Les boulets de la Presse
4 septembre 2009
...et j'ajouterais Vincent Marissal.
Tout à fait d'accord avec vous.
Par Bernard Simon
Relecture de presse et déclaration du ministre
Par Jacques Rivet
Par Anna Morgan
Rebecca Cook Dube
Résumé par Germain Bataille
Pierre Leclerc : Membre de Développement et Paix
Un livre sur le scandale des commandites :
Par Rollande Parent
4 septembre 2009
...et j'ajouterais Vincent Marissal.
Tout à fait d'accord avec vous.
4 septembre 2009
« C'est un poids bien pesant qu'un nom trop tôt fameux. »
Voltaire
Extrait de La Henriade
4 septembre 2009
« Posons que cette liberté du jugement peut être comprimée et qu’il est possible de tenir les hommes dans une dépendance telle qu’ils n’osent pas proférer une parole, sinon par la prescription du souverain ; encore n’obtiendra-t-il jamais qu’ils n’aient de pensées que celles qu’il aura voulues ; et ainsi, par une conséquence nécessaire, les hommes ne cesseraient d’avoir des opinions en désaccord avec leur langage, et la bonne foi, cette première nécessité de l’État, se corromprait ; l’encouragement donné à la détestable adulation et à la perfidie amènerait le règne de la fourberie et la corruption de toutes les relations sociales. »
Spinoza, Baruch
Source : Traité politique
Philosophe hollandais (1632-1677)
Merci M. Chrétien.
4 septembre 2009
Excellent texte! Quand les Québécois vont-ils comprendre que la seule façon d'éviter
l'assimilation galopante ou la louisianisation du Québec, c'est l'indépendance afin que
le français devienne la seule langue publique et officielle. Autrement, le temps
jouera contre nous et nous disparaîtrons comme peuple. Les demi-mesures ne
mènent nulle part, nous le constatons aujourd'hui avec les râtés de la loi 101.
André Gignac 4-9-09
4 septembre 2009
Au contraire, le Bloc est très utile à Ottawa. Si le Bloc était inutile à Ottawa, les partis fédéralistes ne passeraient pas leur temps à lui tomber dessus. Le Bloc dérange.Il dérange grandement. Depuis le sale coup fait par Trudeau et sa gang de traîtres, ni le PLC ni le PCC(exception faite pour Mulroney qui voulait réintégrer le Québec dans l'honneur et l'enthousiasme) n'ont pu obtenir une majorité de sièges au Québec. Cela veut dire que le Québec est gouverné par les dictats d'Ottawa, sans l'accord du peuple Québécois, ce qui est très gênant pour un pays qui se dit démocratique et cela va le faire paraître de plus en plus totalitaire au plan international. Si le Bloc n'était pas à Ottawa, les choses se passeraient comme avant i.e. que les sièges québécois seraient comblés par des "fédéralistes", ce qui enverrait le message que les québécois se sentent à l'aise dans le Canada, ce qui est faux. Tant que nous serons dans le Canada, nous devons faire valoir à la Chambre des Communes notre volonté. La stratégie de la chaise vide, ca ne fonctionne pas. Ce qu'il faut, c'est encore plus de bloquistes à Ottawa. Plus il y en aura, mieux ce sera:c'est comme les maringouins, plus il y en a, plus ca exaspère et plus ca conduit à la crise...de nerfs. Quand les canadians seront "ben tannés" de se faire piquer par les bloquistes...
4 septembre 2009
Je lis dans un autre article que la cheffe du parti hésite à ouvrir la «boite de Pandore»... Elle est bien bonne celle-là. Quelle boite de Pandore ??
l'Éducation est une responsbilité de l'État et même une juridiction exclusive selon la Constitution. Et l'État proclame que le français est la langue commune des québécois. De quo parle la cheffe du PQ? Elle n'a qu'à prendre la décision un point c'est tout. Elle déguise son manque de courage en vertu prudentielle ?
Et je suis du même avis que Bernard Landry : on intègre les immigrants ou on les intègre pas! À l'heure actuelle ce laxisme est de trop et dure depuis trop longtemps. Le Cegep en français pour tout le monde ça c'est un geste intégrateur. Comme dirait le gros Coderre lui-même, That's it that's all!
3 septembre 2009
At Ogdensburg, most of the French-speaking re-enactors were sovereigntists. They cared about preserving the French language and culture – a challenge they were addressing by showing people what French culture was like in the 18th century.
“When you don’t know your history, it’s not important to keep it. But when you know it, you know how much you want to keep it.
En visionnant les photos et vidéos de ce site internet je comprend ce qu'ils veulent préserver pour que les efforts de nos ancêtres ne tombe dans l’oubli.
Peut-être auront nous maintenant une meilleure opinion d’eux ?
Soldat Sanspareil
2ième bataillon du régiment de la Sarre
Vive le Roy!
www.régimentdelasarre.ca
3 septembre 2009
Zone militaire
Cet été, cinq étudiants en archéologie ont travaillé durant cinq semaines sur le site de fouilles de l’ancien fort Saint-Jean, à Saint-Jean-sur-Richelieu
Par Yvon Larose
«Nous espérons avoir découvert ce que nous voulions, soit des vestiges du fort de 1666, du fort de 1748 construit au même endroit et d’un chantier naval militaire aménagé après la construction du fort de 1748, probablement en 1757. Les analyses complémentaires le confirmeront.»
L’étudiante Geneviève Treyvaud est inscrite au doctorat en archéo-métallurgie. Du 29 juin au 2 août, elle a supervisé quatre étudiants au baccalauréat dans le cadre du chantier-école en archéologie de l’Université Laval sur le site de l’ancien fort Saint-Jean. L’endroit est situé sur le campus du Collège militaire royal de Saint-Jean-sur-Richelieu, au sud de Montréal. Cet important projet de fouilles d’une durée de cinq ans a démarré cet été avec le soutien du ministère de la Défense nationale, qui gère le Musée du fort Saint-Jean, et de Parcs Canada. Il est placé sous la direction du professeur Réginald Auger.
L’objectif consiste à enrichir les connaissances sur les systèmes défensifs successifs du fort Saint-Jean. Du temps de la Nouvelle-France, son rôle consistait à protéger l’accès au fleuve Saint-Laurent, donc à Montréal, Trois-Rivières et Québec, en contrant les expéditions iroquoises et britanniques en provenance des colonies américaines.
L’équipe de fouilleurs a trouvé beaucoup de morceaux de céramique ainsi que de petits morceaux de faïence de fabrication française. Plusieurs jetons d’échange ainsi que des pièces de monnaie ont aussi été découverts. Les autres artéfacts ont tous un lien avec la vie militaire. Ce sont une cinquantaine de plombs à mousquet, des pierres à fusil qui servaient de détonateur et beaucoup de pièces d’uniforme, notamment des boutons. On a aussi mis au jour un manche de poignard, deux boulets de canon ainsi que plusieurs morceaux provenant de la palissade en bois. «Le manche de poignard, de fabrication méditerranéenne, est attribuable à l’artillerie française, indique Geneviève Treyvaud. Les boulets ont un diamètre variant entre 15 et 20 cm, ce qui les fait remonter au 18e siècle. Quant aux morceaux de palissade, on pense qu’ils appartiendraient au fort de 1666.»
L’ensemble des artéfacts découverts subira un examen approfondi à compter du mois de septembre dans les laboratoires d’archéologie de l’Université. «Par l’analyse en dendrochronologie, on saura de façon définitive si les morceaux de palissade proviennent du fort de 1666 ou du fort de 1748», précise-t-elle.
À plus grande échelle, les fouilles ont permis de découvrir des parties des parois sud et nord du fort de 1748, ainsi qu’une structure de maçonnerie sèche, c’est-à-dire sans mortier entre les pierres. «Il s’agit probablement d’une partie d’un mur d’un bâtiment du chantier naval», avance Geneviève Treyvaud. Deux chantiers navals militaires ont été aménagés devant le fort Saint-Jean, le premier en 1757 par les Français, l’autre en 1776 par les Britanniques. «On sait qu’en 1757, 84 charpentiers travaillaient au fonctionnement du chantier, explique-t-elle. Les Français y construisaient des embarcations militaires pour des opérations guerrières dans la région du lac Champlain.»
Soldat Sanspareil
2ième bataillon du régiment de la Sarre
Vive le Roy!
www.regimentdelasarre.ca
3 septembre 2009
« Internet n'est pas seulement une révolution industrielle. C'est aussi une révolution politique : elle touche au pouvoir ; elle bouleverse les rapports de force. Par là, elle est profondément déstabilisatrice. »
Jean-Marie Messier
Homme d'affaires français
Extrait de j6m.com
On nous lit partout sur la planète terre. Il fallait agir, merci M. Frappier.
3 septembre 2009
«Car plus que de l’argent, c’est un pays que je veux laisser à mes enfants en héritage.»
Oui, ça on le sait que l'indépendance péquiste, c'est pour la langue et pas pour nous aider à mettre quelque chose dessus...
En tous cas.. Il me semble qu'ils ont la tête bien dure, pour ne pas s'apercevoir qu'il ne serait pourtant pas si difficile de bonifier le projet d'indépendance d'améliorations sociales, écologiques et démocratiques afin de convaincre les indécis...
Très franchement là…
C'est vraiment à n'y rien comprendre...
Ou peut-être trop...
(J’en ai d’ailleurs appris une salée à ce sujet, que je ne dévoilerai pas tout de suite… Mais.. tout s’explique.. sachez -le bien… le PQ ne serait pas aussi clean qu’il en a l’air… )
Mais hors de tout ça, vous voulez mon opinion bien sincère sans rien à faire avec mes allégeances..?
- Le PQ n'en veut pas de l'indépendance...
Sinon, il prendrait les moyens pour ce faire.
- Et Dieu sait s'il y en a !!
Mais ce que le PQ se dit à toute fins pratiques..
C'est qu'il attend que ça vienne tout seul... d’en bas… une crise peut-être… À moins que ça vienne d’un nouveau messie..
Et là comme en toute chose...
C'est vraiment la dernière affaire à faire...
Ce qu’il fait, c’est y travailler tous les jours et avec les bons outils et les bonne s stratégies…
CM/QS
3 septembre 2009
Merci Pierre.
Vous dites si bien ce que j'aurais voulu dire, et que je crois il m'aurait été difficile de dire, puisque je me sens beaucoup en cause actuellement.
Et je suis malheureusement d'accord avec vous lorsque vous parlez d'un aspect assez brutal et de «Lucarchambaultisation»de la discussion...
Je pense entre autre à cette manière systématique et fort harassante de constamment nous apostropher de ses :
«N'IMPORTE QUOI !» ou de ses «VRAIMENT» !?
Alors que nombreux sont ceux et celles qui tentaient justement de ne pas dire "n'importe quoi" et justement d'exprimer "leur" vérité...
Oui, nous étouffions.
Et c'est tristement Vigile qui y perdait…
Contrairement à vous par contre, il ne me manquera pas..
Je crois qu'il avait pris beaucoup d'espace et de temps empruntés avec ses 150 articles...
Et je pense depuis le début de cette histoire qu'il fallait principalement remettre à l'ordre celui qui pêchait, plutôt que de punir tous les autres...
Christian Montmarquette
3 septembre 2009
Hum !
Vous dites vrai, sans doute, sinon que — mais peut-être ai-je tors — monsieur A. n’est entré en mission que récemment, tout au plus il y a six mois.
Vous oubliez pourtant la principale raison pour laquelle, à mon avis, ce genre de commentateurs quérulents pose problème : par delà les autres intervenants, monsieur Frappier, ou le ou les quelques modérateurs bénévoles, avant de les publier, doivent se les farcir, ces interminables répliques; je ne doute pas qu’il soit venu un temps où l’essentiel de l’effort y a été consacré, plutôt qu’à la revue de presse, raison première de Vigile. Vient un moment où c’est attenter à la santé des bonnes gens qui s’y consacrent, en les clouant à leur chaise pour de longues et pénibles heures. Pour cette raison seule, il fallait que cela cesse.
Jusqu’à preuve du contraire, Vigile est encore le fait de la volonté d’un seul homme, soit-il quelque peu aidé dorénavant. N’abusons donc pas.
Personne ne suit Archives de Vigile. Soyez le premier!