Le Brexit, une ingénierie politique de milliers de milliards d’€uros

Pourquoi la perfide Albion ne sortira pas de l’UE

Son « Plan B » sera exécuté par Boris Johnson

Tribune libre

Le « Plan B » n’est nulle autre qu’une ingénierie politique pour rester dans ce club de saccageurs des fonds publics et de mafias politiques, étant basée sur les acquis et raisons suivantes :
a) Boris Johnson (Tory, un des principaux promoteurs du Brexit et adversaire politique de David Cameron) sera le négociateur et imposera aux caciques de l’Union Européenne le « Plan B » afin que le Royaume Uni reste dans ce club de mafieux financiers et politiques.
b) Les 6 000 millions d’euros que le RU paye de plus que ce qu’il reçoit des fonds de l’UE sera réduit de 50% au minimum.
c) La colonie de Gibraltar gardera son statut de paradis fiscal et d’enclave mafieuse pour les jeux de hasard online, blanchiment d’argent provenant de la prostitution, trafic des drogues, d’armements et d’évasion de capitaux.
d) Le nombre de réfugiés musulmans et de ressortissants des pays faisant partie de l’UE sera réduit au minimum.
e) Les 950 000 Britanniques à la retraite vivant en Espagne garderont intégralement la prestation des soins de santé payés par les Espagnols.
f) L’Écosse ne deviendra jamais un pays indépendant si ce « Plan B » est accepté en raison du consensus politique entre le RU et l’UE.
g) La City de Londres (le plus grand paradis fiscal au monde) gardera son statut particulier de recyclage des milliers de milliards de pétrodollars provenant des monarchies du Golfe Persique, des dictatures africaines et du Moyen-Orient, ainsi que des mafias oligarchiques russes et chinoises.
h) Les Torys garderont le Pouvoir pendant une décennie jusqu’à l’implosion de l’Union Européenne en raison des pays constituant cette union politique perverse qui seront acculés à perdre leur souveraineté nationale, aboutissant ainsi à leur ruine collective.
i) Etc, etc, etc.


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17 commentaires

  • Jean-Louis Pérez-Martel Répondre

    18 juillet 2017

    Le ''Plan B'' décrit dans l'article ci-dessus écrit le 25 juin 2016 commence à se concrétiser :
    Brexit : l’auteur du fameux article 50 demande l’arrêt des négociations
    https://www.lesechos.fr/monde/europe/010151255545-brexit-lauteur-du-fameux-article-50-demande-larret-des-negociations-2102738.php#pYyOEkyaGcwlSvvL.99
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    JLPM

  • Jean-Louis Pérez-Martel Répondre

    12 juin 2017

    Le Brexit face à la réalité post-électorale
    Brexit dur, doux ou pas d'accord... Selon Carolyn Fairbairn, directrice générale du CBI, principale organisation patronale du pays, la seule certitude est que «la probabilité d'avoir un bon accord pour le Royaume-Uni s'est éloignée», a-t-elle écrit dans le Financial Times.
    Pour plus de détails sur ce ''Plan B'' que les euroceptiques seront obligés de négocier avec l'UE, consulter Je vais vous sortir du pétrin», assure Theresa May aux conservateurs
    http://www.lapresse.ca/international/europe/201706/12/01-5106611-je-vais-vous-sortir-du-petrin-assure-theresa-may-aux-conservateurs.php
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    JLPM

  • Jean-Louis Pérez-Martel Répondre

    7 mai 2017

    Étant la City de Londres le plus grand paradis fiscal au monde, le Brexit n'est qu'une ingénierie politico-financière destinée à renforcer davantage l'euro-scepticisme afin de pouvoir négocier d'autres conditions exclusives en restant dans l'UE de spoliateurs, spéculateurs et fraudeurs d'impôts :
    Les très riches encore plus riches, malgré le Brexit
    http://affaires.lapresse.ca/economie/international/201705/07/01-5095602-les-tres-riches-encore-plus-riches-malgre-le-brexit.php
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    JLPM

  • Jean-Louis Pérez-Martel Répondre

    30 avril 2017

    La perfide Albion face aux eurocrates désintégrateurs des États-nations
    Négociations sur le Brexit: May assure ne pas être dans une «autre galaxie»
    http://www.lapresse.ca/international/europe/201704/30/01-5093268-negociations-sur-le-brexit-may-assure-ne-pas-etre-dans-une-autre-galaxie.php
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    JLPM

  • Jean-Louis Pérez-Martel Répondre

    7 mars 2017

    La perfide Albion continue à brasser ses cartes marquées en attendant de les abattre au moment opportun... :
    Brexit: les Lords infligent un nouveau revers à Theresa May
    http://www.lapresse.ca/international/europe/201703/07/01-5076355-brexit-les-lords-infligent-un-nouveau-revers-a-theresa-may.php
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    JLPM

  • Jean-Louis Pérez-Martel Répondre

    14 décembre 2016

    La bataille politico-juridique est commencée pour appliquer le '' Plan B '' :
    GB:les partisans du Brexit font face à une nouvelle action en justice
    http://www.i24news.tv/fr/actu/international/europe/132367-161211-gb-les-partisans-du-brexit-font-face-a-une-nouvelle-action-en-justice
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    JLPM

  • Jean-Louis Pérez-Martel Répondre

    14 juillet 2016

    Aujourd'hui se confirme ce dont j’avais affirmé dans le présent article concernant Boris Johnson devenant le ministre des Affaires étrangères dans le nouveau gouvernement britannique pro-Brexit : Sarcasmes et critiques après la nomination de Boris Johnson aux Affaires étrangères
    http://www.lapresse.ca/international/europe/201607/14/01-5000917-sarcasmes-et-critiques-apres-la-nomination-de-boris-johnson-aux-affaires-etrangeres.php
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    JLPM

  • Jean-Louis Pérez-Martel Répondre

    29 juin 2016

    Pour plus de détails sur ledit " Plan B " que les stratèges du Brexit ont commencé à exiger des responsables de l'anarchisante UE, veuillez visionner la vidéo adjointe à cet article : Brexit et automobile: le beurre et l'argent du beurre

    http://auto.lapresse.ca/actualites/201606/29/01-4996457-brexit-et-automobile-le-beurre-et-largent-du-beurre.php
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    JLPM

  • Jean-Louis Pérez-Martel Répondre

    27 juin 2016

    Pour en savoir davantage sur ce "Plan B" concernant les issus politiques antidémocratiques qui seront négociés entre les caciques de l'UE afin d'arriver à ne pas respecter les électeurs qui ont voté pour le Brexit, voir Le Brexit est-il irréversible?
    http://www.lapresse.ca/international/europe/201606/27/01-4995792-le-brexit-est-il-irreversible.php
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    JLPM

  • Jean-Louis Pérez-Martel Répondre

    27 juin 2016

    Pour plus d'information sur ce "Plan B", consulter Brexit: les dirigeants britanniques se montrent rassurants
    http://www.lapresse.ca/international/europe/201606/27/01-4995723-brexit-les-dirigeants-britanniques-se-montrent-rassurants.php
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    JLPM

  • Jean-Louis Pérez-Martel Répondre

    26 juin 2016

    Ce "Plan B" commence à se concrétiser en faisant appel aux carriéristes, imposteurs et mercenaires de la politique au service du Pouvoir économico-financier mafieux comme partout ailleurs où la DÉMOCRATIE est bafouée par ces mêmes politiciens corrompus :
    L'Écosse pourrait tenter d'empêcher le Royaume-Uni de quitter l'UE
    http://www.lapresse.ca/international/europe/201606/26/01-4995511-lecosse-pourrait-tenter-dempecher-le-royaume-uni-de-quitter-lue.php
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    Économie de l'Écosse
    https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89conomie_de_l%27%C3%89cosse
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    JLPM

  • Marcel Haché Répondre

    26 juin 2016

    "Décisionnel" ou pas, ne peut-on pas voir que la nation britannique est dorénavant divisée.
    Quel "respect " alors, maintenant, les ennemis de l'Indépendance britannique auront-ils pour une nation divisée, divisée en régions et même en générations ? Quel respect ceux-là qui n’ont de démocratiques que leurs prétentions vont-ils avoir à l’égard d’un peuple divisé ?
    Quel respect les fédéralistes canadiens et québécois ont-ils eu à l’égard d’une nation divisée par le référendum ?
    Le gouvernement de Londres a lui-même déplacé en toute inconscience le lieu du Pouvoir au profit d’un satané référendum. Décisionnel le référendum ? Bien sûr que oui, mais cela est tout à fait secondaire.
    À moins de faire partie de ces inquiets à propos de toutes les fanfaronnades auxquelles les fédéralistes canadians nous ont habitués, a-t-il fallu un seul instant que nous nous inquiétons à propos du 50% +1 ? Ces maudites fanfaronnades nous avaient-t-elles vraiment inquiétés pour que certains soient aussi triomphalistes maintenant ? L’intervention d’Alexandre Cloutier à propos du même 50%+1 relève de la plus déplorable mollesse politique, typique de la péquisterie la plus détestable.
    Le gouvernement de Londres, affaibli, pieds et poings liés (comme naguère ceux de René Lévesque et Jacques Parizeau aux lendemains de cet exercice tout à fait superficiel et théâtral) est déjà mis sous forte pression par ses anciens amis européens, qui sont déjà de redoutables ennemis, et cela au lendemain du référendum. L’Union européenne va tabler fort et inmanquablement sur la division de l’électorat britannique. Ce gouvernement anglais sera conséquemment le premier à payer le prix de son étourderie politique. Mais la nation britannique restera cependant divisée encore très longtemps.
    Le Québec est encore bloqué parce qu’il est encore divisé. Il semble bien qu’avec la réponse péquiste au Brexit, grâce encore une fois à sa maudite péquisterie qui verra inmanquablement le Brexit avec des lunettes roses, la gang à Couillard aura encore de beaux jours devant elle.

    Décisionnel, le référendum ? Clisse, le meilleur moyen de paralyser une nation pour longtemps n’est-il pas simplement de la diviser ? Le référendum y réussi à tous coups et partout. Ce fut déjà la France, puis la Grèce récemment et maintenant le Royaume Uni. C’est au moyen de la division que les « grands ensembles » prospèrent.

  • Pierre Gouin Répondre

    26 juin 2016

    Ce qui est certain c’est que la démocratie actuelle est polluée par les milliards dépensés en propagande par des groupes d’intérêts, mais votre interprétation du Brexit en est une parmi d’autres. D’accord pour parler d’un club de mafieux financier et politique. Ce club ne se limite pas à l’UE, qui n’est qu’un des territoires de la mondialisation néolibérale qu’il a orchestrée. Ce club n’est pas apatride, il est anglo-saxon. La disparition des identités nationales vaut pour les autres, pas pour les anglais et les américains. Ce club a besoin d’un État, d’un peuple, en fait il en a quelques-uns, dont le Canada et les canadiens anglais. Il n’est pas surprenant de voir l’Angleterre quitter maintenant l’UE alors que Bruxelles a réussi à installer un modèle néolibéral centralisé. Il n’est pas question pour le siège social de se subordonner à la succursale et d’accepter la perte d’identité qu’elle impose. L’Angleterre n’a pas besoin de réintégrer l’UE pour que la City maintienne sa domination et que le pays profite de tous les avantages d’un système quasi-mondial qu’il domine.

  • Alain Raby Répondre

    26 juin 2016

    Scénario pessimiste. Je préfère les scénarios optimistes. Vive les Nations européennes préservées. Vive l'Écosse libre. Vive Le Québec libre.

  • Archives de Vigile Répondre

    26 juin 2016

    J'aime bien votre commentaire, monsieur Cloutier. Il m'a fait sourire, mais il n'est pas très loin de la réalité.

  • Pierre Cloutier Répondre

    25 juin 2016

    Que dire à des gens qui ont acheté leur boule de cristal chez Canadian Tire, qui se prennent pour des visionnaires et qui "croient" dur comme fer qu'ils ont raison? Il n'y a pas d'autres choses à faire que de les laisser à leur délire. Les "Ti-Jos Connaissant" me tombent sur le gros nerf. Les "croyants" "m'énarvent"

  • François Ricard Répondre

    25 juin 2016

    Et ici même au Québec, un référendum ne nous amènera jamais à l'indépendance.
    Je ne crois pas qu’un référendum nous conduira à l’indépendance.
    Il ne faut pas se leurrer, un tel référendum ne se gagnera que par la peau des dents. Alors le fédéral clamera haut et fort que la décision n’est pas "claire." Il voudra gagner du temps ; retarder le plus possible d’entamer le processus. Et possiblement, lors d’une élection générale, un parti fédéraliste prendra le pouvoir. Fin des haricots. Jusqu’au prochain référendum.
    Je crois que nos indépendantistes ont été fortement influencés par l’émergence de nouveaux pays qui étaient autrefois des colonies. L’indépendance, dans la grande majorité des cas, fut facile à acquérir. Et il y a une bonne raison à cela : les colonies étaient devenues un fardeau pour les empires.
    Par contre, le Québec, de pas sa situation géoplitique, est d’une très grande valeur pour le Canada. Croire que le Canada se départira du Québec sans mener d’âpres luttes pour le conserver sous son hégémonie relève du plus pur angélisme politique possible.
    C’est dans une guerre politique, bien planifiée et de longue haleine, que nous pourrons espérer atteindre l’indépendance. Une série de petits gains, de petites victoires jusqu’à la grande victoire finale. Une telle approche est beaucoup plus exigeante qu’un référendum gagnant mais c’est la seule qui peut conduire au succès. C’est ce que le PQ a toujours refusé d’envisager.