L'élection de M. Charest n'explique pas tout mais elle fait se poser des questions.

Depuis l'élection de ce gouvernement, il n'y en a que pour des investissements à l'étranger et des pertes d'emplois de tous genres.

Tout est fait pour nous abaisser et Monsieur Sabia avec sa recherche d'actionnaires étranger ne me donne vraiment pas le goût de le suivre.

Jean-Pierre Plourde

La tête dirigeante d'une organisation donne le ton sur les politiques et l'orientation que prendra cette organisation par la suite.

L'origine et la qualité du gestionnaire n'a rien à voir la dedans.

L'esprit qui émane de la personne de M. Sabia ne me donne pas du tout envie de le suivre, je vous répète que je ne me sents pas du tout à l'aise avec ce monsieur.

Je reprends les mots que je vous ai cité plus haut:

"Sabia est en train de changer la structure d’état de la Caisse pour en faire une de structure corporative à actions privées"

Ici, il y aura partage des revenus entre d'autres intervenants, M. Sabia auraient très bien pu demander l'engagement de gestionnaires étrangers de qualité, ce n'est pas ce qu'il a fait, il demande des actionnaires.

Ce n’est pas seulement une question de gestionnaires mais principalement de contrôle et de transfert de biens. On aura le droit et l’obligation de participer, imposé par l’état mais on perd le droit de gérer et de contrôler.

Le contrôle et la gestion se faisant en dehors de la connaissance des véritables actionnaires, soit, les citoyens par leurs fonds de pensions et autres organisations qui participent au financement de la Caisse.

Les actionnaires de la Caisse, côté immobilier, l'un des dix plus importants au monde, devenant étrangers à nos intérêts par ses actionnaires, la Caisse pourra devenir sous le contrôle de ces derniers à la manière d'une multinationale qui décidera ou se feront les investissements.
Voir, la Presse Canadienne, Caisse de dépôt: Actionnaires étrangers recherchés, Le Quotidien, vendredi 19 février 2010, page 19.

On ne peut pas négliger le fait que la présence de M. Sabia à la caisse est une nomination politique et partisane de la part de M. Charest. Jusqu'à maintenant, M. Charest a toujours réalisé l'inverse de ses promesses. Le mensonge et la tricherie est érigée en système.

A la lueur des nominations passé de M. Charest, je ressents très bien des intentions cachées derrières cette nomination.

La participation de M. Charest sur l'importance des pertes de 40 milliards de la Caisse fait de plus en plus son chemin. Malgré qu'il ait nié s'immiscer dans la direction de la Caisse, on sait maintenant qu'il l'a fait. Il en a changé les règles et à imposer la présence de Sabia.

Plusieurs intervenants confirment que les modifications au fonctionnement de la caisse sont pour beaucoup dans l'ampleur des 40 milliards de pertes.

Nous sommes en présence d'un gouvernement étranger à nos intérêts et cela se sent dans tous les domaines de ses nominations, dans l'économie, le politique et le social.

Je ne peux que souhaiter un éveil de nos citoyens sur les enjeux du laisser faire.

Je ne fait que décoder le résultat des gestes posés au delà des mots et cela va beaucoup plus loin que l'origine de la personne de M. Sabia. Ça fait parti de ce que les Québécois ont oubliés, Je me souviens ...

Je ne vois donc aucune comparaison possible avec ce qui s'est passé chez Teacher.

Jean-Pierre Plourde.

Pour ma part, la confiance n'y est plus.

Comment expliquer le choix d'un étranger, M. Sabia, pour gérer notre compte en banque?

Comment expliquer la demande de Sabia de trouver des actionnaires étrangers... voir mon dernier texte en réaction a la sortie de Lucien Bouchard sur l'économie ici même sur Vigile.

Sabia est en train de changer la structure d'état de la Caisse pour en faire une de structure corporative à actions privées.

Ce n'est pas seulement une question de gestionnaires mais principalement de contrôle et de transfert de biens. On aura le droit et l'obligation de participer imposé par l'état mais plus le droit de gérer et de contrôler.

Ramener le problème à un simple fait de rendement et de qualité de gestionnaires dans ce cas c'est passer à côté de l'essentiel.

Merci de votre participation.

Jean-Pierre Plourde.

Bravo pour votre papier.

Vous n'avez donner qu'un petit coup de pied dans la termitière.

Les stratégie développées par le Canada via M. Charest couvrent tous les aspects de nos actifs, en commençant par nos territoires dans le traité dit de l'approche commune, nos institutions comme la Caisse et l'Hydro et notre culture dans la réduction des subventions, et il y en a bien d'autres.

Le Québec en entier est sous la tutelle fédérale.

Lorsqu'on nous aura dépouillé de nos actifs, caisse de dépôt, Hydro-Québec, territoires, et autres, on nous forcera à quémander plus de péréquation, on va se heurté à une opinion canadienne radicale contre nos aspirations.

Nous serons rejeté comme une vielle chaussettes.

Il y a des moments dans la vie ou de fuir la chicane à tout pris n'a plus sa place.

La prise de conscience de ce qui se trame n'a pas encore fait son chemin dans notre population et tout à été mis en place par la fédération pour empêcher et retarder cette réflexion.

J'ai fait la preuve que les médias sont censurés, les universités et institutions scolaires sont sous surveillance, voir mes études et texte sur l'UQAC et mon texte sur le contrôle de l'information, voir, saglacweb.com, Le contrôle de l'information.

Il nous faut obligatoirement recréer l'union de Montréal et des régions afin qu'on puisse tous ensemble faire un front commun, recréer notre majorité, contre ces abus et peut-être mettre à la porte le gouvernement Charest tout en proposant des gens compétents qui auront à coeur nos intérêts, pour prendre la relève de notre destinée.

J'ai appris aux Montréalais les conséquences pour eux de l'approche commune, les Montréalais tout comme les gens des régions ont des investissements majeurs sur les territoires transférer aux Amérindiens dont ils vont perdre le contrôle, voir, Montréal, le traité de l'approche commune va te faire mal, sur vigile.net et ameriquebec ou mon blogue saglacweb.blogspot.com

je n'ai pu faire ce travail d'information que grâce à internet, tous les médias m'ont boycottés, même si j'offrais de payer le coût de la page ou de l'espace requis pour le faire.

Nous avons affaire à la deuxième déportation massive de ce pays par expropriation au lieu de bateaux, 7 millions d'apatrides dépouillés d'actifs et de territoires, conséquence d'un référendum volé.

Surveillez-bien la prochaine poursuite de Terre-Neuve contre l'Hydro-Québec, comme dans l'approche Commune des fédéraux seront assis des deux côtés de la table de négociation, il pourrait en résulter un jugement favorable à Terre-Neuve pouvant aller jusqu'à une compensation financière ou le transfert d'une partie de nos actifs ou même de territoires vers Terre-Neuve.
Je suis persuadé que M. Charest doit en rêver.

Merci d'être là et de comprendre l'importance de diffuser la bonne information et de l'urgence de l'action.

Jean-Pierre Plourde

Je démontre clairement la situation dans laquelle le Canada nous dirige, c'est incontestable de vérité.

Les arguments ne manquent pas.

Il est pour moi impossible de passer à côté sans être de mauvaise foi.

La grandeur d'âme de quelqu'un c'est de reconnaître ses erreurs.

Je sais maintenant comment Charest va nous dépouiller de la Caisse de dépôt.

C'est à suivre... et cela explique pourquoi Charest voulait de Sabia et non d'un Québécois.

Réfléchissez au titre suivant tiré du Quotidien de Chicoutimi, p. 19, vendredi 19 fév. 2010.

"Caisse de Dépôt: Actionnaires étrangers recherchés".

On est très loin du but premier de cet outil de développement économique capable de créer un Québec prospère et dynamique......

Ça n'a pas de bon sens, il faut trouver d'urgence le moyen de sacrer dehors ces collaborateurs de la trempe du général Pétin en France sous l'occupation Allemande.

A bientôt.

Jean-Pierre Plourde.

Je suis d'avis qu'il peut-être écouté et copié pour son usage personnel, ce que tout citoyen à le droit de faire chez lui avec son enregistreur vidéo à partir de son téléviseur ou du site de Radio-Canada via internet.

La personne qui fait une copie n'a cependant pas le droit de rechercher un profit en revendant des copies sans en payer des droits. Ils sont sujet à négociations avec les créateurs.

Jean-Pierre Plourde.

M. Charest crée présentement un atmosphère de travail invivable pour le milieu du fonctionnarisme.

Résultat, il y en a cinq mille qui demandent de partir en pré retraite, Journal de Québec, mardi 2 février 2010, p. 3, portant le titre, Des milliers de fonctionnaires veulent prendre leur retraite. C'est une conséquence grave de notre indifférence.

M. Charest a nommé Sabia à la caisse de Dépôt, il n'attend que le départ de ces fonctionnaires pour les remplacer par d'autres Sabia dans toutes nos entreprises d'état, cela fait parti de la stratégie de la prise en main de nos actifs par l'état canadien. Aidez-moi à faire allumer nos frères et soeurs Québécois.

C'est écrit dans l'histoire du Québec. Les employés de la Caisse peuvent surement vous en parler, j'en suis persuadé.

Les stratégies de Charest sont claire, nettes et précises, il les applique en nous racontant toute sorte de balivernes. On joue à l'autruche.

Québécois, agissez..... (C'est le titre de mon blogue, saglacweb.blogspot.com)

La compréhension de la succession des évènements depuis la conquête et en particulier depuis le référendum volé, nous indique clairement les intentions du gouvernement Charest. On ne pourra l'arrêter qu'en réunissant nos forces, femmes, hommes et enfants.

Ce pays nous fait la guerre et c'est irresponsable de notre part de laisser faire.

Nous sommes en mesure de renverser le gouvernement Charest maintenant et je vous en donne une autre preuve en transcrivant le texte de Mme Geneviève Lajoie, du Journal de Québec, dans mon prochain article.

Lâchez pas...

Jean-Pierre Plourde.

Monsieur M. Gignac.

"Vous faites un très bon travail de sensibilisation mais la question que je me pose est la suivante : lorsqu’on ne se sent pas appuyé par nos leaders politiques souverainistes pour faire l’indépendance du Québec et que la population québécoise préfère mourir à petit feu plutôt que d’affronter la réalité, que faire ?"

Comme les élus sont le reflet de ce que nous sommes, des indécis et dominés, il faut partir de la base et non du gouvernement.

Motivons d'abord les citoyens en les informant, le reste va suivre.

Quand les gens voient que d'autres se battent pour leurs droits pour créer un avenir à leurs enfants, ils devraient suivre et appuyer ces gens s'il connaissent les enjeux, c'est le pari que je fais, présumant que notre peuple n'est pas plus imbécile qu'un autre et que devant l'évidence il se reprendra en main. J'ai entrepris la démarche, car je n'ai rien à perdre.

Je le fais parce que je le veux et que j'ai confiance, rien ne m'arrêtera, que je réussisse ou pas. J'aurai au moins fait avancé le débat. Ces efforts ne seront pas perdus, vous ne devez pas vous décourager, c'est ce que souhaite les Fédéraux.

Il n'y a pas d'autres moyens, il faut faire tomber la peur de l'affirmation de soi.

Imaginez que ce pays à modifié et rapatrié la Constitution Canadienne en 1982 sans tenir compte de notre refus. Il s'est donné unilatéralement l'autorité de nous détruire. Toute l'approche commune est basé sur cette constitution de 82, elle n'a donc aucune valeur, pas plus que ces négociations il faut le dire, le dénoncer et agir majoritairement.

Continuez à diffuser l'information, on a besoin de vous.

Jean-Pierre Plourde.
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Bonjour Mme Isabelle Poulin:

Un tel reportage aurait dû être repris à la grandeur du pays tellement c'est une situation inacceptable.

Même les commentateurs des médias écrits n'en parle pas.

Je n'ai pas lu Richard Martineau du journal de Québec sur ce sujet et j'aimerais bien, il a un devoir d'information à faire, pourquoi ne le fait-il pas. Si quelqu'un à lu quelque chose qu'il aurait écrit la dessus, informez-moi.

Les médias n'embarque pas parce qu'ils ne peuvent pas.

Jean-Pierre Plourde.

Bonjour Mme Mona Simard:

C'est moyens, comme vous le dites, existent.

Ces moyens, il nous est interdit d'y avoir accès.

Il n'y a aucune transparence. Des moyens physiques et financiers énormes sont appliqués contre notre société et payés par nous.

La plupart des médias électroniques et écrits importants sont contrôlés, mon enquête plus haut sur le Journal de Québec et le refus du Journal de Montréal le démontrent clairement. Des senseurs sont donc dans chacun de nos médias importants.

J'ai déjà été coupé du réseau radio de "Corus" après 5 secondes parce que j'allais traité de l'approche commune.

Tout le gouvernement Charest est anti-Québec et le bonhomme a placé tous les hommes de main d'Ottawa à nos postes de commandes.

Le but est simple, exporter nos économie et nos industries, nous priver d'emplois rémunérateurs, nous endetter pour nous mettre à genoux, etc.

Nos bras de levier changent de main, au lieu de servir le Québec ils vont servir Ottawa. Sans votre participation, Madame et celle de tout ceux qui me lisent, nous disparaîtrons et nos enfants vont être traités comme des êtres inférieurs et dépouillés.

Ceux qui croient que j'en met trop, je les invite à se procurer les trois petits bouquins de Normand Lester, Le livre noir du Canada Anglais, ils vont vite comprendre le processus dans lequel ce pays nous embarque.

Mme Marois ne semble pas du tout savoir ou elle va et cela ne donne pas le goût au peuple de la suivre.

Le peuple doit mettre ses élus à la porte.

Le Canada nous fait la guerre, rien de moins.

L'internet n'est pas encore sous ce contrôle pour le moment.

Notre système d'éducation est également pris en otage, je fus à même de m'en rendre compte à l'Université du Québec à Chicoutimi, où, de discuter de l'influence du politique dans les colloques sur l'avenir de nos régions est interdit.
J'en ai fait la démonstration, recherchez mes textes sur ce sujet.

Mes écrits ne sont que l'expression de la résistance à l'extermination. Il nous faut augmenter le nombre d'individus qui savent et informer, si non, on s'en repentira tous, y compris le Canada.

Jean-Pierre Plourde.
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Bonjour Mme Hélèna;

Madame Mona et vous-mêmes faites parti du 50 % de la population du Québec qu'il faut informer, "Les femmes".

Vous faites parti du groupe dont j'espère le plus de visites depuis le début de mes démarches.

Je vous invite à lire mon texte, Vivre libre ou disparaître, c'est le résultat de mon travail sur comment fonctionnement des organisations.

Mesdames, votre 50% tient dans ses mains l'avenir du Québec et du Canada. Je sais pertinemment que si l'on vous informe, votre influence sur l'autre 50% renversera la situation, c'est gagné.

Je tiens à vous.... et merci d'être là.

Nous les hommes nous sommes gonflé à la testostérone avec un "moi" gros comme cela.

Votre force de séduction et de sentimentalité vous donne un immense pouvoir sur nos gros bras. Si vous décidez que cela va changer, les gars vont suivre et ça va changer. Vous possédez le sens de l'émotivité essentiel à la réalisation des rêves et l'atteinte d'objectifs, souvent réalisés par vos hommes.

Au début de la colonie, l'économie du ménage passait par vous.

Je suis extrêmement heureux de vous lire sur ce site.

Vous représenter pour moi quelque chose comme l'ouverture vers la solution.

Plus de 90% des commentaires que je reçois sur mes textes viennent des hommes. Vous êtes donc terriblement sous représentés.

Vous aurez constaté que j'ai des lacunes dans les techniques de présentation de certaines informations, comme, comment mettre les liens d'accès direct des sites que je réfère?

M. Sylvain Tremblay vous donne ses précieux conseils, je vous invite à les suivre.

Il me lit sur une base régulière, il intervient régulièrement en ajoutant des précisions.

Ses connaissances en mathématique et dans le traitement des archives sont impressionnantes.

Il connait bien aussi les techniques informatiques que je ne maitrise pas.

J'apprécie beaucoup ses interventions.

Faites nous part de vos difficultés sur ce site, je suis persuadé que M. Tremblay vous répondra.

Ce forum est ouvert aux gens ouverts.

En conclusion Mesdames.

Sans vous, nous n'irons nul part.

Amenez vos amies.

Jean-Pierre Plourde.

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Bonjour M. Tremblay.

Vous êtes une aide précieuse, continuez votre implication.

J'ajouterais à votre commentaire.

Les Amérindiens me semble inconscient de ce qui se joue contre eux.

Il y aura destruction des liens entre les Québécois et eux. Un objectif recherché.

Bientôt va apparaître la zizanie entre les différents groupes entre eux et les Québécois, etc.

La technique est bien connue, elle consiste à diviser pour régner. C'est la raison pour laquelle nos médias de Montréal font la promotion de fermer les régions alors que les Montréalais possèdent des milliards qui font leur richesse et on ne veut pas en haut lieu que vous en soyez conscient.

Votre petite phrase suivante en dit beaucoup:

"Lequel aura le droit de légiférer dessus et d’y faire appliquer ses lois."

Ça veut dire, battez vous et gaspillez vos énergies alors que moi, Ottawa, je gère et m'empare de vos richesses. Le coup du miroir marche encore.

L’Approche commune, ce n’est pas une affaire d’amérindiens, c’est notre affaire. Voyons-y ! (comme nous y encourage si vaillamment m. Plourde).
http://www.radio-canada.ca/audio-vi...

Je vous invite à différencier le terme autochtone et amérindien.

Ottawa utilise le mot d'Autochtone pour définir les Amérindiens.

Tout bon dictionnaire va vous dire d'entrée de jeux que le mot autochtone signifie: Qui est d'origine d'où il demeure.

À ce titre, vous et moi sommes des Autochtones de plein droit. Le fait que ton grand père soit arrivé sur les territoires avant le tien n'a aucune importance à l'échelle d'un pays. C'est la loi de la majorité qui doit prédominer, telle que déterminée par les Grecs.

Toutes ces négociations ne valent pas un clou sans impliqués la majorité Autochtone du Québec, cad, vous et moi.

L'approche commune n'est pas autre chose qu'un détournement de l'opinion publique à des fins d'asservissement.

Jean Pierre Plourde.
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Bonjour M. Pierrot;

Vous comprenez alors la gravité de la situation. Elle conduira à l'éclatement du Canada, si les Québécois se réveillent.

On n'a plus affaire a une fédération, encore moins à une démocratie, mais à une dictature.

Il est donc très important que le reportage de Radio-Canada soit également traduit en anglais et diffusé dans tous le pays.

N'attendez pas cela de CBC, je crois qu'ils couchent dans le même lit.

Entendre des Ron Cherry cracher son racisme sur 30 pour cent de la population sans que personne ne mette ce vilain personnage à la porte dépasse l'entendement. Ce que fait ce monsieur est plus grave encore que l'agression faite par Jonathan Roy sur le gardien de but de l'équipe adverse.

On ne bâtit pas un pays en cultivant ce genre de haine entre les citoyens.

Il est important de garder le contact, merci.

Jean-Pierre Plourde.
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Bonjour Hélèna:

Je pourrais peut-être essayer d'en faire une cassette VHS ou un disque et vous le retourner gratuitement en demandant la permission à Radio-Canada. Je regrette de ne pas l'avoir enregistré lorsque cela à passé à l'écran.

M. Sylvain, est-il possible que ce reportage puisse être lu par un lecteur conventionnel vidéo branché sur un téléviseur?

Si cela est possible, vous serait-il possible de m'envoyer une copie sur disque de ce reportage. Je me ferai un plaisir de le faire parvenir à Hélèna.

Pour les adresse en privé, la suite pourra suivre via mon adresse courriel saglac@gmail.com.

Je sais maintenant que vous avez capté le message, vous l'exprimez très bien dans ces deux petites phrases:

"Je ferai écouter à tous ceux qui ont des oreilles pour entendre. Il faut desserrer l’étau avant de se faire broyer. Je n’en reviens pas !"

Merci d'être là.

Jean-Pierre Plourde.

Bonjour M. Perry :

Il est indéniable que les Québécois refusent de voir la vérité et ils sont en cela conditionnés par Ottawa et Charest. Ce dernier nous dépouille présentement de nos actifs, c’est tout à fait réel.

Les Québécois savent d’instinct que ça ne va pas, mais la peur d’avoir peur est plus forte jusqu’à ce que la réflexion soit assimilée et on va s’y attaquer.

Je n’ai aucune raison de douter de notre succès.

On est tous hypnotisé par les menaces non voilées et anti-démocratiques de ce pays. Aucun pays au monde ne va nous rejeter si nous répandons la vérité et fonçons, n’ayons pas peur. La démocratie, c’est le Peuple, et le Peuple ce n’est pas Charest. Au Québec, c’est Vous et Moi.

Méfiez-vous de M. Sabia qui dit vouloir regagner la confiance des Québécois, il crée le bordel dans le personnel de la Caisse de Dépôt, tout le monde tremble et a peur. Il faut faire savoir à ces gens qu’ils ne sont plus seuls.

On travaille à faire sortir les cochonneries et on va y arriver.

Plus le temps avance, plus mes arguments se confirment et les preuves s’accumulent.

Mon prochain papier vous en dira plus.

Merci de votre commentaire,

Jean-Pierre Plourde.

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Bonjour M. Gilles Bousquet
Nous sommes plus riche parce que nous avons commencé par créé un système d’éducation, puis, osé se donner des bras de levier comme l’Hydro-Québec et la Caisse de Dépôt et Placement.
Le revenu annuel moyen de tous les Québécois est plus élevé de 30 à 40% depuis la création de l’Hydro-Québec.
En nous retirant ces bras de levier et en les remplaçant par des dépenses, nous retournons tous 60 ans en arrière.

N’oubliez pas que ces deux institutions sont pour Ottawa les moyens qu’on a pour s’assumer. Après le vol du référendum, il devenait primordial pour ce pays de s’attaquer à ces deux institutions comme suit :

1. Faire élire un confrère fédéral qui va ouvrir les portes de notre gouvernement provincial à la destruction de nos institutions par des fédéraux.
2. Renverser la majorité francophone du Québec en :
a. Promouvoir la fermeture des régions en faisant croire au Montréalais qu’ils sont une charge pour eux alors que ce sont elles qui font sa force. On prendra soin de ne pas informer les Montréalais qu’ils possèdent des milliards d’actifs dans ces régions et qu’ils doivent les surveiller.
b. En abandonnant les régions à elles-mêmes le fédéral pourra plus facilement séparer les citoyens et s’attaquer aux deux moitiés de notre population de façon différentes. Celle de Montréal devra haïr celle des régions, tout en tentant d’inonder la métropole de nouveaux immigrants prétendument anglophones en pure fraude en les inscrivants unilatéralement du côté anglophone.
c. En même temps, toute la société, Montréal et des régions sera invitée à s’effacer devant les nouveaux immigrants et à s’écraser, commission Taylor-Bouchard.
d. Pour faire disparaître les régions et effacer les actifs des Montréalais, M. Charest a nommer un ex-président du groupe Alcan, M. Yves Fortier, un avocat réputé et fédéraliste impliqué dans action Canada lors du Référendum, de négocier « en notre nom » la cession de nos territoires à un groupe d’Amérindiens choisis. Une fraude appelée, traité de l’approche commune, par ce que ce traité modifie unilatéralement la Constitution Canadienne sans demander l'avis des Québécois. Voir mon texte sur vigile.net ou amériquebec.net, Conflits d’intérêts.

Lorsque je vous dit : « Dans 25 ans, il y aura trois peuples pauvres, répudiés et traité de façon raciste en Amérique, les Acadiens, les noirs et les Québécois, ces derniers ayant été dépouillés par leur faute et leur indifférence. »
J’ai de sérieux arguments qui démontrent qu’on nous prépare un retour en arrière de 400 ans, soit, une déportation massive de citoyens par expropriation.
Votre phrase « Le peuple du Québec est maintenant, moins pauvre et moins répudié. », m’indique clairement que vous n’avez pas saisi la gravité de la situation et du "big gang" que notre société québécoise va subir quand les factures que nous prépare M. Charest vont nous tomber dessus sans l'appui de nos bras de levier, dilapidés à l'étranger.
Rien n’est transparent dans les transactions que fait M. Charest en notre nom.
Il est maintenant temps de faire notre bilan et de prendre les bonnes décisions.
Lorsque vous dite :
« Il a encore du chemin à faire pour sortir de l’état provincial "territoire conquis" à véritable État "pays". C’est le message à passer. »

Le pays à faire, si on ne bouge pas maintenant, il nous glissera tout doucement de dessous les pieds, c'est cela le message à passer.

On a besoin de vous, vous devez comprendre l’urgence de notre situation.
En toute amitié.

Jean-Pierre Plourde.
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Bonjour Mme Hélèna :

Je vous ai dit :
"Notre premier devoir, c’est d’informer. Que la vérité sorte, et on la connaît. On va alors tasser Charest et mettre le fédéral à la porte du Québec. C’est la seule façon. Pour en arriver là, il faut conserver et augmenter notre majorité afin de briser l’hémorragie de Montréal."

Vous me répondez :
« Comment informer ? Qui lit Vigile ? Des convaincus ? Donne t-on des conférences pour instruire les gens ? On attend les élections ? Il sera trop tard et pariez que Charest revient ! Aujourd’hui pour atteindre les jeunes, c’est compliqué ? Ils ne lisent pas ou pas beaucoup. Les jeunes aiment les artistes et les humoristes. … »

Madame, avant d’en arriver à la déclaration qui précède votre réponse, j’ai demandé d’acheter une page complète du Journal de Montréal, j’ai envoyé des textes à une centaine de journaux et revus, aucun ne m’a publié gratuitement, sauf quelques articles modifiés par le média dans ma ville de Saguenay. J’ai alors décidé d’acheter mon droit de parole en me payant des pages entières dans les cahiers commerciaux de ma région ou j’ai pu obtenir qu’on ne touche pas à mes écrits, même cela m’a été refusé ailleurs au Québec.

J’ai fait mon enquête afin de savoir jusqu'où va le contrôle de l’information dans ce pays, en particulier, celui dirigé contre notre pays, le Québec.

Voir bientôt ici sur vigile.net et sur bien d’autres sites, un nouveau texte qui pourrait s’appeler : Le Canada, une dictature par le contrôle de l’information, ou, Ottawa hypnotise les Québécois et contrôle sévèrement l’information dans tout le pays.
Je vous confirme aujourd’hui que j’avais raison et que toutes mes analyses se confirment de la bouche de l’émission, Enquête de Radio-Canada du 28 janvier 2010, dont je vous donne la primeur. Ne le dites à personne pour le moment…. jetez un coup d’œil à ce vidéo. On se doit de rétablir les faits auprès de la population.

http://www.radio-canada.ca/audio-video/pop.shtml#urlMedia=/Medianet/2010/CBFT/EnqueteCombo201001282000.asx

J’invite les usagers de ce site à faire une copie réel de ce vidéo, pas seulement l’adresse, Ottawa pourrait imposer demain de la faire retirer des archives. Je ne suis malheureusement pas suffisamment familier avec les ordinateurs pour faire cela.
Je joindrai un copié-collé de mon article, Le contrôle de l’information, de, saglacweb.com.

À bientôt,

Jean-Pierre Plourde
saglac@gmail.com
saglacweb.blogspot.com et,
saglacweb.com (ensemble des archives dont j'ai payé la publication dans les médias de Saguenay.

Bonjour M. Bousquet:

Les Québécois sont passé maître dans l'art de se tirer dans le pied.

Cela va leur coûter leurs emplois, leurs comptes de banque, leurs actifs et l'avenir de leur descendants.

On doit cela au contrôle de l'information et au martèlement médiatique du genre, écrasez-vous devant l'étranger, et, fermons les régions, au sujet des annonces de Shell sur le raffinage à Montréal, je vous invite à constater que c'est Montréal qui se voit affectée avant les régions.

Montréal va se retrouver dépendant des étrangers pour son approvisionnement en pétrole, électricité, nourriture et autres, la plupart des emplois de qualités subissent les pressions des multinationales, en accord avec Ottawa.

Le but non avoué est de détruire la culture Québécoise et d'imposer la Canadienne.

Les citoyens se font manipuler, mes travaux consistent à tenter de rétablir la vérité et mettre les citoyens au parfum afin de favoriser les bons choix, sans les médias pour briser l'Omerta, c'est très difficile.

Les 40 milliards perdus sous M. Charest ne pourront plus jamais travailler pour nous

Vous me dites ceci:
"Les 40 milliards ont été perdus sous une direction très francophone de notre Caisse de dépôts dont environ 30 à cause des conditions économiques et 10 à cause des papiers commerciaux, quottés A1 mais pourris. Faudrait juste emprisonner les dirigeants de cette agence là."

La création de la Caisse de dépôt avait pour but, à l'origine, de favoriser le développement du Québec par des investissements au Québec d'abord. Cette stratégie c'est celle qu'a respecté le fond de la FTQ et cela fait son succès.

Si les 40 milliards de la Caisse avaient été investis en entier au Québec, il n'y aurait eu aucune perte réelle pour le Québec, mais un recyclage des fonds dans d'autres secteurs de notre économie. L'effet de cette réduction aurait pu être compensé autrement, les fonds demeurant dans notre économie.

Pour que les Québécois francophones arrêtent d'élire des fédéralistes au provincial, il faut les informer des conséquences actuelle des gestes posés.

"nous ne pouvons pas aller contre la volonté populaire à moins d’être suicidaires...genre."

Ça ne nous empêche pas de tenter de les informer et de les instruire sur le fonctionnement général de leur "pays" et de la disparition de Québec comme province. Cette dernière affirmation n'est pas prise au sérieux par beaucoup de mes lecteurs, les conséquences en sont pourtant très réelles.

Jean-Pierre Plourde.

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Bonjour M. Pomerleau:

Je cherche avant tout, à mobiliser les citoyens sur l'urgence d'informer et d'agir.

Sans territoire pour Québec, la géopolitique deviendra Canadienne sans possibilité d'exercer notre influence pour défendre les intérêts des Québécois. Nous sommes dans un processus d'expropriation, vous et moi seront bientôt des "squatters" soumis aux conditions de survie du Canada.

Il y a une extrême urgence que ce phénomène soit compris par nous tous. Tout le reste devient possible après.

Je vous cite:

"Le pays n’est pas devant nous il est sous nos pieds. Notre seul problème c’est le contrôle effectif de ce territoire (géopolitique:le principe d’effectivité). Or ce contrôle s’effectue à partir de l’État."

1. Sans la propriété de nos territoires, la géo..(terre) n'est plus sous nos pieds, le territoire ne sera plus reconnu comme étant nôtre, de fait, il appartiendra à l'autre majorité qui elle se fout bien de qui l'a développé ou pas, c'est la conquête qui se poursuit. Québec doit constituer une province pour survivre et prospérer. Sans nos territoires, Québec devient virtuel. La majorité canadienne considèrera Québec comme l'un de ses territoires à défendre contre nous et les conséquences nous seront catastrophiques.

On doit s'occuper de cette mise au point d'abord, le reste devient possible ensuite.

Ce pays s'apprête à intervenir contre nous si l'on ose prétendre une telle chose après le départ de M. Charest. Tout ce que nos pères ont bâtis sur nos territoires change présentement de main et les conséquences vont entraîner notre mise sous tutelle et la disparition de notre culture et de notre langue comme dommages collatéraux.

2. Dans la géopolitique, il y a le terme politique, celui-ci implique le vote des citoyens dans une élection pour faire élire un parti qui, en théorie devrait gérer notre état. Advenant le désir d'appliquer la géopolitique via un parti politique pour défendre nos intérêts, nous aurons affaire à une puissante organisation canadienne d'intimidations du genre de celle du référendum de 1995 accompagnés de menaces d'interventions bien réelles.

La géopolitique tire sa valeur dans la capacité de son application.

Expliquez-moi concrètement comment rendre la géopolitique applicable réellement. Vous avez besoin de l'appui du peuple par ses votes pour constituer un état politique, comment allez-vous y arriver. On revient encore à mon argument de base, convainquons d'abord les citoyens en les informant, tout le reste deviendra possible.

M. Pomerleau, l'histoire se réécrit au Quotidien en effaçant celle du passé, du moins c'est la stratégie canadienne, par la manipulation des livres d'histoires et sa propagande pour qu'on s'efface devant l'étranger.
Sans informer les citoyens des magouillent en cours contre son droit de disposer de lui-même et des conséquences de l'inaction, nous irons nul part, peu importe les évènements de notre passé. N'oubliez-pas que ce pays nous a déclaré la guerre, il faut le prendre au sérieux.

Il faut convaincre tous les gens dynamiques du Québec, dont vous êtes, pour informer les citoyens des conséquences de ce qui se trame sous nos pieds.

Le défaut de réussir à convaincre les citoyens, tous les cas de figures deviendront possibles entre l'acceptation d'un état d'esclavage et de dépouillement, et, la révolution.

En fait, M. Pomerleau, on parle de la même chose vous et moi. Il faut, je pense simplifier le plus possible, y aller par priorités, puisons dans les évènements du présent comme l'approche commune, la Caisse de dépôts, l'Hydro, les accommodements raisonnables, etc, etc.
On peut utiliser les arguments de notre histoires ancienne, mais on a même pas besoin de reculer jusque-là, tant les preuves sont évidentes. Les actions récentes du gouvernement Charest nous donne tous les arguments nécessaires pour prouver d'où l'on vient et où l'on s'en va.

"Pour en reprendre le contrôle effectif de notre État il faut d’abord le faire voir clairement au peuple qui semble avoir perdu contacte avec cette réalité On part de loin."

Je suggère donc qu'on simplifie la procédure et qu'on entre dans le vif du sujet avec des arguments du passé récent ou présent qui demanderons un minimum de réflexion pour ceux qu'on veut convaincre.

Jean-Pierre Plourde.

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Bonjour M. Lapointe,

Recherchons ensemble une procédure, une façon de faire unificatrice capable d'apporter des résultats.

Ce n'est pas seulement l'affaire de M. Bousquet, c'est utile de se vider le coeur. Restons positif, suggérez-nous des choses, donnez-nous votre vision sur le comment y arriver.

Je suis peut-être complètement dans le champ avec ma façon de voir le problème et les solutions. Si vous m'apportez les bons arguments, je changerai personnellement d'avis.

Vous faites une belle constatation de notre situation;

Vous et moi sommes dans le même bateau, embarquez et travaillons à convaincre nos parents, amis et voisins, on ne peut se fier qu'à nous. Les médias, pour le moment, oublions cela.

Jean-Pierre Plourde.

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Bonjour M. Marcel Haché

Concernant la solution de divulguer les malversations de nos gouvernements par les fonctionnaires.

Cette méthode existe déjà sous la forme du vérificateur général, du moins à Ottawa. Pour la généraliser cependant, je doute fort que ce soit jamais acceptée.

"en même temps que la sécurité d’emploi et de carrière soient maintenus."

Pour moi, la condition de "sécurité d'emploi" n'existe pas réellement, sauf lorsque dans les gouvernements pourris à la moelle on l'on récompense même les mauvais comportements.

"Et on ne parlerait plus de déficits, on parlerait de surplus. Ma conviction."

On est loin de la coupe au lèvre.

Jean-Pierre Plourde

Bonjour M. Gilles Bousquet;

Imaginez une situation comme celle que l'on vit ici se produisant en Ontario!

Cette situation aurait déjà dégénérée au point ou le gouvernement aurait déjà donné sa démission pour ne pas se faire massacrer par le peuple.

Nous avons ensemble une attitude de vaincus, ce n,est pas bon du tout.

On ne doit pas attendre la prochaine élection pour démontrer un changement de comportement envers nos gouvernants. L'avenir, c'est maintenant.

Quand on est pas content, on doit maintenant le dire fort et tout de suite.

La fierté ça ne s'achète pas.

Respectons nous, nous sommes endormis et nous avons peur de nous affirmer.

Debout.... Il faut convaincre et foncer...

Merci de votre commentaire et travaillez vos amis dans ce sens.

Jean-Pierre Plourde.

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Bonjour Grand-papa;

L'expression "me semble t'il" n'a plus sa place, il n'y a plus aucun doute des intentions d'assimilation et d'expropriation de ce pays à notre égard.

Le Canada a aussi signé la convention du droit des peuples à décider d'eux-mêmes, est-ce que cela les empêche de briser toutes les règles à notre endroit.
La réponse est-t'elle assez clair.

On est embarqué dans une grosse arnaque. Le contrôle de l'immigration se fait par Ottawa, le droit de choisir les immigrants du Québec sous Charest devient celui de l'assimilation, toute correspondance se fait en anglais seulement, s'il y a un ou deux qui apprenne le français, ça ne fera pas une grosse différence dans l'objectif qu'ils ont.

Si l'on pouvait arrêter d'avoir peur de s'affirmer, ce serait beaucoup plus facile.

On se laisse endormir par des belles paroles à doubles sens.

Lorsque vous parlez du racisme contre les immigrants, quel sentiment les anglo-Montréalais ont-ils envers nous vous pensez? En privé, dans leur esprit, on est loin d'être fin, on est des innocents et on est traité comme tel, ouvrez les yeux, en plus ils ne se gènent pas pour nous le dire et on trouve encore le moyen de s'écraser.

Notre monté du racisme va être en réaction de celui des autres, lorsqu'on aura compris qu'on a pas le choix, on devra partir très bas dans l'estime de soi, alors que l'anglophone sera gonflé d'orgueil contre nous, un gros pétard qui sera résorber par la force parce que l'on n'a pas voulu se prendre en main quand c'est le temps.

L'avenir, c'est maintenant. On retarde la confrontation, elle viendra tôt ou tard.

Il nous faut rebâtir notre unité sociale, Montréal comme régions, relevons la tête et redevenons fier de ce que nous sommes. Ceux qui ne voudront pas nous respecter, auront affaire à nous tous, unis dans un projet collectif d'avenir prospère, et non d'esclavage.

Un peuple qui se tient debout ne meurt pas. Aidons nous, tous ensemble, à se faire respecter.

Votre commentaire est empreint d'une crainte non avouée. Vous savez, là ou l'on va nous envoyer, nos services mur à mur et les bons emplois ne seront plus pour nous, regardez les gestes de "Team Canada" envers notre identité, nous sommes du caca pour eux. C'est comme cela partout.

Je crois grand-papa vous avoir donner l'heure juste.

Il est temps que le caca, finisse par sentir un peu. On n'a pas le choix.

Jean-Pierre Plourde

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Bonjour M. Hassaoui:

Le problème de manque de médecin du Québec passe par McGill, on finance un fort pourcentage des médecins par McGill et ils s'en vont servir d'autres marchés.

On est des endormis, c'est pas possible.

On va leur financer un super hôpital, plus imposant que le notre, c'est quoi l'affaire.

Vous avez parfaitement raison, cela coûte très cher à la province au même titre que les réfugiés.....

Debout citoyens. Le temps des demi-mesures doit s'arrêter maintenant.

Jean-Pierre Plourde.