On ne peut plus payer nos dettes

Nous sommes dans une trappe à dettes.

Noss gouvernements, les banquiers et les fraudeurs se préparent à nous piquer nos sous.

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Chronique de Jean-Jacques Nantel

Ce qui rend la dépression économique qui s'en vient inévitable, ce sont les gigantesques montagnes de dettes que l'humanité a accumulées au fil des ans. En fait, même si tous les gouvernements du monde arrêtaient de créer de nouvelles dettes en dépensant uniquement les taxes payées par leurs contribuables, la crise se produirait quand même parce que les intérêts à payer sur les dettes déjà accumulées nous entraîneraient quand même dans un abîme financier. Il est trop tard, nous sommes désormais tous prisonniers d'une trappe à dettes. C'est le sujet de la présente vidéo.


https://youtu.be/97fkXPsOtRY?si=76gMVScAA-exxjNc


Bon visionnement


Jean-Jacques Nantel




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1 commentaire

  • François Champoux Répondre

    18 août 2024

    Bonjour M. Nantel,


    Je n’ai pas fait le visionnement que vous nous recommandez, mais je conçois comme vous que l’accumulation de dettes est une des lacunes majeures de nos sociétés de consommation.


    Je suis de l’école de la «simplicité volontaire», de la désobéissance civile pacifique issue du philosophe Henri-David Thoreau; je suis de la philosophie de gestion coopérative, celle inventée par Dorimène et Alphonse Desjardins, mais non pas celle de Claude Béland qui a tout détruit le 4 décembre 1999, quelques mois avant son départ de la direction du Mouvement Desjardins. 


    Ce basculement des valeurs matérialistes dans la démesure n’est que l’expression d’une opulence qui va à sa perte et la déroute de nos sociétés.


    Il était dit avec justesse : «Qui paye ses dettes s’enrichit.»  Cette maxime est toujours vraie, mais oubliée. Il est nécessaire de s’endetter, mais absolument pas nécessaire de se surendetter; l’épargne est toujours une vertu qui doit se pratiquer si l’on désire maintenir un équilibre pour sa santé financière et psychologique. 


    «Apprendre de ses erreurs» est aussi une autre maxime oubliée. Nous souffrons d’amnésie volontaire; nous sommes des autruches qui se mettent la tête dans le sable, croyant qu’en ne voyant plus, le problème disparaîtra! 


    Et le pire : nos élites dirigeantes nous invitent à continuer de ne pas voir. 


    Il faut apprendre à voir; réapprendre à voir l’invisible et dire à nos dirigeants qu’ils souffrent d’aveuglement volontaire.


    L’avenir appartient à celles et ceux qui savent regarder en avant, non pas les yeux fermés comme m’ont enseigné mes patrons chez Desjardins, mais bel et bien avec la tête et ses yeux bien ouverts, face aux dangers qui sont là, devant nous, afin de les affronter avec courage, lucidité et amour.


    François Champoux, Trois-Rivières