Natacha Polony frôle le complotisme, le complotisme tel que l’entendent les obscurantistes dans lesquels l’on peut ranger les médias de masse qui suivent des choix hautement (exclusivement ?) politiques, les suivistes qui considèrent ces médias comme les dépositaires de la pensée, et tous ceux qui, bien qu’ayant une certaine capacité critique, préfèrent se conformer à ce qu’ils considèrent comme la pensée majoritaire, de peur de perdre leur crédibilité ou leur statut dont les terribles exigences forgent notre comportement quotidien.
Le dîner du Siècle, le Groupe Bilderberg, la trilatérale, etc. sont autant de clubs dont parlent ceux que les agents de ces clubs de moins en moins secrets appellent complotistes ou conspirationnistes, précisément parce que ces derniers osent en parler et révéler leur véritable nature. Natacha Polony ose. Parce qu’elle est une journaliste connue dont les qualités professionnelles ne sont plus à prouver, elle vide de son sens le mot « complotisme » selon les critères des médias de masse. Nous ne pouvons que l’en remercier. Les « complotistes » n’ont jamais rien fait d’autre que de dénoncer les pouvoirs d’une transparence opaque de ce genre de clubs qui influent fortement sur la direction du monde. Le fait de parler de « pouvoir occulte », parce qu’il est opaque et secret, ne veut en aucun cas dire que l’on est rosicrucien, adepte du culte de Baal, cabaliste ou fan des petits hommes verts. RI
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