Suite à l'élection de Rivière-du-Loup, frustrations

Vaut mieux analyser certaines constatations

Pour ne pas trop tomber en grosse dépression

Tribune libre

Pourquoi ? Ça donne quoi ? Vaut mieux tenter de comprendre ce qui se passe même si ça peut être un peu difficile.
Constat 1 - Les Anglos unis ont fait gagner les Libéraux
Constat 2 - Les Francos divisés ont fait gagner les Libéraux
Constat 3 - La souveraineté pure du Québec fait encore peur à une majorité de Québécois qui ont voté fédéraliste
Constat 4 – L’ADQ a perdu 37 points qui se sont divisés à peu près également entre le PQ et le PLQ. Ça veut dire qu’il y a environ 50 % de souverainistes mous à l’ADQ (7,5 % plus le 35 % de votes au PQ et 2 % aux autres partis indépendantistes, totalise 44,5 %) Ça balance très bien avec les sondages sur la popularité de la souveraineté.
Constat 5 – C’est l’ADQ qui a mangé la claque à cette élection avec le PI, Québec solidaire et VLB, bien plus que le PQ.
Constat 6 – Parler de souveraineté pure ne la fait pas avancer puisque 4 candidats dont le chef du PI étaient là spécialement dans ce but là. Même le candidat du PLQ en a parlé aussi parce qu’il sait bien que ça fait encore peur au monde.
Constat 7 - La peur est un sentiment difficile à contrôler. Faut alors tenter de changer le sujet, difficile entreprise ou alors, changer le projet.


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17 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    26 juin 2009

    M. Archambault a bien raison d’écrire : «Et tout ça peut très bien se faire avec madame Marois. Quel est le problème ? »
    D’accord, Mme Marois peut très bien faire la souveraineté ou aller jusqu’à où voudront les Québécois sur ce chemin là. Elle ne peut quand même pas les forcer entre-temps Première condition, que ceux qui se disent souverainistes arrêtent de taper sur la tête des chefs du PQ, les uns après les autres, en commençant le lendemain de leur élection à la chefferie de ce parti et tenter, à la place, de leur faire confiance un peu sur leur stratégie dévoilée entièrement ou non dans le public en général et chez les fédéralistes en particulier…me semble.
    Quand M. Parizeau continue d’être membre du PQ, ça devrait rassurer, même ceux qui n’ont apprécié que lui comme chef du PQ..

  • Archives de Vigile Répondre

    26 juin 2009

    M. Nestor Turcotte a raison.
    « ... il faut d’abord que le Québec devienne indépendant. Il n’y a pas d’autre voie que celle-là. »
    « Vous ne pouvez divorcer et vous remarier en même temps avec le Canada. »
    Par contre, à mon humble avis, mais dans la même logique, en lieu et place de mariage, il faudrait plutôt dire, « mariage forcé », ce qui est toute autre chose. En effet, la mariée n'a jamais dit OUI. Il ne saurait être question de mariage valide autre part que dans la tête de l'abuseur et de celles et ceux qui ont organisé ce mariage « arrangé » contre la volonté de la mariée, mineure, promise forcée dès sa naissance à titre de part distincte de son amère patrie, à un mariage auquel elle n'a jamais consenti, ni dit quelque OUI que ce soit. On ne lui a jamais posé la question.
    Il ne saurait être question de divoce dans ses conditions. Il est plutôt question de donner la parole à la mariée pour qu'elle dénonce l'abus, et dénonce ce faux mariage, qu'elle déclare nul et non avenue. Elle seule peut le faire.
    Mais effectivement comme le dit M. Turcotte, on ne peut se marier de manière valide dans un contexte de mariage arrangé. Il faut annuler le mariage forcé d'abord. De même si on veut se remarier au monde, il faut annuler ce «mariage forcé ». Dans tous les cas il faut d'abord le dénoncer pour l'annuler. Seule la maumariée peut le faire. Il faut donc appeler le peuple souverain du Québec, cette maumariée à libérer, à dénoncer la force usurpée de ce mariage arrangé contre sa libre et souveraine volonté.
    Ce qui crée les conditions pour se marier au monde librement. C'est la souveraineté de l'État souverain du peuple souverain du Québec. Ou nous pourrons ce mariage annuler, retrouver notre célibat, notre indépendance, pour vivre dans des maisons indépendantes mais communicantes, voire partager le sucre, ou davantage, à NOTRE libre convenance, toute dépendance exclue.
    Plus question d'habiter dans les dépendances, c'est au centre du Principal qu'il nous faut habiter, d'abord. ET, avant qu'on se remarie faudra que pas mal d'eau passe sous les ponts...
    Et tout ça peut très bien se faire avec madame Marois. Quel est le problème ?

  • Archives de Vigile Répondre

    26 juin 2009

    M. Pierre Cloutier écrit : «ils tentent d’investir le Parti québécois pour faire dérailler son projet no 1.»
    Le projet numéro 1 du PQ a été, depuis le début : La souveraineté-association, pas la séparation simple et pure, Me Cloutier. M. Lévesque avait compris que sans un projet d'association avec le ROC, le PQ ne gagnerait ni élections ni référendums. M. Lévesque était pratique, lui. Il voulait quelque chose de réalisable pour avancer, pas simplement un rêve pour coller là.

  • Archives de Vigile Répondre

    26 juin 2009

    Suite
    La concurrence partisane
    Ainsi, les gens de QS roulent des mécaniques et sont fort aise de voir le PQ affaiblit par ses propres partisans, et abondent au PQ-Marois-Rentre-dedans. Mais si les putschistes parviennent à déloger madame Marois, peut-être vont-ils déchanter quand viendra le temps de ravir au PQ la clientèle qui supposément lui reviendra exclusivement entendra-t-on. Nous en serons quitte toujours pour la division du vote et la concurrence souverainiste.
    De leur côté les putschistes qui reçoivent l'appui de QS, du PI et des véhéments pour tancer le PQ-Marois, sont fort aise, mais peut importe le chef qu'ils mettront en place, il ne pourra faire disparaître ni QS, ni les plus véhéments ni probablement non plus le PI, résultat, toujours la division de la mouvance souverainiste.
    Quant à tout ce beau monde, bien sûr pas question de se commettre pour s'entendre sur les termes d'un PROGRAMME COMMUN de SOUVERAINETÉ, c'est bien trop dangereux de le voir adopter par le PQ-Marois, ce qui les obligerait par voix de conséquence de faire l'UNION souverainiste qui nous fait si cruellement si défaut. NON, vaut mieux tout saccager maintenant, foutre ça hors de la vue, et on s'arrangera plus tard pour ramasser les restes. On parce de démolir pour reconstruire, mais c'est une vrai job de cochon à la va comme j'te pousse, « Enwèye enwèye ma pit' jument... on s'arrang'ra quand ça s'ra t'temps »! Répétez après-moi...
    Une autre solution : l'UNION
    MAINTENANT L'UNION
    Commencer maintenant à exiger de toutes les instances de la mouvance souverainistes la mise sur pied d'un PROGRAMME COMMUN de SOUVERAINETÉ sur l'essentiel commun à toutes ces instances et composantes de la mouvance souverainiste.

  • Archives de Vigile Répondre

    26 juin 2009

    @ Frédéric Picard
    « Avant de dire que les 93 votes de VLB, les 89 votes de QS ou les 38 votes d’Éric Tremblay ont "nuit" au PQ, il faut peut être faire un petit devoir d’introspection et regarder du côté de l’exécutif national du PQ. »
    Très juste. En apparence, ce pourcentage insignifiant, non significatif, commande comme le disait un « examen de conscience » comme l'a dit M. Parizeau le 6 juin dernier. Mais pas seulement de la part du PQ, ce la part aussi de toutes les instances de la mouvance souverainiste.
    La division de nos troupes ne se matérialise pas seulement dans l'urne cependant comme vous le faites remarquer, mais aussi hors les urnes. Cette division, ce déchirement entre souverainiste a pour effet :
    À l'intérieur :
    - de diviser le vote, mais aussi décourager les souverainistes, notamment quand il est question d'aller voter, pourquoi, parce que les véhéments et impatients ne veulent plus voter pour le PQ, et ne se déplacent pas pour aller voter pour les véhéments, puisqu'ils n'ont aucune chance, d'après eux, ce qui décourage tout le monde ;
    - de priver le PQ des éléments les plus actifs, mobilisés, militants, actifs ;
    - de priver les autres partis des même éléments les plus actifs, parce que cette division les décourage ;
    - de priver les souverainistes d'espoir, alimentant la démission, l'abstentionnisme ;
    À l'extérieur tout cela :
    - N'inspire pas confiance ;
    - Démobilise, décourage tout le monde.
    Ce qui fait que nous sommes tous dans l'impasse.
    D'aucuns persistent et signe parce que le but c'est :
    - Battre Pauline Marois la remplacer ;
    - Quoi de mieux que de lui casser l'élan, voire les jambes.
    - Non pas pour faire ensuite l'UNION de nos forces, mais pour faire du PQ le seul parti en lice ;
    - Résultat, même division du vote souverainiste ;
    - Résultat, un gouvernement du PQ trop faible pour faire la souveraineté ;
    À qui la faute :
    - Au PQ et au Bloc ;
    - Aux putschistes ;
    - Aux véhéments ;
    - À tous les autres partisans des autres partis QS, PI, ADQ, PLQ, PLC, Conservateurs, NPD, VERTS, qui aliment la division puisqu'ils sont en concurrence et tentent soit de battre les autres ou de ravir leur clientèle ;
    - Et bien sûr â toutes les instances de la mouvance souverainiste qui ont aussi leur part de responsabilité ;
    - À chacun, chacune, des militant(e)s souverainistes ;
    - Enfin à tous les souverainistes.
    « L’incapacité du PQ a séduire cet électorat vient d’une défaillance intrinsèque au PQ. »
    Oui, mais pas seulement au PQ, d'abord à la partisannerie politique qui sévit dans et hors le PQ, notamment dans les rangs des putschistes.
    « C’est pas en crachant sur ces formations politiques que vous résoudrez ce problème. »
    Bien sûr mais c'est curieux comme cette interdiction est sélective. Elle est à pure géométrie variable. Interdit de « cracher » sur les partis concurrents du PQ, mais licence complète pour le faire contre le PQ-Marois. On tourne en rond.
    La procrastination intéressée
    Suite ici-bas

  • Archives de Vigile Répondre

    26 juin 2009

    M. Nestor Turcotte m'écrit : «le PQ a trompé la population deux fois, tant en 1980 qu’en 1995, en demandant de rester dans le Canada. »
    Non, M. Turcotte, en 1980, M. Lévesque a demandé aux Québécois de négocier pour nous sortir du Canada sauf au point de vue économique, la souveraineté-association. On aurait conservé le dollar canadien mais on aurait contrôlé tous nos impôts et toutes nos lois. Même chose en 1995 avec M. Parizeau sauf qu'il ajoutait un niveau probablement à élire.
    Il est vrai qu'en aucune occasion, le PQ nous a demandé de nous séparer du ROC. Séparé comme le séparé de M. Marcel Chaput "Pourquoi je suis séparatiste" qui était et est encore l'indépendance pure : La séparation simple et nette entre le Québec et le ROC. Le PQ n'a pas posé la question parce qu'il connaissait très bien la réponse : 22,5 % de OUI à ça.
    Une fédération n'est pas un mariage. On peut négocier pendant qu'on cohabite. Il n'y a pas de lois contre ça.

  • Michel Guay Répondre

    26 juin 2009

    La division des Québecois francophone donne une force inouie aux anglophones du Québec avec nos impôts . Cette division nous achèvera et les divisionnistes ant PQ donc anti indépendantistes le savent

  • Archives de Vigile Répondre

    26 juin 2009

    M. Frédéric Picard écrit : «Avant de dire que les 93 votes de VLB, les 89 votes de QS ou les 38 votes d’Éric Tremblay ont "nuit" au PQ, il faut peut être faire un petit devoir d’introspection et regarder du côté de l’exécutif national du PQ.»
    Je n'ai pas dit cela du tout. Les 3 n'ont pas reçu assez de votes pour nuire au PQ ici mais c'est un danger pour le futur. Ce sont les votes de l'ADQ qui manquent au PQ.

  • Archives de Vigile Répondre

    26 juin 2009

    M. Bousquet fait de l'ironie. Mais ce n'est pas mon genre.
    Pour réaliser votre rêve, une Confédération canadienne, il faut d'abord que le Québec devienne indépendant. Ça s'appelle, dans votre langage, la souveraineté «pure». Il n'y a pas d'autre voie que celle-là.
    Vous ne pouvez divorcer et vous remarier en même temps avec le Canada. Il faut d'abord devenir un pays normal, comme tous les pays. Puis, faire des ententes. Si vous pensez faire les deux opérations en même temps, vous vous trompez.
    le PQ a trompé la population deux fois, tant en 1980 qu'en 1995, en demandant de rester dans le Canada. Je vous l'ai déjà écrit des centaines de fois....Je pensais que vous aviez compris. Peine perdue. Vous ne comprendrez jamais ou...vous ne voulez pas comprendre. Parce que vous êtes avant tout un PÉQUISTE plutôt qu'un indépendantiste.
    Courage...Pauline va partir bientôt...
    Nestor Turcotte

  • Archives de Vigile Répondre

    26 juin 2009

    Monsieur Bousquet,
    on ne doit pas changer le projet parce que les gens ont peur mais plutôt changer la peur en confiance. La peur diffuse, non associée à un danger réel est une réaction anormale qui a pour effet de paralyser la personne qui en est atteinte. Il faut donc dans un premier temps, amener la personne à se rendre compte de sa peur paralysante puis, par la suite, l'amener à faire confiance aux leaders qui travaillent pour la libération du peuple québécois.Lorsque la personne maîtrisera sa peur, qu'elle fera confiance, elle se sentira libérée et prête à agir. C'est la même facon d'agir que celle qu'on doit avoir avec une personne qui a peur de l'avion. Si une personne refuse de prendre l'avion pour faire un voyage désiré, il ne faut pas changé le voyage mais la libérer de sa peur, l'amener à faire confiance au pilote et ainsi, elle osera faire son voyage. Si on ne fait pas cela avec cette personne, elle aura peur toute sa vie, donc paralysée dans son désir de voyager. C' est certain qu'on peut la laisser avec sa peur mais, en agissant ainsi, on démissionne et la personne ne sera jamais libre. Pour l'indépendance du Québec, il faut déprogrammer les québécois qui ont été programmés pour avoir peur, développer leur confiance et, ainsi, ils se sentiront libres de choisir la liberté du peuple plutôt que de passer leur vie paralysés par la peur.

  • Archives de Vigile Répondre

    26 juin 2009

    Tiens, tiens,la cinquième colonne dont fait partie Gilles Bousquet est encore à l'oeuvre.
    Son but : décourager et démoraliser ceux et celles qui veulent notre indépendance nationale par la grande porte, celui de l'honnêteté, de la transparence, de la volonté et du courage.
    C'est pourquoi Gilles "Cinquième colonne" Bousquet va toujours appuyé tous les projets qui tendent à diluer le produit, pour le rendre incolore, inodore et sans saveur, comme ce Plan Marois qui pue la reddition, la soumission, le renoncement et la lâcheté.
    On les connait bien ces gens-là. On les a dans les jambes deuis 35 -40 ans. Au lieu de militer carrément au Parti libéral ou à l'ADQ, ils tentent d'investir le Parti québécois pour faire dérailler son projet no 1.
    Ce sont eux qui ont maintenant le contrôle du PQ sous Marois, comme ils l'avaient sous Pierre-Marc Johnson, sous Lucien Bouchard et sous Boisclair.
    Si au moins, ils pouvaient prendre leur retraite....
    Pour réussir, il va falloir "débousquer" tout cela. On attend juste que Pauline tire sa révérence. Ça s'en vient...
    Pierre Cloutier

  • Jean-François-le-Québécois Répondre

    26 juin 2009

    Ce que je comprends pour ma part, et même si cela est difficile, en effet, c'est que l'Histoire est en train de nous rattraper. Et que nous assistons au début de la fin, concernant cette nation qui est la nôtre.

  • Frédéric Picard Répondre

    26 juin 2009

    Avant de dire que les 93 votes de VLB, les 89 votes de QS ou les 38 votes d'Éric Tremblay ont "nuit" au PQ, il faut peut être faire un petit devoir d'introspection et regarder du côté de l'exécutif national du PQ.
    Il n'y a pas beaucoup d'anglos à "Wolf river" ou "Seal dog river". L'incapacité du PQ a séduire cet électorat vient d'une défaillance intrinsèque au PQ. C'est pas en crachant sur ces formations politiques que vous résoudrez ce problème.

  • Archives de Vigile Répondre

    26 juin 2009

    M. Turcotte me demande ce que c'est la souveraineté pure et s'il y en a une sorte d'impure.
    La pure me semble être celle qui ne souffre pas d'ententes futures, principalement avec le méchant ROC qui nous a fait tant suer et l'impure serait celle qui autoriserait un peu de taponnage entre le ROC et le Québec "certains attouchements".
    Une affaire pure est une affaire qui n'endure pas les mélanges comme : du jus de pomme pur, un Catholique qui sort du confessionnal ou la pure joie de M. Charest lundi soir dernier.

  • Archives de Vigile Répondre

    26 juin 2009

    Une majorité a voté contre le Canada actuel. Sans parler des autonomistes, des fédéralistes-rénovateurs et des souverainistes qui votent pour le PLQ. Le Canada actuel ne passe pas, normal, il n'a jamais obtenu le OUI qui le validerait.
    Les Québécois de Rivière-du-Loup ont voté du côté du pouvoir à court terme. Ils ne pouvaient pas le changer de toutes les façons. Ce sera autre chose aux prochaines élections générales à Ottawa et Québec.
    Le mode politique n'est pas une mode
    Un projet politique de souveraineté n'est pas une maque de yogourt comme le dit si bien Pierre Falardeau à propos de la liberté. En changer ne changera rien. C'est fondamental. La souveraineté du peuple en démocratie n'est pas négociable, sinon ce n'est pas la démocratie.
    L'État actuel du Canada est abusivement imposé de force et d'Autorité autocratique sans se jamais nommément soumettre aux voix du peuple. Sa légalité est illégitime. Voilà ce qu'il nous faut incarner dans autre chose que le simple fait de le dire. Il faut l'écrire dans la LOI du peuple souverain du Québec, l'écrire en toutes lettres dans une Institution démocratique valide. Aucune ne l'est actuellement dans cet État. Il nous faut exiger dans la LOI légitime qui s'exprime nommément par les voix du peuple souverain que s'impose l'Autorité suprême du peuple souverain et non celle usurpée d'un État du Canada avatar sans rupture d'une Autorité impériale abusive. Une Autorité usurpée qui s'impose hors le peuple souverain, par dessus lui, imposant SA Couronne imposante qui pèse sur lui de tout son poids et qui la habitué à n'avoir de recours que dans la pétition, la requête et la protestation. Il nous faut enlever à cette Couronne son poids d'Autorité usurpatrice qui nous fait requérant.
    Nous sommes le peuple souverain
    Toute requête doit désormais lui être adressée, et non pas le contraire. L'État doit requérir l'approbation du peuple et non le contraire. Le peuple souverain n'a pas à demander à l'État d'être ce qu'il désire. C'est l'État qui doit demander au peuple souverain s'il correspond bien au désir du peuple, ces désirs qui sont des ordres. Et non le contraire, le désordre qu'un État impose de force et d'Autorité usurpatrice en inversant l'ordre démocratique qui fait du peuple souverain LE Souverain.
    Consommer/Jeter
    S'il faut changer, ce n'est pas de projet, mais plutôt ce qui le fonde. Ce qui le fonde, c'est le principe démocratique de la souveraineté du peuple se posant elle-même en Autorité suprême subordonnant l'État à SA volonté. Il nous faut appeler ce peuple souverain à déposer la Souveraine. Il nous faut appeler le peuple à lui retirer sa Couronne.
    Il nous faut appeler le peuple souverain du Québec à exiger la réciprocité, l'équité, la symétrie des règles démocratiques qui valide ou invalide l'État qui gouverne le gouvernement qui gouverne le peuple souverain. L'Ordre actuel est inverti. Il faut le renverser.
    Renverser le fardeau de la preuve
    Il faut appeler le peuple souverain du Québec à invalider tout État qui n'a pas ou n'aurait pas soumis nommément à sa référendaire et libre approbation les Actes qui les fondent, les constituent et les gouvernent. Il faut éventuellement appeler à répudier nommément ceux qui fondent l'actuel État illégitime du Canada.

  • Archives de Vigile Répondre

    26 juin 2009

    [ «Jean Charest est mort de rire. Dans Marguerite-Bourgeoys et dans Rivière-du-Loup, on vient de lui dire: [ «Surtout, ne changez rien. Ce que vous faites et ne faites pas, on aime ça comme ça »].Il travaille à n'avoir aucune opinion sur rien et à rester au neutre à plein temps.Charest est en train de faire la démonstration qu'en politique, moins on en fait, plus on a de chances de rester en poste. ---Lise Payette,le Devoir,26 juin 2009 »]

  • Archives de Vigile Répondre

    26 juin 2009

    Monsieur Bouquet,
    Vous parlez de «souveraineté pure».
    Y a-t-il une souveraineté impure?
    Voulez-vous m'expliquer votre jeu, ma foi!

    Nestor Turcotte