Monsieur le Président-légitime des États-Unis

M. Donald J. Trump,

<< La première panacée pour une nation mal dirigée est l'inflation monétaire, la seconde est la guerre. Les deux apportent prospérité temporaire et destruction indélébile. Les deux sont le refuge des opportunistes économiques et politiques. >> Ernest Hemingway

Avant de mettre en évidence l’<< obsession >> comme objectif depuis les derniers 30 ans de Donald J. Trump afin de créer des centaines de milliers d’emplois faisant que la richesse soit en mouvement évolutif telle que prouvée par ses projets accomplis ou non réussis, voyons ce que propose Kamala Harris, la mercenaire politique du Parti Démocrate (une organisation dédiée à promouvoir la décadence des États-Unis)(1) comme opposition à celle décrite antérieurement :

Kamala Harris a promis mercredi que sa présidence ne serait pas « une continuation » de celle de Joe Biden, lors d'une entrevue tendue sur Fox News, la chaîne préférée des conservateurs américains.

 <<Comme chaque nouveau dirigeant qui prend ses fonctions, j'apporterai mon vécu, mes expériences professionnelles et des idées nouvelles >>, a affirmé la candidate démocrate, à 20 jours de l'élection présidentielle américaine.

La vice-présidente, qui a remplacé Joe Biden à la mi-juillet dans son duel avec Donald Trump, se prête à un délicat exercice d'équilibriste – bien obligée d'imprimer sa propre marque sur la campagne, sans pour autant renier le mandat du dirigeant octogénaire.

(…).

Juste avant sa première interview sur Fox News, Mme Harris s'était déjà adressée aux républicains lors d'un rassemblement en Pennsylvanie, en citant le général Mark Milley, l'ancien haut responsable militaire de M. Trump, qui l'a décrit comme étant << fasciste jusqu'au bout des ongles. >>(2)

(…).

Harris promet une présidence en rupture avec celle de Biden

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2112938/kamala-harris-joe-biden-interview-fox-news

La réalité des États-Unis est celle présentée avec les paramètres suivants en évolution décadente en rapport aux autres pays anti-USA ayant été renforcés économiquement, technologiquement et financièrement par les gouvernements antipatriotes du Parti Démocrate << hors la loi >> promouvant aussi l’immigration illégale(3) et surtout trahissant la Constitution Américaine comme dénoncé par Mark Levin faisant référence à l’imposture de Kamala Harris :

Life, Liberty & Levin 10/19/24| BREAKING FOX NEWS October 19, 2024

https://www.youtube.com/watch?v=U45F6XceS1E

TRUMP BASHES BIDEN-HARRIS ECONOMY

https://www.youtube.com/watch?v=olg2ArZzYBo

Les néo-impérialismes anti-USA s’organisent contre la puissance armée du tandem États-Unis-Israël afin de pourvoyer en armes les pays et groupes terroristes antisémites au Moyen-Orient :

Une alliance entre la Turquie, l'Iran et la Russie?

https://www.youtube.com/watch?v=NohwE6oyedU

Comment l’Iran des Ayatollahs avec des complices de l’État-profond anti-USA infiltrent le Pentagone avec des ressortissants irano-américains afin de renseigner les ennemis des États-Unis :

Fuites au Pentagone : la taupe est une iranienne

https://www.youtube.com/watch?v=zmu1FLtjl8Y

De plus, tel que prévu le régime communiste chinois de Xi Jinping s’apprêt pour une éventuelle victoire de Donald J. Trump lors de l’élection présidentielle du 5 novembre :

Le président chinois Xi Jinping a appelé cette semaine les troupes à renforcer leur préparation à la guerre, ont rapporté samedi les médias d'État, quelques jours seulement après que Pékin a organisé des manœuvres militaires à grande échelle autour de Taïwan.

M. Xi a fait ces commentaires jeudi alors qu'il visitait une brigade de la Force des Roquettes de l'armée, selon la chaîne de télévision publique CCTV.

Le chef d’État chinois a déclaré que l'armée devait renforcer de manière complète l'entraînement et la préparation à la guerre [et] s'assurer que les troupes disposent de solides capacités de combat, a rapporté CCTV.

(…).

L’armée chinoise va se préparer davantage à la guerre, annonce Xi Jinping

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2113570/chine-armee-guerre-xi-jinping

D’autre part, il faut mettre en évidence les économies des pays les plus développés au monde afin de constater leurs atouts et leurs faiblesses :

Le classement des dix plus grandes puissances économiques mondiales en 2024 en fonction de leur PIB a été publié par le site spécialisé Forbes. Selon ce classement, les Etats-Unis demeurent le pays le plus riche du monde, devant la Chine et l’Allemagne, qui complètent le podium.

Le produit intérieur brut (PIB) est un indicateur qui permet d’évaluer la puissance économique d’un pays. Il permet de quantifier la valeur totale de la «production de richesse» annuelle effectuée par les agents économiques résidant à l'intérieur d'un territoire. Il est souvent rapporté au nombre d’habitants du territoire donné, pour obtenir le PIB par habitant, ce qui change l'ordre du classement.

Canada

L'économie canadienne repose en grande partie sur ses abondantes ressources naturelles, notamment le pétrole, le gaz, les minéraux et le bois. En outre, le pays peut compter sur un secteur de services florissant, sur une industrie manufacturière bien établie et sur une volonté importante d'encourager l'innovation et les progrès technologiques. Le taux de croissance du PIB du Canada est de 1,2%.

Brésil

L'économie brésilienne présente un large éventail de secteurs, englobant l'agriculture, l'exploitation minière, l'industrie manufacturière et les services. Il s'agit notamment d'un centre mondial de premier plan pour la production et l'exportation de produits agricoles. Plusieurs facteurs, dont les prix des matières premières, la consommation intérieure et les progrès des infrastructures, déterminent la croissance de l'économie brésilienne. Le taux de croissance du PIB du Brésil est de 2,2%.

Italie

Troisième économie de l'Union européenne, et huitième mondiale, l'Italie peut se targuer d'avoir un marché très développé. Le pays est connu pour son secteur commercial influent, pour son tourisme et pour son industrie agricole compétitive. Le taux de croissance du PIB de l’Italie est de 0,7%.

France

La France se classe en 7e position du classement des puissances économiques mondiales avec un PIB estimé à 2.920 milliards de dollars en 2023. L'économie française se caractérise par sa diversification, mettant l'accent sur des industries telles que l'aérospatiale, le tourisme, les produits de luxe et l'agriculture. La France est réputée pour son solide système de protection sociale, ses infrastructures développées et ses investissements dans la recherche et le développement. Le taux de croissance annuel du PIB de la France est de 0,7%.

Royaume-Uni

L'économie du Royaume-Uni, placée en 6e position du classement, se compose d'un mélange de services, d'industries manufacturières, de finance et de secteurs créatifs, et se trouve bien aidée par sa capitale, Londres, qui est un immense centre financier mondial attirant les investissements étrangers. Ses alliances commerciales et la mondialisation façonnent également l'expansion économique du Royaume-Uni. Le taux de croissance annuel du PIB du Royaume-Uni est de 0,5%.

Inde

L'Inde est classée en cinquième position du classement des plus grandes puissances économiques mondiales en 2024. L'économie indienne se caractérise par sa diversité et sa croissance rapide, alimentée par des secteurs clés tels que les technologies de l'information, les services, l'agriculture et l'industrie manufacturière. Le pays tire parti de son vaste marché intérieur, d'une main d'œuvre jeune et compétente sur le plan technologique, et d'une classe moyenne en pleine expansion. Le taux de croissance annuel du PIB de l’Inde est de 6,8%.

Japon

L'économie japonaise se distingue notamment par sa technologie de pointe, son industrie manufacturière et ses services. Les secteurs les plus importants sont l'automobile, l'électronique, et la finance. En outre, le Japon est reconnu pour son éthique de travail inébranlable, ses avancées technologiques pionnières et ses exportations exceptionnelles de produits de qualité supérieure. Le taux de croissance annuel du PIB du Japon est de 0,9%.

Allemagne

L'économie allemande est fortement axée sur les exportations et bénéficie de secteurs très solides dans l'ingénierie, l'automobile, la chimie et la pharmacie. Elle tire son avantage de sa main d'œuvre qualifiée, de ses initiatives solides en matière de recherche et de développement et de son engagement prononcé en faveur de l'innovation. Le taux de croissance annuel du PIB de l’Allemagne est de 0,2%.

Chine

La Chine a connu un essor économique notable, passant du quatrième rang du classement en 1960 au deuxième rang en 2023. L'économie chinoise repose principalement sur l'industrie manufacturière, les exportations et les investissements. Elle possède une main d'œuvre nombreuse, un soutien gouvernemental solide, des infrastructures de plus en plus qualitatives et un marché de consommateurs en pleine expansion. Le taux de croissance annuel du PIB de la Chine est de 4,6%.

Etats-Unis

Les Etats-Unis conservent leur statut de plus grande puissance économique mondiale et de pays le plus riche, en maintenant fermement leur position au sommet du classement de 1960 à 2023. Leur économie présente une grande diversité, portée par des secteurs importants tels que les services, l'industrie manufacturière, la finance et la technologie. Les États-Unis jouissent d'un marché de consommateurs important, encouragent l'innovation et l'esprit d'entreprise, possèdent des infrastructures solides et bénéficient de conditions commerciales avantageuses. Le taux de croissance annuel du PIB des USA est de 2,7%.

Sur le même sujetFrance : la croissance du PIB atteint 0,5% au deuxième trimestre, annonce l'InseeLire

Derrière ces dix pays, on retrouve dans l’ordre : la Russie, le Mexique, l’Australie, la Corée du Sud, l’Espagne, l’Indonésie, les Pays-Bas, la Turquie, l’Arabie saoudite, et la Suisse.

économiePIB

Voici les 10 plus grandes puissances économiques mondiales en 2024

https://www.cnews.fr/monde/2024-05-03/voici-les-10-plus-grandes-puissances-economiques-mondiales-en-2024-1490870#:~:text=Le%20classement%20des%20dix%20plus,Allemagne%2C%20qui%20compl%C3%A8tent%20le%20podium.

La question se pose régulièrement : mais quelles nations règnent sur l’ordre mondial, et qui sont les principaux pays susceptibles de se faire une place parmi les grands de notre planète ? Quelles sont les plus grandes puissances économiques mondiales en 2024 ? Quelles sont les puissances militaires mondiales ? Business Cool revient pour toi sur les caractéristiques des plus grandes puissances du monde.

 Qu’est-ce qu’une puissance mondiale ?

Une puissance mondiale est un État dominant dont les ressources militaires et économiques se complètent pour s’affirmer comme une force durable à l’échelle du monde. Au fil le temps, la notion de puissance a tendance à s’élargir au- delà des deux critères principaux cités précédemment. Les enjeux culturels, éducatifs et territoriaux deviennent de plus en plus prépondérants. La puissance d’un État reste relative et est soumise aux évolutions du monde qui l’entoure. Elle est tributaire de la bonne association entre toutes ses forces en présence et de la situation des autres pays.

Lire aussi : Le salaire des présidents des plus grandes puissances mondiales en 2022

Puissance militaire mondiale : définition

Un critère historique qui définit la force d’un pays à l’international demeure la puissance militaire. Généralement défini par les volumes des troupes armées, l’arrivée de la dissuasion nucléaire a altéré la mesure de la puissance dans le sens pratique. Seul un total de 9 pays détient l’arme atomique – la Russie, les Etats-Unis, la France, le Royaume-Uni, la Chine, l’Inde, Pakistan, Israël et la Corée du Nord. En sachant que le risque de déclarer la guerre avec ces puissances mondiales entraîne la possibilité de sérieusement toucher son propre territoire, le développement de la puissance militaire est un atout conséquent. L’exemple le plus dramatique de l’utilisation de cette arme est le cas japonais avec les bombardements d’Hiroshima et de Nagasaki en août 1945. D’un autre côté, les armes peuvent devenir rapidement et inaccessibles. Aujourd’hui, elles jouent un rôle dissuasif.

Si cette arme reste un moyen de dissuasion très efficace, quantifier la puissance militaire d’un pays repose sur d’autres facteurs. Armement mobilisé, forces terrestres, aériennes et navales disponibles, et budget alloué à toutes ces composantes, une puissance militaire est avant tout une nation préparée. La puissance militaire est donc définie par la qualité et quantité de ses moyens d’attaque et de défense, combinés à la possession de l’arme nucléaire. 

Quelles sont les plus grandes puissances militaires mondiales en 2024 ?

Les plus grandes puissances militaires du monde sont forcément les États-Unis, la Russie et la Chine. Ces grandes puissances mondiales se distinguent par le nombre d’ogives nucléaires qu’elles possèdent mais aussi le parc de soldats actifs présent dans leurs armées. À noter que, pour établir ce classement des plus grandes puissances militaires mondiales, nous nous sommes basés sur les informations de Statista et le nombre de soldats uniquement actifs. Lorsqu’une croix apparaît dans une des lignes des puissances militaires ici présentes, cela signifie qu’elle ne possède par l’arme nucléaire.

Lire aussi : Le classement des puissances militaires mondiales en 2023

Une puissance économique

Le terme puissance économique peut se résumer en une question simple : qui est le plus riche ? Qui génère le plus de dollars ? On en revient donc à mesurer la richesse d’un pays. Celle-ci peut-être calculée en fonction du PIB (Produit Intérieur Brut) de chaque nation.

Le PIB est la somme des valeurs ajoutées de toutes les entreprises situées sur le territoire, en tenant compte de ses activités nationales, et internationales. Le PIB mesure donc la valeur de tous les biens et services produits dans une nation sur un exercice calculé selon le prix du marché. Si un pays enregistre une augmentation du PIB, il croît.

Pour le calculer, les institutions financières ou statistiques spécialisées se basent sur trois critères : la production, les dépenses et le revenu. Si les revenus liés à l’industrie et autres activités commerciales génératrices de revenus, l’environnement d’un État joue un rôle majeur dans sa croissance… ou non.

Les ressources naturelles des puissances mondiales

La puissance d’un pays ne se caractérise pas uniquement par sa force militaire et son développement économique. Il est parfois basé essentiellement sur les ressources naturelles présentes sur son territoire. Diversité des terres cultivables, sous-sols garnis en énergie, développement des activités marines, chaque pays est aussi dépendant de l’environnement dans lequel il est situé… et certains sont mieux lotis que d’autres.

Lire aussi : Le salaire moyen en Russie en 2023

Des ressources culturelles

La richesse d’un pays ne se mesure pas qu’en millions de dollars : le patrimoine culturel est aussi important et peut, dans certains cas, être un véritable moteur de l’économie du pays, à travers les activités liées au tourisme. La France est en un parfait exemple puisqu’il représente environ 7% du PIB national. Dans les pays les plus pauvres, mais qui regorgent de ressources naturelles et culturelles, il est un rouage essentiel de l’économie.

Le classement des pays par PIB en 2024

Lire aussi : Classement des pays par PIB 2023 : les pays les plus riches du monde

Le classement des plus grandes puissances mondiales en 2024

Business Cool a réalisé, en recoupant les palmarès reposant sur les critères militaires, via le classement Global FirePower et le SIPRI (Stockholm International Peace Research Institute), et économiques, via l’étude annuelle réalisée par le FMI, un classement des plus grandes puissances de notre planète :

Plus grandes puissances mondiales : les puissances démographiques en 2024

Bien que souvent sous-estimée par rapport aux puissances militaires et économiques, la puissance démographique joue un rôle crucial en influençant directement ces deux autres types de puissance. En effet, un pays doté d’une population importante peut également posséder une armée conséquente et potentiellement menaçante. Par exemple, depuis la partition des Indes en 1947, le Pakistan a cherché à accroître sa population afin de pouvoir rivaliser avec l’Inde en cas d’attaque ou d’invasion.

De plus, un marché intérieur de grande envergure se traduit généralement par un produit intérieur brut (PIB) élevé. Les États-Unis en sont un exemple éloquent : classés troisième pays le plus peuplé au monde, leur vaste population contribue à maintenir une part considérable de leur production destinée au marché intérieur. C’est ainsi que la population américaine contribue largement à la position de leader économique mondial occupée par le pays.

Business Cool te propose toutefois le classement 2024 des plus grandes puissances démographiques mondiales ou le classement des pays en fonction du nombre d’habitants :

Les plus grandes puissances mondiales en 2024

Les États-Unis caracolent en tête

Les États-Unis restent en tête du classement des plus grandes puissances mondiales. Avec une armée de 1.390.000 million de soldats actifs et 440 000 réservistes, un budget de 916 milliards de dollars et 3 708 ogives nucléaires, ils demeurent la plus grande force armée de la planète.

Ce statut est renforcé par une puissance économique au moins aussi impressionnante, avec un PIB estimé à 26 185 milliards de dollars.

Lire aussi : Le salaire moyen aux États-Unis (USA) en 2022

La Chine

La Chine est, depuis plusieurs dizaines d’années, entrée en concurrence avec son homologue américain et tente de lui dérober le trône. Avec un PIB de 21 643 milliards de dollars, la Chine n’a d’égal que le pays de l’Oncle Sam et devance assez largement son voisin japonais, avec ses 4 365 milliards de dollars, en 3e position.

Une place sur l’échiquier mondial confortée par l’armée la plus dense du monde, avec près de deux millions de soldats actifs. Le budget dédié aux dépenses liées à celle-ci s’élève à 296 milliards de dollars, soit 500 milliards de moins que les États-Unis. Sur le plan nucléaire, l’Empire du Milieu possède 500 missiles nucléaires. Elle est considérée comme la troisième armée la plus puissante de la planète.

Lire aussi : Le salaire moyen en Chine

L’Europe unifiée

Si l’Allemagne, la France, et le Royaume-Uni sont encore aujourd’hui les plus grandes puissances européennes, rivaliser avec les deux ogres évoqués ci-dessous n’est pas concevable. Le PIB de l’Union Européenne (soit 27 pays), s’élève à 16 970 milliards de dollars, soit près de dix milliards de moins que les États-Unis. Le PIB de la France, s’élève à 2 806 milliards de dollars.

Les forces armées des États de l’Union européenne, constituées par les armées de chaque État, demeurent chacune sous le contrôle politique et militaire de leurs États respectifs d’appartenance. Il n’existe pas d’armée de l’Union Européenne.

La France et ses 205 000 soldats actifs est la deuxième armée d’Europe, derrière la Russie et ses 831 000 de soldats.

Les puissances mondiales du futur

Si les mastodontes chinois, japonais, américain et européens se partagent les premières places depuis des dizaines d’années, le XXIe siècle voit l’avènement de nouvelles forces émergentes, avec pour principal objectif : changer l’ordre mondial.

L’Inde

L’Inde est le pays le plus peuplé du monde, avec 1 441 720 000 milliard d’habitants. Avec 1.45 million de soldats actifs, cette nation talonne la Chine au rang des armées les plus denses de la planète. Détentrice de l’arme nucléaire depuis le milieu des années 70, elle s’est d’abord affirmée comme l’une des principales forces armées du monde, avant de devenir une économie prospère et ambitieuse.

Avec un PIB estimé à 3 820 milliards de dollars, elle est la cinquième plus grande puissance économique du monde. Son statut de puissance mondiale est cependant peut-être remis en cause en raison des faibles revenus par habitants. Si l’économie se porte bien, l’Inde reste un pays relativement pauvre, avec un revenu mensuel moyen d’environ 200 dollars.

Le Brésil

Le Brésil est l’une des nouvelles forces mondiales et règne en maître sur son continent après une croissance fulgurante depuis le début des années 2000. Son PIB a triplé depuis 25 ans et se positionne désormais comme la 10e économie mondiale, avec un PIB estimé à 2 059 milliards de dollars. Une fulgurante progression économique corrélée avec le développement de sa puissance militaire, puisque le pays possède là aussi, la 10e puissance armée du monde, avec près de 360 000 soldats actifs, et trois fois plus de réservistes.

Prochaine étape ? La conquête du nucléaire ? Non, car le pays refuse d’y avoir recours. Le progrès passera par la richesse obtenue par chacun de ses habitants, car si le pays prospère, les inégalités demeurent.

Puissances mondiales : les prévisions de croissance du FMI

Les prévisions de croissance du FMI concernant les plus grosses puissances mondiales a été revu à la baisse ces derniers mois. En cause ? La crise énergétique, mais aussi économique. Le FMI prévoit donc un ralentissement de la croissance en 2023 par rapport à 2022.

Comme tu pourras le voir, certains pays sont plus durement touchés que d’autres, à l’image de la Russie, de l’Italie ou de l’Allemagne. Néanmoins, les puissances mondiales émergentes sont moins impactées et poursuivent leur croissance. Voici les différentes prédictions pour chacune des plus grandes puissances mondiales :

• États-Unis : 1% (contre 1,6% en 2022)


• Zone euro : 0,5% (contre 3,1%)


• Allemagne : -0,3% (contre 1,5% en 2022)


• France : 0,7% (contre 2,5% en 2022)


• Italie : -0,2% (contre 3,2%)


• Espagne : 4,3% (contre 1,2%)


• Japon : 1,6% (1,7% en 2022)


• Royaume-Uni : 0,3% (contre 3,6% en 2022)


• Canada : 1,5% (3,3% en 2022)


• Autres puissances mondiales ou « pays avancés » : 2,3% (contre 2,8% en 2022)


• Pays émergents : 3,7% (contre 3,7% en 2022)


• Chine : 4,4% (contre 3,2% en 2022)


• Inde : 6,1% (6,8% en 2022)


• Russie : -2,3% (contre -3,4% en 2022)


• Brésil : 1% (contre 2,8% en 2022)


• Mexique : 1,2% (contre 2,1%)


• Arabie saoudite : 3,7% en 2023 (7,6% en 2022)


• Afrique subsaharienne : 3,7% (contre 3,6% en 2022)

L’évolution du classement des plus grandes puissances mondiales : les puissances du passé

Nous avons évoqué les puissances mondiales actuelles et les puissances mondiales à venir. Mais qu’en est-il des puissances du passé ? On peut notamment penser à la position dominante de la France sous le règle de Louis XIV et Napoléon Bonaparte. Il s’agissait en effet d’une puissance qui a exercé son influence en Europe, mais aussi sur d’autres régions du monde.

Parmi les autres puissances mondiales du passé, on retrouve également l’Empire espagnol, qui a asservi sa domination sur l’Amérique du Nord et du Sud. L’Empire russe, et notamment l’URSS, s’est également imposé à travers l’Europe et l’Asie. La Chine affichait une certaine domination mondiale sous la dynastie Qing.

Mais quelles sont les causes de la chute de ces empires ? Il est important de tirer des leçons du passé pour éviter de reproduire ses erreurs. La plupart du temps, des conflits militaires, des crises économiques ou la corruption conduisent à la chute d’une puissance mondiale. En d’autres occurrences, des conflits internes ou révoltes peuvent mettre fin à la domination d’un empire. Par exemple, la dynastie Qing s’est terminée par une révolution. La population souhaitait en effet exprimer son mécontentement face à la corruption présente dans le pays.

Autre cause de la chute d’un empire : la pression externe ou la compétition. C’est notamment ce qui est arrivé à l’Empire russe qui s’est retrouvé affaibli par le développement économique et militaire d’une autre puissance mondiale : l’Europe. En effet, même si l’Europe n’est pas vraiment un pays, son fonctionnement unique lui permet de disposer d’une force de frapper sur le plan financier, mais aussi militaire.

Classement des puissances mondiales 2024 : l’impact du soft-power

Le soft-power est un terme qui a été popularisé par Joseph Nye. Il désigne la capacité d’un pays à influencer d’autres nations non pas par la contrainte, mais par l’attraction. Une manière douce d’exercer et démontrer son pouvoir finalement. Il s’agit de séduire et d’attirer, que ce soit par la culture, les valeurs ou la politique étrangère. Dans un monde globalisé, où l’information circule librement, le soft-power est devenu un outil essentiel dans l’arsenal diplomatique des grandes puissances.

Prenons l’exemple de la culture. Les films hollywoodiens, les séries télévisées américaines ou la musique populaire ont largement contribué à véhiculer une image positive des États-Unis à travers le monde. De même, la gastronomie française, la mode italienne ou la technologie japonaise sont autant d’éléments qui renforcent l’attrait de ces nations sur la scène internationale.

Mais le soft-power ne se limite pas à la culture. Les initiatives en matière de développement durable, les politiques éducatives ou les programmes d’aide humanitaire peuvent également renforcer l’image d’une nation. Dans le classement des puissances mondiales, le soft-power joue donc un rôle de plus en plus prépondérant.

Cependant, il est essentiel de noter que le soft-power ne peut fonctionner seul. Il doit être soutenu par une économie solide, une armée puissante et une diplomatie efficace. En combinant hard-power et soft-power, les nations peuvent maximiser leur influence aux quatre coins du globe.

Le classement des plus grandes puissances mondiales 2024

https://business-cool.com/decryptage/analyse/classement-puissances-mondiales/

"La dette publique mondiale est très élevée. Le niveau d'endettement devrait dépasser les 100 000 milliards de dollars (soit 93% du PIB mondial) en 2024 et continuer à augmenter jusqu'à la fin de la décennie, atteignant près de 100 % du PIB d'ici à 2030", a annoncé l'institution financière.

Le Fonds monétaire international (FMI) a tiré la sonnette d'alarme quant à la hausse de la dette publique mondiale qui "devrait dépasser les 100 000 milliards de dollars en 2024", et ce dans son rapport du mois d'octobre, publié sur son site officiel.

"La dette publique mondiale est très élevée. Le niveau d’endettement devrait dépasser les 100 000 milliards de dollars (soit 93% du PIB mondial) en 2024 et continuer à augmenter jusqu’à la fin de la décennie, atteignant près de 100 % du PIB d’ici à 2030", a annoncé l'institution financière.

"La dette mondiale à risque, c’est-à-dire le niveau d’endettement futur dans un scénario défavorable extrême (...) atteindrait 115 % du PIB en 2026", indique encore le FMI, expliquant que "l’endettement élevé qui prévaut aujourd’hui amplifie les effets du fléchissement de la croissance ou du durcissement des conditions financières conjugué au creusement des écarts des niveaux d’endettement futurs".

Pour les variations par groupe de pays, le Fonds monétaire international relève que dans l’ensemble des pays avancés, la dette à risque "recule quelque peu par rapport aux sommets atteints pendant la pandémie" de Covid-19 et "est estimée à 134 % du PIB", alors que dans les pays émergents et les pays en développement, "la dette à risque a augmenté et représente 88 % du PIB".

Le FMI explique les écarts au sein d’un groupe de pays et d’un groupe à l’autre par "un endettement initial plus conséquent dans les pays avancés et à des déficits primaires élevés dans les pays d’importance systémique, comme la Chine et les États-Unis", alors que "les conditions financières contribuent davantage à accroître les risques liés à la dette dans les pays émergents et les pays en développement".

"Les mesures d’ajustement budgétaire envisagées actuellement sont très insuffisantes pour qu’il soit fortement probable de parvenir à stabiliser (ou réduire) la dette. L’heure est venue de reconstituer les marges de manœuvre budgétaire", conclut-on, précisant qu'"adopter une posture attentiste peut coûter cher : dans les pays où il est prévu que la dette continue à augmenter, comme l’Afrique du Sud, le Brésil, la France, les États-Unis, l’Italie et le Royaume-Uni, reporter les mesures rendra l’ajustement nécessaire encore plus élevé".

La dette publique mondiale devrait dépasser les 100 000 milliards de dollars en 2024, alerte le FMI

- Soit 93% du PIB mondial

https://www.aa.com.tr/fr/%C3%A9conomie/la-dette-publique-mondiale-devrait-d%C3%A9passer-les-100-000-milliards-de-dollars-en-2024-alerte-le-fmi/3363139

En conclusion :

Il faut signaler que 35 % de la dette mondiale évoquée antérieurement correspond à celle contractée par les États-Unis, soit, au 2 novembre 2024, 35 268 milliards US$ ou 105 000 dollars par habitant américain. Dans ce contexte de ruine financière, de décadence économique, décontrôle monétaire national ainsi que démocratisation de la vie politique, le retour de Donald J. Trump à la Maison-Blanche le 20 janvier 2025 est une condition sine qua non afin de redresser la situation actuelle des États-Unis et apaiser les conflits armés en Ukraine et au Moyen-Orient. Pour plus de détails sur la dette américaine, veuillez consulter :

Maye Musk: This is the ‘only way’ to save America

https://www.youtube.com/watch?v=Jqz-uHGd2SY

Cordiales salutations,

Jean-Louis Pérez-Martel

_________________

*. En économie, une contraction est une diminution du niveau d'activité, synonyme de « décroissance ». On utilise également le terme « récession » qui désigne en France pour l'INSEE une diminution du PIB sur deux trimestres consécutifs^1,2. Une dépression est une contraction durable de la production et de la consommation. (Information extraite de Wikipédia).

1. Les États-Unis sont une société de plus en plus inégalitaire et la campagne électorale exacerbe le phénomène. C’est ce qu’affirme la professeure de sociologie à l'Université Harvard, Michèle Lamont.

Établie aux États-Unis depuis plus de 40 ans, elle constate que les inégalités sociales et économiques sont toujours en hausse aux États-Unis, et que la classe ouvrière est de plus en plus isolée.

<< La société américaine se porte mal. >>

Une citation de Michèle Lamont, professeure de sociologie à l'Université Harvard

<< L'espérance de vie a beaucoup diminué au cours des dernières années, au moment où les inégalités sociales ont énormément augmenté. […] Il y a une crise de santé mentale aiguë parmi les jeunes et la classe ouvrière >>, explique la chercheuse dans le cadre d’un grand entretien réalisé par Gérald Fillion pour le balado Question d'intérêt.

(…).

Défenseur de la classe ouvrière

Lorsque vient le moment de capter l'attention des ouvriers, un candidat sort du lot, croit la professeure. Comme il l’a fait lors de la campagne électorale de 2016, le candidat républicain Donald Trump se présente comme le défenseur des travailleurs, une stratégie payante selon Michèle Lamont.

(…).

« La société américaine se porte mal », le froid constat d’une sociologue réputée

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2113132/michele-lamont-question-interet-entrevue-etats-unis-inegalites-politique-americaine

2. Mark Milley, ancien chef d'état-major des armées, est l’un des plus grands traîtres que les États-Unis ont eu dans son histoire :

(…).

Milley "transigeait avec la Chine pour lui faire part de ce que pensait le président des États-Unis. Il s'agit d'un acte si grave que, dans le passé, la peine encourue aurait été la MORT", a déclaré Trump sur la plateforme Truth Social.

(…).

Menacé par Trump : un général américain déclare qu'il "prendra les mesures" qui s'imposent

- "J'ai pris les mesures de sécurité nécessaires", a déclaré Mark Milley

 https://www.aa.com.tr/fr/monde/menac%C3%A9-par-trump-un-g%C3%A9n%C3%A9ral-am%C3%A9ricain-d%C3%A9clare-quil-prendra-les-mesures-qui-simposent/3002789

Greg Kelly Reports 10/18/24 FULL | BREAKING NEWS TRUMP October 18, 2024

https://www.youtube.com/watch?v=8eEmdfyB4ZY

3. Biden admin slapped with major lawsuit over alleged refusal to help state purge noncitizens from voter rolls

The Biden administration has pushed back against some states' efforts to purge voter rolls

https://www.foxnews.com/politics/biden-admin-slapped-major-lawsuit-over-alleged-refusal-help-state-purge-noncitizens-from-voter-rolls

Entre expulsions et sécurité accrue : la frontière au cœur de l’élection américaine

Même si les interceptions de migrants à la frontière sont en baisse, l’immigration clandestine continue d’occuper une place prépondérante dans les préoccupations des Américains à la veille de l’élection présidentielle.

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2112290/immigration-trump-kamala-harris-enjeu-election