PLQ vs PQ

Y a un problème

Que faire?

Tribune libre

Pour un Québécois libéré, est-ce faire preuve de trop de cynisme que de réfléchir à ces questions :
Le PLQ aime l'argent et gagne ses élections; le PQ entretient un genre de pensée magique face à l'argent et les perd.
LE PLQ défend les grosses compagnies et les banques qui, en retour, garnissent sa caisse électorale à grands coups de millions; le PQ défend les petits qui ne donnent rien et qui se chicanent entre eux grâce aux bons soins des Libéraux qui ont plein d'argent pour fomenter par en-dessous toutes sortes de chicanes.
Le PLQ applique les théories politiques de Machiavel; le PQ se fait gentil. Ça fa que le PLQ, avec toute sa corruption, ne cesse de pourrir le système.
Le PLQ distribue des médailles aux Mordecaï racistes qui traitent nos mères de truies et nous ch.... dessus; le PQ, pour donner une image de tolérance, reçoit la m....
Le PLQ a compris que notre monde n'est pas parfait, mais que c'est le seul que nous ayons. Le PQ a intérêt à le comprendre sous peine de mort.
Au début de la Révolution tranquille, il y avait ce slogan : il est temps que ça change. Pour terminer en beauté la Révolution tranquille, il faut répéter encore et encore : il est temps que ça change. Un indice pour réaliser ce programme: l'union des Québécois à l'esprit libre, de gauche à droite, formant un arc-en-ciel. Cette union sacrée est de la plus haute urgence. Elle permettrait l'indépendance politique. Et dans le nouveau pays que nous ferons, nous aurons tout le temps pour discuter les détails et mettre les points sur les i.
En avant, Patriotes!


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1 commentaire

  • Christian Montmarquette Répondre

    7 décembre 2011


    Malheureusement Monsieur Dubreuil vous êtes bien naïf si vous pensez encore que le PQ est souverainiste...
    Le PQ n'attaque pas le Canada.
    Le PQ ne défend pas l'indépendance.
    Le PQ attaque Charest.
    Et il défend les intérêts «du PQ».
    Le PQ n'est plus un parti militant ou un parti d'idées...
    C'est un parti «provincialiste» et un parti «de pouvoir»
    Malheureux à dire, me direz-vous ?
    C'est malheureux, mais c'est comme ça.
    Et désormais fort nombreux sont ceux et celles qui l'ont constaté.
    Ne pensons qu'à Québec solidaire, Option nationale ou au Parti indépendantiste...
    Il me semble qu'on ne s'amuse pas à fonder des partis politiques pour le plaisir de la chose...
    C'est un travail, beaucoup trop dure et beaucoup trop suant pour ça.
    Merci de votre attention,
    Christian Montmarquette
    QS-Montréal
    .