Je me souviens

Notre devoir

La révolution...

Tribune libre

JE ME SOUVIENS. Ah oui...

Encore 10 ou 20 ans de ce régime KANADIAN qui ne souhaite que la destruction du tissus social et de la culture Québécoise, et à la vitesse avec laquelle la morbidité s'installe et nous accable, ce sera terminé pour tout projet national et tout projet de société !

Ce sera notre fin. Lente mais vraie.

Nous sommes un peuple conquis. Et devant le conquérant il n'y a d'autre choix que de se battre pour la Liberté. Se battre de toutes les façons. Quoi de plus noble que la LIBERTÉ.

Les choses sans nom comme Couillard, sont pires encore que le conquérant lui-même.
Ce sont les vidanges de notre propre peuple. Notre cancer social.

Pensez deux secondes à votre histoire dont on ne vous parle jamais...

Ils ont pendus nos ancêtres et brûlé leurs terres, battus nos grand-pères et les ont fait travailler comme des chiens d'esclaves sans même leur montrer à lire ou à compter. Ils ont soummis nos parents et les ont laissé dans la médiocrité, puis ils nous ont assimilés culturellement nous faisant croire qu'on y arriverait.

Ils ont BRAINWASHÉ nos fils et nos filles et ils mangeront leurs enfants du regard tellement ils seront soummis et sans souvenirs !

Et à ces enfants, il ne leur restera que la révolution que vous leur aurez imposée.

Quand une génération se soustrait à ses devoirs, c'est la génération suivante qui à double tache.

Dormez avec vos consciences citoyens.

Mais sachez qu'il y a des pays qui font la révolution pour bien moins que ça.

Où sont les citoyens Québécois?

Ils ne savent même pas voter, et ils ont peur des référendums.

Les nègres blancs d'amériques sont plus mourants de génération en génération. Et ceux qui ont appris à lire hier, n'auront pas appris à comprendre.

Je nous souhaite bonne chance.


Laissez un commentaire



5 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    7 avril 2014

    Oui mes amis. Le poing en l'air. À chaque occasion que la vie nous propose. C'est la seule solution. Il nous faut aussi l'apprendre à nos enfants !
    Il nous faudra cesser d'avoir peur de crier, d'hurler notre soif, notre désir de liberté. La liberté ça se prend !
    Il nous faut faire disparaître tous ce qui symbolise la couronne britanique. Reprendre chacun des pouvoirs normaux qu'un peuple doit avoir et instituer une république dotée d'une constitution écrite PAR ET POUR le peuple. Et non pas par un commité d'élus faisant encore une fois partie de cette mascarade ploutocratique. Il faut remettre à l'ordre du jour la lutte pour la liberté et la démocratie qui ne peut que passer par la Souveraineté à court terme.
    Mais pourquoi donc avons nous l'impression, comme vous le dites autrement, que nous dormons au gaz. Que même le PQ adoucit le rapport avec les conquérants et les vendus? Qu'ils font du patin de fantaisie ?
    À mon idée, c'est parce que nous avons un double problème. Non seulement nous battons nous contre le conquérant et ses larbins, ses vendus, mais nous nous débattons contre les oligarques, qui eux ont de multiples visages. Des étrangers, des conquérants kanadian, des québécois francophones et anglophones)... Mais tous, des assoiffés de pouvoir.
    Nous nous battons sur de nombreux fronts, hum... je devrais plutôt dire, nous nous faisons attaquer sur plusieurs fronts.
    Il faudra que le peuple se lève et parle fort, parce que sur la base de la représentation, ça n'arrivera jamais. C'est un fantasme.
    Sur la base de la représentation, il y a 40 ans, il y eut un réveil national plus large et populaire. Il faut maintenant sortir de la léthargie et passer à vitesse grand V. C'est au peuple d'être présent. Il faut mobiliser la population. Ce sera la seule façon. N'attendez rien du parlement. Pas maintenant, pas à ce sujet.
    Les gouvernements pavent les routes pour les camions des grosses compagnies, le PEUPLE doit paver lui-même la route de la LIBERTÉ.
    -La PLOUTOCRATIE est un régime politique où les plus riches sont au pouvoir.
    -L' ARSITOCRATIE est une forme de gouvernement dans laquelle le pouvoir est officiellement détenu par une élite.
    -L'AUTORITARISME est un régime politique qui par divers moyens propagande, encadrement de la population, répression) cherche la soumission et l'obéissance de la société.
    -L'OLIGARCHIE est une forme de gouvernement où le pouvoir est réservé à un petit groupe de personnes qui forment une classe dominante. Ceux qui bénéficient de la force ou de tout autre pouvoir de fait.
    -La DÉMOCRATIE parlementaire est une forme de démocratie moderne. Elle va souvent de pair avec la démocratie représentative (dite aussi démocratie indirecte) par opposition avec la démocratie directe.

  • Archives de Vigile Répondre

    6 avril 2014

    M. Cloutier, je ne suis pas toujours d'accord avec vous, mais aujourd'hui vous faites mouche et frappez là ou il faut.
    Le PQ devra faire de la place aux jeunes indépendantistes décomplexés d'ON et cesser d'avoir la trouille et de flatter les Anglos et les Allos non françisables dans le sens du poil. Quoiqu'il arrive ils voteront toujours contre les intérêts de la majorité francophone et ils n'hésiteront jamais à tricher comme on là encore vu avec les jeunes baveux de Toronto qui viennent étudier pour pas cher à McGill, université financée par les pygmées Québécois.
    Nous vivons dans une situation coloniale et il est temps que le PQ se réveille. Dans l'affaire des deux CHU ils n'ont pas pris position pas plus qu'ils ont dénoncés lors du printemps érable le surfinancement du système scolaire anglophone. Dans l'affaire du nouveau pont Champlain, je n’ai pas entendu un maudit député du PQ dénoncer le fait que nos ponts coutent plus cher puisqu'il faut les surélever pour permettre aux bateaux transatlantiques d'aller vers les Grands Lacs. Ce sont les armateurs et les multinationales qui devraient payer pour nos ponts, pas les dociles suiveux que nous sommes tous pour les Flawerty de ce monde.
    Pédagogie indépendantiste=0 alors que chaque jour l'actualité permettrait de faire le procès d'Ottawa.
    -Bin non, si fallait faire de la chicane ma chère!
    C'est le poing bien haut que les peuples se libèrent. Pas à genoux cr...

  • François A. Lachapelle Répondre

    6 avril 2014

    En ce 6 avril 2014, la veille d'une date historique importante qui s'écrira bientôt, rappelons ce dicton: «humble dans la victoire et courageux dans la défaite».
    D'une génération à l'autre, les bouchées pour l'indépendance du Pays du Québec seront toujours en double. La liberté recherchée exige beaucoup de courage.
    Pauline Marois est une femme très courageuse ce qui ne la met pas à l'abri d'erreurs. L'autre candidat au poste de PM du Québec, Philippe Couillard et son équipe sont malheureusement commis envers les adversaires de l'épanouissement de la société québécoise. En dehors de l'économie et des tricheries faites avec de l'argent, les politiciens du PLQ sont incapables d'espoirs et d'épanouissement d'une société occupant un des territoires les plus riches de la planète. Les prédateurs sont présents et actifs. À nous de la débusquer avec finesse et détermination.

  • Pierre Cloutier Répondre

    6 avril 2014

    Et comment les leaders péquistes actuels vont-ils faire l'indépendance, monsieur Haché? En gérant les bécosses provinciales pendant combien de temps encore? Expliquez-nous cela.
    Moi, je dis que pour faire l'indépendance, cela prend 2 ingrédients :
    1 - un chef charismatique et déterminé;
    2 - une plate-forme indépendantiste claire, précise et transparente.
    Or, nous n'avons, actuellement, ni l'un ni l'autre. Nous faisons donc du surplace.
    On fait l'indépendance le poing en l'air, monsieur Haché. Pas les culottes baissées avec la peur au ventre. Il n'y a aucune honte à avoir le poing en l'air. Comme Mandela. Aucune. Sauf pour les peureux, les chieux, les poltrons, les enfoirés, les carriéristes, les arrivistes et les provincialeux qui veulent avoir le pouvoir à tout prix. Le petit pouvoir provincial de merde.
    Pierre Cloutier

  • Marcel Haché Répondre

    6 avril 2014

    Le peuple québécois n’a pas peur de l’Indépendance ni du Référendum. Il craint la Chicane. Et il sait parfaitement bien comment s’y prendre pour éviter la Chicane. Ce qu’il ne sait pas, mais dont il soupçonne l’existence, ce sont les pertes inhérentes aux chicanes : 150,000 jobs perdues en 6 mois au lendemain du référendum de 1980. La perte des Nordiques puis des Expos avant et après le référendum de 1995.
    Parizeau fut d’une incommensurable maladresse. Lucien Bouchard fit bien pire.
    Et que font encore les pourris de La Presse à l’occasion de cette fin de campagne électorale ? Ils en rajoutent une couche. Comme demander ceci à propos de la Charte : « tout ça pour ça » ? Divisions et chicanes, évidemment.
    Les pourris Nous tiennent toujours le même discours et la même propagande. Et il n’y a pas de véritable contre-discours. Ce n’est pas un hasard si Gesca et Radio Tralala Nous ressortent à chaque occasion et Parizeau et Bouchard, qui viennent toujours donner un dernier coup de pied au P.Q. comme à un homme à terre, surtout si c’est une femme à terre…
    Cependant, je reste convaincu que le peuple québécois n’a pas peur de la liberté ni de l’Indépendance. Il s’accommoderait facilement de l’Indépendance à la seule condition que celle-ci ne soit pas dirigée contre le Canada. Gosse job ! À cet égard, la balle est indéniablement dans le camp indépendantiste, qui rêve et qui niaise encore avec l’idée du référendum, la Chicane assurée.
    Bonne chance au P.Q. Salutations à ceux d’O.N. qui ont rallié le camp de l’union sacrée des indépendantistes. Vaut mieux tard que jamais…