Plus ça change, plus c'est la même chose !

Une rengaine ? Non, une réalité.

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Le 22 janvier dernier je vous ai proposé un extrait du discours de Charlie Chaplin dans son film de 1940, « le Dictateur ». Cette fois-ci je vous propose l'extrait d'un film un peu plus récent, « le Président » tourné en 1959 dans lequel le principal comédien, incarnant le président, est joué par Jean Gabin, un immense comédien, pour ceux qui le connaissent. Certains me diront que ça ne concerne pas le Québec. Erreur, ces situations se perpétuent. Les acteurs changent, le décor change, mais l'âme humaine sous-jacente est toujours la même. Le politique reste le politique et, à l'évidence, même chez-nous, ça n'évolue pas beaucoup.
Je vous laisse en juger.
Ivan Parent

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Ivan Parent403 articles

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Pianiste pendant une trentaine d'années, j'ai commencé
à temps partiel d'abord à faire du film industriel, de la vidéo et j'ai
fondé ma compagnie "Les Productions du LOTUS" Les détails seront visibles sur mon site web.
Site web : prolotus.net




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2 commentaires

  • Francis Déry Répondre

    28 janvier 2013

    L'orateur dit des choses qui se disaient dans les années 30s, mais qu'il faut taire dans les années d'après-guerre.

  • Archives de Vigile Répondre

    27 janvier 2013

    Ce n'est pas, vous en conviendrez tous, Pauline Marois qui va se prêter à ce genre d'exercice, car elle serait obligée de passer en premier lieu son mari dans le collimateur et par voie de conséquence elle-même.
    Ni évidemment François Legault, Raymond Bachand ou Philippe Couillard.
    Il est loin l'époque où René Lévesque fustigeait les grosses compagnies d'électricité et les faiseurs d'élection de l'Union nationale.
    Du moment qu'on est conscient de tout cela, c'est cela qui est important. Quand on pense qu'on essaie de nous faire croire que le Québec est dirigé par une ancienne "travailleuse sociale", je me dis que la bêtise est incommensurable.
    Pierre Cloutier

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