Le Devoir, un phare en panne: intolérable !

On accorde trop d'importance à Mmes Houda-Pepin et Benhabib

Une Ph.D. écrit l'insignifiance, une fois de trop.

Tribune libre

Comment LE DEVOIR peut-il s’abaisser à noircir son journal avec un article d’une vacuité totale ? Je veux parler de l’article de Yara El-Ghadban Ph.D. publié le 21 novembre 2013 en page Idées, article intitulé: ON ACCORDE TROP D'ATTENTION À MME HOUDA-PEPIN.
L’opinion de Mme El-Ghadban porte sur, je cite: « l’intégrisme musulman au Québec». Essentiellement, elle reproche à Mmes Houda-Pepin et Djemila Benhabib de ne pas appuyer sur des faits propres au Québec leur affirmation qu’il existe de l’intégrisme musulman au Québec.
Le Québec où règne « le confort et l'indifférence » est une terre fertile et hospitalière pour la mauvaise herbe de l'intégrisme musulman. Avec la taqiya islamique, aussi nommée " ruse et dissimulation ", la fragilité de la société québécoise est facilement décelable de partout dans le monde.
Une fausse affirmation est utilisée par Mme El-Ghadban dans l’avant-dernier paragraphe de son texte, je cite: « Faut-il souligner que Benhabib ne cherche ses exemples que dans d'autres pays que le Québec ?.
La Ph. D. Yara El-Ghadban a-t-elle lu le livre de Djemila BENHABIB, Les soldats d'Allah à l'assaut de l'Occident, VLB Éditeur 2011 ? Dans son livre, l'auteure Benhabib cite plusieurs exemples tirées de faits vécus au Québec. De manière magistrale, toute la dernière partie de son livre p.197s, partie III, intitulée: LE QUÉBEC À LA CROISÉE DES CHEMINS, l'auteure Benhabib décrit ce qu'elle a vécu au Québec depuis son arrivée en 1997 pendant 93 pages, contenant 151 notes de bas de pages très documentées.
Pourquoi la Ph.D. Yara El-Ghadban ose affirmer faussement, je cite: « Faut-il souligner que Benhabib ne cherche ses exemples que dans d'autres pays que le Québec ?. »
Il est difficilement compréhensible que LE DEVOIR ait publié l'article de Yara El-Ghadban d'aussi pauvre valeur en contenu et répandant des faussetés. Pour quelqu'un qui a lu Mme Benhabib, ce que El-Ghadban aurait dû faire, la crédibilité d'El-Ghadban est nulle. Cela devrait alerter son employeur à l'Université d'Ottawa sur laquelle institution tombe le déshonneur.
La dite Université a-t-elle présenté des excuses publiques pour réparer l'impair professionnel de sa professeure ?
Quels motifs poussent la Ph.D. Yara El-Ghadban à lancer de fausses accusations contre Djemila Benhabib ? S’il y a une auteure qui témoigne de son expérience sur le terrain dans des dizaines de pays occidentaux, incluant le Québec, c’est bien Mme Benhabib.
Pour s’en convaincre, comme je l’ai fait, on a qu’à lire ses livres comme «Des femmes au printemps», « Ma vie à contre-coran » et « Les soldats d’Allah à l’assaut de l’Occident ». J’adresse la question suivante à Mme El-Ghadban: pourquoi l’islam politique se comporterait différemment au Québec, pays non-musulman, des autres pays non-musulmans de l’Occident ?
Comment comprendre que LE DEVOIR se fasse le porte-voix d’un article aussi insignifiant, sans aucune démonstration instructive pour ses lecteurs ? Dire que je suis abonné du Devoir.


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8 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    1 décembre 2013

    J’ai lu ce torchon écrit par une prétentieuse bardée de diplômes. Je voudrais encore lui rappeler, que les fous criminels qui se sont élancés en avion sur le World Trade Center étaient tous bardés de diplômes en ingénierie, chimie, physique, docteur es science.

    Selon la version officielle.
    J'en doute fortement.

  • Ferid Chikhi Répondre

    1 décembre 2013

    Bonjour,
    J’ai toujours eu un grand respect pour les enseignants, quelque soit le segment des enseignements qu’ils dispensent. J‘ai aussi toujours admiré les femmes de cette profession pour les valeurs qu’elles inculquent aux élèves, aux étudiants et à celles et ceux qui les écoutent, tout au long de leur carrière. Mais je dois avouer que depuis quelques années dans certaines situations, j’observe de plus en plus des glissements vers une médiocrité académique alarmante.
    La lecture du billet, à la limite du diffamatoire par son côté culpabilisant, commis par cette Phd en anthropologie, au-delà des stupidités qui y sont mentionnées, me laisse perplexe que ce soit en matière de contenu intelligent et d’étique musulmane.
    J’ai retenu deux points :
    1) Elle reproche à des ces Grandes dames que sont Fatima Houda Pepin, Djamila Benhabib et, les autres sans le nommer, de ne rien savoir de l’Islam même si elles sont musulmanes. Je ne saurais qualifier cela que d’ineptie.
    2) Elle questionne leur curriculum tout en soulignant – le comble des combles - qu’elles ont eu de mauvaises expériences à l’école dans leur pays d’origine. Elle leur oppose d’autre musulmanes comme elles. Elle va plus loin en précisant que nous ne sommes pas en Tunisie ou au Maroc ou en Algérie et elle exige d’écouter d’autres islamistes comme elle.
    Comme j’aime bien comprendre je me suis demandé d’un point de vue fonctionnel :
    1) Pourquoi faut-il donner plus d’importance à des personnes pour nous parler d’Islam, donc de religion, alors d’une part que nous sommes nous-mêmes musulmans et d’autres par nous savons tous – musulmans et non musulmans - qu’elles sont connues pour leur engagement idéologique en l’occurrence l’Islamisme ?
    2) Lorsqu’il est question de cette idéologie qui a fait 200.000 morts en Algérie, qui a détruit la Libye et qui comme un cancer s’étend à la Tunisie, à la Belgique, aux Pays Bas et qui s’est implantée au Québec avec la bénédiction de politiciens crédules et ignorants comment peut-on avoir du respect pour une personne qui défend des militantes qui s’auto exclues, se ''ghettoïsent'' et refusent de s’intégrer à la société d’accueil ? Ne faut-il pas plutôt écouter celles qui l’ont vécu comme Djemila Benhabib et les autres Algériennes ?
    3) Pour revenir à ces Grandes Dames que sont Houda Pépin, Djemila Benhabib et les autres, ont-elles besoin d’être expertes en anthropologie, en histoire, ou en sciences politiques pour donner leurs avis, comme si en tant que citoyennes elles n’en avaient pas le droit ?
    Le pire dans toute sa réflexion, que ne saurait être primaire, c’est qu’elle interpelle les journalistes pour qu’ils soient plus professionnels et là, quelques parts, je lui donne raison parce que Le Devoir aurait été plus éclairé en mettant son papier au frigo. En d’autres temps peut être aurait-il été publié ???
    Ferid Chikhi

  • Archives de Vigile Répondre

    27 novembre 2013

    Pour vivre à Québec,dans le secteur de l'université et avec une expérience de plusieurs décennies en contacte avec plusieurs pays musulmans et beaucoup de faits vécu pour étayer mes conclusions éclairé sur leur structure visiblement incompatibles à notre identité fondamentale.
    er que ce que ces deux femmes viennent confirmer sont authentique quand ont passe l'épreuve du vivre ensemble.
    Le Devoir n'est plus pour moi une référence d'intégrité intellectuelle depuis que je me suis rendue compte que les menaces intégristes avaient plus de poids que la vérité du vécu et de l'expérience inaliénable, partager avec "courage" dans les commentaires que j'ai fais il y a environs deux ans.
    C'est commentaires sans doute maladroits et ou pamphlétaire(à la Cyrano,Falardeau...voir peut être Pedneault) étaient directes,réfléchies et basé sur des faits réel vérifié et tout à fait à l'opposé de de ce que l,on qualifie de préjuger .(et ce sur une période de recherche citoyenne de plusieurs années)Jamais je ne visaient, ni ne nommais qui que ce soient.
    Je dénonçais,certes pour avertir et prévenir mais n'accusais pas en nomment des noms, ni des adresses.
    Donc j'énonçais en structure philosophique neutre.
    Mais j'avais exactement la même teneur que ces deux dames mature et éclairé.
    Je constate maintenant que mon intuition et les conclusions après avoir contre vérifier auprès de personnes issu de ces pays et religions,que j'étais tout à fait dans la vérité.
    Maintenant je sais hors de tout doute que je misait dans le mile et que la vérité dérangeait...
    C'est moi qui fut mis au pilori mais ce journal n'a aucunement empêché une violente islamiste de m’insulter au limite de la menace m'invectiver sans ménagement et en directe.
    HO! Surprise les commentaires ont été fermé après sans que je puisse me défendre contre dette menace...
    Libre penseuse, je croyais vraiment avoir affaire à un journal de nivaux de connaissance avancé mais bon ...
    J'ai sur ce chapitre été naïve...Mais je ne lâche pas sur l'essence du fait féninin à protéger sans condition...

  • Archives de Vigile Répondre

    27 novembre 2013

    Selon Yara El-Ghadban:
    La littérature québécoise c’est aussi Yann Martel qui publie en anglais.
    Yann Martel n'est pas Québécois c'est plutot un french canadian assimillé de l'ouest canadian .

    Normand Lester:La chronique de Normand Lester – lun. 19 nov. 2012
    La seule langue qu’il maitrise est sa langue d’usage, l’anglais. Ses livres sont écrits dans cette langue. Ils sont traduits en français par son père puisque lui-même parait incapable de l’écrire convenablement.
    Le résident de Saskatoon s’est fendu d’un texte condescendant dans Le Devoir où il affirme qu’utiliser le terme Québécois autrement que dans son acception géographique est la manifestation d’un nationalisme rétrograde
    Malheureusement pour lui, plusieurs critiques ont découvert de troublantes ressemblances entre son livre et l’œuvre du grand romancier brésilien maintenant décédé, Moacyr Scliar, «Max et les chats», publié en 1981. Ils ont crié au plagiat.
    Martel s’est ravisé et a reconnu l’emprunt tout en soutenant n’avoir jamais lu le livre de Scliar. Les médias brésiliens se sont scandalisés de voir le travail d’un des écrivains les plus éminents d’Amérique latine usurpé par un imitateur outrecuidant de langue anglaise.
    De faire passer les écrits de Yann Martel comme de la litérature québécoise comme le fait mme El-Ghadban est une imposture
    Yara El-Ghadban as aussi présenter a la commission Bouchard Taylor un mémoire tricoté a la sauce multicutureuse et qui est un plaidoyer en faveur du multiculturalisme, du voile islamiste qu'elle banalise ..comprenez vous pourquoi elle s'en prend a Fatima Pepin et a Djemila Benhabib
    Pourquoi le Devoir ne le mentionne t-il pas ?
    Mémoire soumis par Yara El-Ghadban
    http://www.accommodements-quebec.ca/documentation/memoires/Montreal/el-ghadban-yara-vivre-le-je-me-souviens-au-pluriel-montreal.pdf
    Elle reproche entre autre:
    Le manque de débat sur le sujet à l’Assemblée Nationale avant l’adoption de la motion contre les
    tribunaux islamiques.

    Les arguments stéréotypés évoqués par les députés pour justifier ce manque de débat.
    Madame Yara El-Ghadban aurait aimer un débat sur les tribunaux islamistes a l'Assemblée Nationale plutot qu'une motion les dénonçant
    Toujours le discour multiculturaliste qui dit que c'est toujours aux Québécois a s'ajuster aux immigrants et non aux immigrants a s'ajuster
    Donc je ne suis pas surpris de sa dénonciation de Fatima Pepin et de Djemila Benhabib sur les intégristes
    La vérité c'est que la commission Bouchard Taylor n'était qu'une fraude fédéraliste pour vendre le multiculturalisme ou des gens comme Yara El-Ghadban était plus que bienvenue pour vendre leur salade multiculturaliste canadian alors que ceux qui le dénoncait était inviter a se taire par les commissaires
    Et ce dénommer Charles Taylor qui était commissaire sur cette commission est celui qui as appuyer en personne Charkaoui durant une de ses manifestations d'intégristes et qui as appuyer les islamistes qui voulaient vendre leur charia au gouvernement Ontarien

  • Archives de Vigile Répondre

    27 novembre 2013

    Peut-être Mme El-Ghadban est-elle elle-même dans une lutte pour détruire les infidèles occidentaux?
    La taqiyya est la tromperie à sa plus pure expression selon certains dogmes musulmans.
    Maintenant, faudrait savoir si elle est Chiite, Hanafite, kharijite ou autre chose afin de connaitre sa position sur ce sujet.

  • Jean Archambault Répondre

    27 novembre 2013

    Le 11 septembre 2011, Le Devoir titrait en première page un article un sur 6 femmes musulmanes supposément modernes et même féministes qui portaient le foulard et dénonçaient la Charte. Or, il s'avérait qu'au moins trois d'entre elles font partie d'un groupe islamiste fondamentaliste, Indépendance. De plus, Harar Jemmouri et son collectif Indépendance étaient les initiateurs,avec le Conseil musulman de Montréal d'un colloque et invitaient 4 imams salafistes de France, comme conférenciers. Jemmouri affirmait qu'ils n'étaient pas des islamistes radicaux.
    J'ai demandé que le Devoir donne ces informations car elles relativisent le supposé modernisme et féminisme de ces 6 femmes.
    Le Conseil de Presse du Québec a accepté ma plainte et un comité du Conseil va rendre un verdict dans quelques mois sur ma prétention que l'article de Gervais est tendancieux et ne répond pas aux critères éthiques qui doivent encadrer le travail journalistique.

  • Denis Julien Répondre

    27 novembre 2013

    J'ai lu ce torchon écrit par une prétentieuse bardée de diplômes. Je voudrais encore lui rappeler, que les fous criminels qui se sont élancés en avion sur le World Trade Center étaient tous bardés de diplômes en ingénierie, chimie, physique, docteur es science.
    Je dénonce le journal Le Devoir pour avoir accepté de publier cet article déplorable. Je suis en réflexion pour annuler mon abonnement. Cette personne manque de jugement et de discernement et on percevait nettement dans ce torchon, le mépris envers les intellectuels qu'elle prétend elle-même faire partie. Ca sent l'opération télécommandée à plein nez. C'est dégoûtant!

  • Archives de Vigile Répondre

    27 novembre 2013

    Sommet d'arrogance, du haut de son «Ph.D.» la prof d'anthropologie de l'Université d'Ottawa suggère aux Québécois(es) d'écouter des musulmanes qui ont «la compétence intellectuelle» pour parler de l'islam. Compétentes parce qu'elles sont liées aux intégristes, de ceux entre autres qui souhaitent la reconnaissance de la charia?