Si les deux textes n'avaient attirés aucune critique tant sur le style que sur le fond, je donnerai raison au Comité Canada-Israël.
Ce n'est pas le cas. Dans mon cas je n'ai pas hésité à parler de délire dans un cas, dans un autre un collaborateur a rapidement fait le lien avec le Protocle des Sages de Sion. Dans les deux texte cités, il y a eu des critiques sévères. Accuser Vigile d'antisémitisme est donc de la pure invention et est d'une incroyable malhonnêteté intellectuelle.
Le comité écrit-il une révision du Guide des égarés du grand Moïse Maïmonide, qui au lieu de faire l'éloge de la raison ferait celle de l'imbécilité? Il faut poser la question.

Madame David, vas devoir ramener –une fois de plus- à la raison ce qui est un des seuls succès politique de Madame Marois : L’élection d’Omar Khadir. Car, il faut être honnête et connaître quelques militants de Mercier pour savoir que Madame Marois était fort heureuse de voir disparaître Monsieur Turp de son entourage. Et de bloquer le chemin à ce qu’il y a de plus dangereux chez Québec Solidaire : Françoise David. Le DGE, source de toutes les merveilles, offre gratuitement à la population les résultats détaillés des élections, allez-y voir, même un véritable aveugle pourrait le faire, et constater que dans Mercier, lors de la dernière élection, Monsieur Khadir a gagné dans les bureaux de scrutin anglophones (ceux de l’ouest de la circonscription) par des scores de 2 :1 ,qu’il n’a pas répété vers l’Est.
Fin de la parenthèse.
Que l’on rouvre immédiatement. Le Journal de Montréal de l’infâme empire du mal a publié il y a quelques semaines une belle photo de Papa Khadir avec son affiche sandwich, English on front…
Maintenant pour les choses sérieuses.
L’éducation post-secondaire (ce qui exclut les universités) relève des ministères de l’éducation au Canada. C’est le prolongement du parcours scolaire. Les mots ayant un sens, le scolaire n’est pas universitaire. La seule chose qui fonctionne vraiment dans le Canada est le Conseil des ministres de l’éducation du Canada http://www.cmec.ca/About/Pages/default_fr.aspx qui n’aborde jamais le secteur universitaire. Que cela déplaise royalement aux professeurs de Cegep ils ne sont pas des pré-professeurs-universitaires mais des enseignants post-secondaire.
Le Québec n’a pas besoin d’étendre la Loi 101 aux Cegeps, elle s’y applique déjà.
Tout le monde sait que la création des Cegeps fût le seul moyen qu’eu l’Union National pour faire lâcher le morceau du collégial des communautés religieuses qui les contrôlaient presque entièrement. C’est une aberration purement québécoise qui coûte une fortune à l’état. Tous étant de petits royaumes qui se croient investis d’une mission. Foutaise, mais c’est un autre débat. Dans le cadre nord-américain et même mondial, ce sont de gros « senior high school » avec des campus à la californienne, mode des années 60 exige. Cela ne change en rien le fait qu’ils relèvent de l’enseignement primaire-secondaire-post-secondaire.
Maintenant, pour les choses sérieuses. Toutes les universités nord-américaines EXIGENT que leurs étudiants connaissent la langue de leurs états, par des tests standardisés. L’Université d’Ottawa en a deux, un anglais http://www.ilob.uottawa.ca/fr/cantest.php et l’autre français http://www.ilob.uottawa.ca/fr/testcan.php . Mon aveuglement me pousse à y voir un excellent emprunt. Que pour les admissions en 2012 dans TOUTES les universités du Québec l’ensemble des étudiants se voient imposés de passer cet excellent test de compétence linguistique en français dont l’objectivité ne peut être mise en doute puisqu’il est réalisé à Ottawa. Les étudiants fréquentant les universités de langues anglaises devant réussir les deux, il va de soi.

L’aveugle vas tenter de ne pas trop se dévoiller mais il y a des coups de cannes qui se méritent.
Les premiers à PKP qui n’est pas son papa, mais qui n’est pas le monstre que la go-gauche aime décrire. Naturellement il est l’empire du mal… Le mal de l’Indépendance naturellement, pas celui du pays le plus beau univers de … de la famille du gendre de celui qui parlait ainsi. C’est dans les journaux de ceux-ci naturellement que l’on trouve des photos de Jacques Parizeau à la moindre occasion… C’est dans les pages de ceux-ci que l’on présente le papa des favoris de la go-gauche avec sa pancarte dans la langue que l’on devrait parler. Mais niveau relation humaine, l’aveugle admet que PKP n’est pas son papa et il a vu de très près les deux, surtout papa.
Maintenant dans le vif du sujet. Miraculeusement, les ‘journalistes’ du Journal de Montréal sont devenus des héros de la guerre contre l’Empire du Mal (Québécor, pas Gesca) et des modèles de petits syndicalistes parfaits. Disons qu’à la Fédération nationale des communications, ou loge le syndicat des travailleurs du Journal de Montréal on était réaliste. On n’aime pas le dire, mais ce n’est pas 250 journalistes qui étaient en grève. Il y avait aussi des employés de soutiens administratifs que l’informatique rend caduques et on en passe. À la FNC, la semaine précédant le lock-out, on s’attendait à une petite grève de quelques jours, le temps de sauver les meubles, de pleurer les pertes d’emplois de camarades épleurés victimes de la mondialisation et hop on continue comme avant. En fait, il y aurait aujourd’hui à peu près le même d’employés au JdeM selon ce qui se discutait alors. Et une grève en janvier-février dans les médias, ce n’est pas tellement grave. Sauf qu’entre jeudi et dimanche quelque chose a cloché. Quoi, l’aveugle n’en sait rien. Le résultat est connu.
C’est quoi être un pauvre travailleur de l’information au JdeM? Primo être solidaire syndicalement! Ne pas franchir de lignes de piquetages quant Péladeau-Père mets les pressiers au pas et fait imprimer le JdeM en Ontario! Refuser systématiquement de voir leurs textes publiés quand les infimes écœurants de Ch..de Ta.. de Ca… de syndiqués pourris vendus à la FTQ du Journal de Québec nous demande de les aider.
Vous en voulez une belle job? Journaliste au sport au JdeM, temps supplémentaire à la huitième heure en tournée suivant une équipe sportive. Ils faisient combien par semaine nos pauvres travailleurs en piquetages déjà?
Revenons à Québec. Les infimes écœurants de Ch..de Ta.. de Ca… de syndiqués pourris vendus à la FTQ du Journal de Québec sont pognés avec un syndicat crève-le-cœur qui ne leur paiera pas deux ans à se pogner le beigne; ce n’est pas le genre de la FTQ. Quelques jours après le début du conflit, les Presses du Fleuve imprime un journal de grévistes. Il faudra attendre décembre 2010 pour que sorte une édition papier de Rue Frontenac avec un numéro spécial sur le hockey… Puis un bon six mois pour décider de la suite. Et s’en aller chez le pas empire du mal de Transcontinental (ou siège un certain Bouchard) qui n’a aucune accointance avec Gesca-La Presse c’est bien connu pour imprimer et distribuer le tout. En passant trouver sur le site de Transcontinental l’histoire de la boîte, avec l’impression d’un journal depuis disparu : Le Jour, comme véritable départ.
Naturellement les batailles syndicales de Quebecor sont connus, contre les gentils Teamsters par exemple (très présent dans l’imprimerie) avec des conditions de travail complètement archaïques, presque calqué sur le temps des premières Hoe! http://www.conservapedia.com/File:Puck112188.jpg
Bizarre, mais habituellement on règle vite chez Quebecor.
Pour QMI. L’aveugle désire que l’on cite tous les articles qui sont parus sur Vigile pour parler de l’achat de la Presse Canadienne par La Presse entre autre. Ou sur le fait que les journalistes de Gesca se sont mis à genoux pour accepter de faire ce qu’on leur demande le plus souvent. Donc le chantage à la Presse et au Soleil, mais l’aveugle le voit bien, ce n’est pas Gesca qui est l’empire du Mal.
Et pour la cerise sur le sundae, dans un moment de générosité qui fait chaud au cœur, Cogéco, maintenant propriétaire de l’ancien Corus, offre au Radio-Communautaire de se joindre à elle. Pour ceux qui souffre de cécité totale, l’aveugle admet être aveuglé par l’éblouissement de la vie Québécoise et rien d’autre, le fournisseur d’info à Corus-Cogeco c’est la Presse Canadienne, donc Power Corporation et ses amis (Toronto Star et Globe and Mail) et leur petit ami Transcontinental : Le bien connu ami de l’univers et des mamans qui fournis gratuitement un sac pour les lunchs à quelques millions d’exemplaire : Le Publisac et ce qui tiens de journal dedans si vous passer par-dessus la bilingual circular de vos amis les marchands.
Donc, l’aveugle n’a plus la force de donner tous ses cannes blanches à tout ce beau monde, il aimerait bien cependant comprendre pourquoi le Mal est du bord des Indépendantistes sur Vigile.

Mon dégoût profond de Me. Bouchard et de ses tours de passe-passe ne peut m'empêcher de vous dire que votre théorie du complot est hors-champ.

Comme cela:
http://www.youtube.com/watch?v=VFa2lMXvqUQ&feature=player_embedded

Il faudra voir des centaines, puis des milliers, puis des dizaines de milliers de citoyens FESTOYER sur les gazons de l'Assemblée Nationale et des alentours les samedis, disons en arrivant vers les 11 heures au premier signe du printemps, sans discours, sans pancarte, sans parti. Seulement pour signifier que nous sommes chez-nous.
Pas pour dire à Charest d'évacuer le portrait, pas pour applaudir Pauline, non pour chanter et s'amuser simplement, festivement.
Un tel mouvement s'amplifierait de lui-même, on y viendrait pour voir, pour chanter, pour jouer, pour piqueniquer.
Nous avons eu la révolution tranquille, pourquoi ne pas la poursuivre dans la révolution de la joie.

Disons que Richler n'est pas Saul Bellow...
Qui est sans doute l'écrivain né à Montréal le plus lu au monde, il est incontournable dans les collèges américains.
Richler aurait pu méditer ceci de Bellow:
"A great deal of intelligence can be invested in ignorance when the need for illusion is deep."
Si Lachine a honoré Bellow, Prix Nobel, mérite-t-il une bibliothèque?
Pourquoi pas, s'il faut vraiment l'honorer individuellement, le pendant du Centre Yves-Thériault:
http://www2.csdm.qc.ca/Yves-Theriault/PagePrincipale.asp?SelectionPage=mnuPage_presentation
Un projet vendeur pour la Ministre des Affaires Incultes et Autres, le Centre Mordecai Richler, voué à l'anglicisation...
Je préfère encore une place sur le Plateau...

Assez,

Bien qu'on ne doive pas répondre aux autres contributions, celle de Gébé Tremblay mérite correction:
La Municipalité de Côte-Saint-Luc http://www12.statcan.gc.ca/census-recensement/2006/dp-pd/prof/92-591/details/page.cfm?Lang=F&Geo1=CSD&Code1=2466058&Geo2=PR&Code2=24&Data=Count&SearchText=Cote-Saint-Luc&SearchType=Begins&SearchPR=01&B1=All&GeoLevel=PR&GeoCode=2466058 est massivement anglophone et on est loin d'un 40% de sépharades. Qui demeurent plus à l'est du Boulevard Décarie.
Affirmer qu'ils votent à 100% non est au mieux faire preuve d'ignorance au pire de racisme. 100% c'est l'absolu, or il y a tellement d'exceptions, si c'est exceptionel d'être québécois et francophones, dans cette communauté qui ont votés OUI, appuyés publiquement le OUI qu'on se demande d'oû viennent ces bobards. S'il n'y avait que les sépharades! Phyllis Lambert, vous connaissez, c'est la soeur Bronfman que certain n'aime pas: elle est québécoise et ses propos avant le référedum était sans équivoque: elle n'était pas contre l'indépendance.
Au moment ou on s'outrage du cas Michaud, c'est lui faire honte d'être si mal informé. S'il est une personne qui a convaincu des dizaines de juifs d'être québécois, c'est bien lui.
Vas pour l'opinion, la désinformation: NON.

Mon cher Robin des Lettres,

L'an dernier, Kim Thuy était presque seule au Salon du Livre, son RU, qui se lit trop vite et se relit si joyeusement était un inconnu. Sans la Granby Connection, je ne l'aurais sans doute pas acheté.
J’eu donc l’occasion de lui parler assez longtemps, le chaland ne se ruait pas (on excusera le jeux de mots) vers la dame. Ce n’était pas le cas cette année, j’aurai eu une rapide dédicace tant la queue était longue.
On a tout vu cette année au Salon du Livre, des québécois de toutes origines, même des Premières Nations. Même des , mais il ne faut pas le dire trop fort, anglais. Parlant d’eux et d’un d’entre eux :
http://fivedials.com/files/fivedials_no15.pdf
Une révolution presque, des Anglos qui aiment le Québec et l’écrivent, traduisent Miron, aiment Montréal en français, Cohen en prime… Dessins de la (du) bédéiste québécoise qui a vendue le plus d’album AU MONDE, Julie Doucet avec Dirty Plotte et ses douze tomes, (on préfère esquiver dans sa note biographique)… C’est sérieux comme projet, de Londres , financé par Penguin et avec un presque québécois comme éditeur… Il a fait ses études universitaires à Bishop. Le lancement s'est fait avec l'aide de l'UNEQ.
Pour les détails :
http://en.wikipedia.org/wiki/Five_Dials
Si vous lisez l’anglais, c’est comme lire un magazine québécois, mais en anglais.

Le site n'est pas une sorte de blog d'un fou furieux, même là la police agit rapidement, mais bien celui d'un journal imprimé du même nom qui était jusqu'à tout récemment distribué par Benjamin et disponible en point de vente à Montréal.
Le seul et unique Brent Tyler, est selon l'éditeur, disposé à poursuivre Benjamin dans ce qui vas être la poursuite la plus extraordinaire du siècle: Discrimination pour cause de refus de distribution de propagande haïneuse. On n'invente plus rien...
Comme il s'agit d'un site relié à un journal imprimé il est donc tributaire de la Loi sur la Presse, pour les détails sur cette loi et les autres:
http://www.fpjq.org/index.php?id=99
Sur le site de la Fédération Professionnelle des Jounalistes du Québec, la FPJQ.