine EDI (équité, diversité, inclusion), qui est un wokisme managérial, aujourd’hui hégémonique dans les entreprises, et particulièrement dans le domaine des ressources humaines.

Quand nous voudrons vraiment lutter contre le wokisme, nous devrons démanteler tout ce qui touche à l’EDI. C’est le wokisme cravaté. Il est bien plus dangereux que celui des cheveux bleus.

Je note une chose: le wokisme s’appuie sur une sociologie absolument simpliste, détachée de la complexité des sociétés réelles, empiriques.

On le voit dans sa définition du supposé racisme systémique, qui est une théorie conspirationniste bête à manger du foin.

Elle fonctionne ainsi: elle constate une disparité statistique entre certains groupes, identifiés par la bureaucratie diversitaire, et en conclut que cette disparité ne peut s’expliquer que par l’existence d’un système discriminatoire implicite produisant ces «inégalités».

Elle néglige au même moment des hypothèses sociologiques bien plus fécondes pour expliquer ces disparités, qui n’ont rien à voir avec le racisme.

On le voit notamment lorsqu’il est question du soi-disant «profilage racial» dont se rendrait coupable la police, ce qui est une immense sottise.

Je note une autre chose qui n’est pas sans intérêt.

Pendant un bon moment, la gauche fut fière d’être woke. Elle l’est encore souvent en expliquant que de son point de vue, le wokisme n’est rien d’autre qu’un engagement pour la justice sociale.

Mais voilà, l’étiquette s’est retournée contre elle, et cela, pour la première fois depuis longtemps. Elle ne sait plus vraiment quoi faire.

Alors après nous avoir expliqué que le wokisme était le sommet de la vertu, elle nous explique désormais qu’il n’existe pas.

C’est bien la première fois que la gauche radicale perd ainsi, sur une question importante, une bataille rhétorique. Elle se désole même qu’on lui colle une étiquette (qu’elle revendiquait, je le redis) alors que l’essentiel de son travail théorique consiste depuis longtemps à forger des concepts-étiquettes pour disqualifier ses contradicteurs.

Il faut dire qu’elle fonctionne toujours ainsi.

Elle nous explique que l’immigration massive n’existe pas tout en ajoutant qu’elle est formidable, nécessaire, et que sans elle, nos sociétés basculeraient dans l’intolérance et le repli sur soi.

Elle nous explique que les excès du féminisme n’existent pas et en même temps, elle les justifie en disant que nos sociétés ont été à ce point dominées par le patriarcat que ces excès sont non seulement pardonnables, mais légitimes et nécessaires.

Elle nous explique désormais que le wokisme n’existe pas, mais qu’il est absolument vertueux et que nous devrions avoir honte de ne pas être wokes.

Il est nécessaire d’être antiwoke, pour peu qu’on se veuille sincèrement démocrate, libéral, soucieux du pluralisme, soucieux aussi d’une vie publique équilibrée, faisant droit à la diversité des points de vue, et refusant de réduire la politique à un combat des gentils contre les méchants.

J’ajoute, d’un point de vue québécois, qu’il est heureux que les nationalistes s’emparent de la critique du wokisme, car elle trouve un écho dans la conscience populaire.

Le wokisme est un totalitarisme.

Et le nationalisme québécois est aujourd’hui en partie un antiwokisme (bien qu’il ne se réduise pas à cela, évidemment, car la vie collective ne s’épuise pas dans cette question).

Cette bataille doit être menée, et PSPP la mène bien.

(fin du texte explicatif de Mathieu Bock-Côté)

Source: Définissons le wokisme (qui est un totalitarisme)

Au Québec, nous avons donc le Parti québécois comme allié pour combattre cette idéologie maléfique. Un Québec libre saura se libérer des entraves à son essor, à commencer par le wokisme anti-national.

Toujours au Québec, l'Actualité a placé Mathieu Bock-Côté au 12è rang des personnalités les plus influentes en 2024, à la hausse.

Le palmarès des 100 personnes les plus influentes du Québec

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l’équipe de L’actualité, collaboration à la recherche et à la rédaction : Jean-Philippe Cipriani

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