Québec : quand la Justice s'en prend aux familles recomposées
7 janvier 2011
Correction: c'est 15 000 $ d'impôt que Jean-Paul déclare payer, et non 7 000 $ comme je viens de l'écrire. Pas tout à fait dans la misère, cet homme.
Par Bernard Simon
Relecture de presse et déclaration du ministre
Par Jacques Rivet
Par Anna Morgan
Rebecca Cook Dube
Résumé par Germain Bataille
Pierre Leclerc : Membre de Développement et Paix
Un livre sur le scandale des commandites :
Par Rollande Parent
7 janvier 2011
Correction: c'est 15 000 $ d'impôt que Jean-Paul déclare payer, et non 7 000 $ comme je viens de l'écrire. Pas tout à fait dans la misère, cet homme.
7 janvier 2011
Comment parler de juges "inflexibles" quand on ne leur présente même pas la cause? Ila ne peuvent pas deviner. Si Jean-Paul a une preuve contre son ex, qu'il la fasse au bon endroit.
Tous les enfants sont traités sur un pied d'égalité selon la loi et Marie-Claire n'a aucune espèce de responsabilité envers l'ex de son mari. Les pensions pour enfants sont fixées selon des tables établies par le gouvernement. Son raisonnement est faux.
À première vue, le montant de la pension que paye Jean-Paul est modeste quand il a un revenu suffisant pour payer 7 000 $ d'impôt. Les pensions sont basées sur le revenu brut "disponible" et non sur le revenu net.
La cause de Lola traite de la pension entre ex-conjoints de fait et non des pensions pour enfants.
La supposée violence de l'ancien conjoint n'a rien à voir dans la cause.
Quant à l'enfant qui entre au cégep, elle a droit au soutien de son père jusqu'à ce qu'elle devienne autonome financièrement. Ce n'est nullement de l'exploitation: il est naturel de faire vivre son enfant.
Au lieu de déniger publiquement sa rivale, Marie-Claire devrait soumettre ses prétentions au tribunal. Sinon, que Jean-Paul continue à payer sans se plaindre. Je ne vois pas d'autre solution.
7 janvier 2011
Et l'indépendance nous rendra encore plus riche, car totalement maître de toutes nos décisions sans obstruction aucune d'une nation étrangère, la «canadian nation» en ce qui nous concerne.
Jacques L. (Trois-Rivières)
7 janvier 2011
« Évidemment, Charest voudra s’attribuer tout le mérite de la bonne performance du Québec. »
Merci Monsieur LE HIR pour cette précision. Cette performance appartient aux citoyens et travailleurs du Québec et non à un valet d'oligarques. Monsieur Charest n'a rien d'un homme intelligent. C'est un simple perroquet, méprisant et peu cultivé (comme la majorité de la classe politique).
Cela dit, le Québec sera inévitablement mené à l'abattoir de l'Autel de la consommation pour détruire ce qui reste de démocratie si ce subalterne qu'est Charest demeure au pouvoir. Il faut l'évincer le plus rapidement possible. Qu'il se permette de nier l'intelligence des citoyens (qui demandent enquêtes publiques et moratoires) n'a rien de surprenant. La classe politique mondiale n'est en fait qu'un tampon qui sépare le peuple (le bétail) de ses bergers (l'élite). Lisez « La structure psychologique du fascisme », texte écrit en 1935 par Georges Bataille. On comprend mieux après pourquoi la classe politique est homogène alors que ses membres (dont nous ne faisons pas partie) se soutiennent en temps de crise pour se maintenir au pouvoir...
André Meloche
7 janvier 2011
Vous avez raison d’écrire que cette prospérité va probablement donner des arguments à M. Charest et au PLQ pour se faire mieux réélire une quatrième fois de suite vers 2012, même s’il n’en est pas responsable.
Faut pas oublier que plus de confort et/ou de prospérité, mène à l’indifférence, ce qui n’incite pas aux changements constitutionnels ou autre.
Quand le Québec va mal, ils disent : Ce n'est pas le temps de changer, vous n'en avez pas les moyens et quand il va bien : Pourquoi changer ce qui marche bien ?
Misère des 2 côtés ! Le PQ devra y faire face solidement.
7 janvier 2011
Vers la fin de 1999, M. Rodrigue Tremblay a publié un livre aux Éditions Transcontinental : Les grands enjeux politiques et économiques du Québec, à la section, Les questions constitutionnelles, pour l’avenir, il écrit :
« Tant que le parlement du Québec n’aura pas entériné l’Acte constitutionnel de 1982, adopté uniquement par les provinces anglophones, le Canada anglais continuera constitutionnellement de traiter le Québec comme une sorte de colonie intérieure. Aucune paix constitutionnelle durable n’est possible tant que la Constitution canadienne ne sera pas légitimée au Québec. Cela exige un compromis de part et d’autre.
Les partisans inconditionnels du statu quo devraient se rappeler que les droits des individus et des peuples doivent avoir préséance sur les volontés d’hégémonie politique et sur les structures politiques.
De même, au Québec, les indépendantistes inconditionnels doivent accepter que l’autonomie des peuples ne peut être que relative. En effet, les droits des personnes viennent avant ceux des États-nations et de leurs dirigeants. En particulier, la position du Québec, entre le Canada de l’Est et le Canada de l’Ouest impose que l’on prenne en considération cette réalité géographique dans tout arrangement politique futur.
L’Europe a réussi à abolir les anciennes frontières, il ne faudrait pas que l’on en recrée en Amérique du Nord et qu’on y transpose les vieilles maladies européennes, tel le nationalisme ethnique. Il faut se rappeler que dans une saine démocratie, ce n’est pas à la population à s’adapter aux politiciens, mais aux politiciens à s’adapter à la population.
Nos élus devraient faire montre de « leadership » et s’attaquer résolument à la tâche de trouver une solution pratique au blocage constitutionnel actuel. L’économie ne s’en porterait que mieux. »
7 janvier 2011
En réponse à Julien Beauregard, je dirais que Gil Courtemanche est très fort en romans et en anecdotes, mais s'intéresse peu aux faits. Ainsi, il n'a jamais admis publiquement que ses amis massacrés, Hélène Pinski et Landoald Ndasingwa, avaient très probablement été victimes non pas des «extrémistes hutus», mais bien du FPR de Paul Kagame, en 1994, comme des centaines de milliers d'autres. Ni la vérité, ni la rigueur n'importent pour M. Courtemanche. Seules comptent ses impressions.
Selon M. Courtemanche, il est inutile d'indiquer à ses lecteurs qui est responsable de la tentative de coup d'État subie par Laurent Gbagbo et le peuple ivoirien en 2002. Il convient plutôt de pointer le doigt vers les gens qui n'ont pas pris les armes les premiers et qui ont dû organiser la défense du pays. Il convient de les accabler de toutes sortes d'accusations gratuites, comme celle de «manipuler sans vergogne les divisions ethniques».
M. Courtemanche m'a déjà traité de fasciste dans un courriel. De plus, son journal, Le Devoir, n'a jamais voulu publier une seule de mes lettres répondant à ses chroniques sur le Rwanda. Les faits importants que je soulevais dans ces lettres n'ont jamais été portés à l'attention des lecteurs du Devoir.
Le 5 janvier 2009, Le Devoir a publié un article de Monique Durand présentant faussement Radegonde Ndejuru, la secrétaire particulière de Jeannette Kagame, première dame du Rwanda, comme une innocente travailleuse humanitaire. Le voyage de Mme Durand au Rwanda avait été financé par Ottawa. Mise devant les faits, la directrice de l'information du Devoir, Josée Boileau, a maintenu l'occultation. Ma lettre n'a jamais été publiée. Mais les fables de Gil Courtemanche le sont toujours, elles.
Voici la lettre que j'ai envoyée au Devoir en janvier 2009
http://tinyurl.com/blkh3g
7 janvier 2011
Si j'étais un immigrant j'irais et j'enverrais mes enfants du côté des colonisateurs majoritaires et pas du côté des colonisés minoritaires .
Sans l'indépendance du Québec comme pays francophone jamais nous réussiront à convaincre les immigrants que c'est payant de s'intégrer aux colonisés .
L'immigrant avec raison préfère l'unilinguisme anglais canadian au trilinguisme utopique et anarchique au Québec
7 janvier 2011
Les médias parleront des incursions nébuleuses du privé dans le champ public de la santé. Chaque fois, la Régie de l'assurance maladie du Québec,préoccupée par l'ouverture de nouvelles cliniques privées garantissant la tranquillité de l'esprit en échange de frais,lancera une enquête et livrera ses remontrances.Après,ce sera la reprise perpétuelle du film.
7 janvier 2011
Les USA, la France sarkozyste, le Canada, la communauté internationale bien programmée et Nestlé aiment bien le cacao.
« Si vous voulez voter pour les Ivoiriens, votez pour moi; si vous voulez voter pour les « étrangers «, votez pour les autres candidats ». Tel était le slogan du président ivoirien en début de campagne électorale et, depuis, mis au ban de la communauté internationale.
Qu'auraient à dire ces mêmes pays dans le cas de l'indépendance du Québec ? Nos richesses naturelles sont si nombreuses... D'ailleurs, n'ont-ils pas volé le référendum de 1995 ? Allez savoir ce qui se cache derrière ce vol...
7 janvier 2011
Monsieur Grisou, oui, notre passé fait partie de notre présent, nul doute. Je suis d'accord que l'on conserve des Édifices et monuments reconnus comme Patrimoine, mais ce que je veux dire, c'est qu'il ne faut pas exagérer en voulant tout tout garder...au détriment de besoins plus urgents et humanitaires. Je suis d'accord avec vous qu'il ne faut pas tout fouter en l'air!
Monsieur Jean-François,
Je suis pour -la spiritualité- je donne moi-même des cours de spiritualité. La spiritualité c'est pour tout le monde et pas besoin d'une religion dogmatique pour se faire, c'est autant pour les athées et les agnostiques que pour les croyants. D'ailleurs un article récent paru dans le journal LeDevoir, évoque que les athées ont une spiritualité. Dans mon livre l'Essence de la Vie, j'explique ce qu'est une -spiritualité- L'humain et le divin c'est tout un- on a pas a les séparer. Je pense que plus on est humain, dans le bon sens du terme, plus aussi on est -spirituel-.
Si vous lisez mon autobiographie Femme après le cloître, vous comprendrez comment un enfant peut prendre au sérieux ce qu'on lui raconte, et ceci a son détriment. Je pense que pour nous comprendre tous deux, c'est un dialogue qu'il nous faudrait.....car ce serait trop long ici.... Faites-moi signe si vous le souhaitez: andreagilles@cgocable.ca
7 janvier 2011
M. Hastings, à la place de prendre une phrase ou deux d’une personne, hors-contexte, pour tenter de le discréditer, vaut toujours mieux considérer son œuvre, dans son ensemble.
M. Rodrigue Tremblay, comme économiste et prof à l’Université de Montréal, a aidé le PQ à prendre le pouvoir en 1976 en plus d’avoir été un excellent ministre de l'Industrie et du Commerce.
C’est un défaut, trop souvent trouvé chez trop de souverainistes, de tenter de diminuer ceux qui ont une opinion constitutionnelle, légèrement ou totalement différentes de la leur, à la place de tenter des les convaincre qui vaut mieux que sarcasme ou l’insulte gratuite. Faut se faire de nouveaux amis, pas des ennemis.
Personne ne suit Archives de Vigile. Soyez le premier!