Leur sale guerre
Ils chassent sans arrêt. Pour tuer. Puisqu’ils sont en guerre. Aujourd’hui, tout comme hier, depuis deux siècles et demi.

Pour justifier leurs Commandites, cette ignoble entreprise de corruption: < disait Jean Pelletier, le bras gauche de Jean Chrétien (son bras droit, c’était et c’est toujours <>).
En guerre contre qui? Contre 50% des Québécois. Ils déploient autant de zèle à faire la guerre à ces Québécois que Harper et les Américains en mettent à faire la guerre à leurs Talibans et à leurs Palestiniens, par Israël interposé. Avec la même hypocrisie et la même fourberie.
Ils sonnent du cor triomphal chaque fois qu’ils remportent une basse victoire sur leur peuple. Ryan, au soir du premier référendum: <> Pour ce cri ininterrompu de son coeur impartialement partial, on lui a fait des funérailles nationales canadian.
De fait, chacune de leurs victoires, c’est une victoire pour le Canada, et une défaite pour le peuple québécois qu’ils trahissent, avec ou sans remords, avec ou sans bémols. Croyez-vous qu’un Charest soit accablé de remords dans sa retraite? Pour son double salaire et surtout pour son zèle à promouvoir le Canadian Plan.
Hier, avec <> louches, ils s’acharnaient, bassement, contre le ministre Breton et réclamaient sa mise à mort. Au nom, disent-ils, de l’intégrité, de leur vertu et de la démocratie. Eux qui ont volé nos deux référendums par l’épouvantail de la peur, par le mensonge et par tous les procédés illégaux et vicieux!
Mais ils laissent en paix les gros pourris: la maffia et les charognards attablés en dessous. Pendant deux ans, pour protéger ces gros et gras alliés, ils ont répété: <>.
Hier encore, ils parlaient de <>. Ils ne parlaient pas de la loi de la maffia et des requins associés, du Canada Bill d’Elliott dit Trudeau ou de la loi C-20 de Stéphane Chrétien.
Aujourd’hui, ils parlent ad nauseam<>. Et, au moindre prétexte, avec La Presse, les Pratte et Martineau, le Conseil du patronat, Jean-Marc Fournier, ce Jean Charest intérimaire, et ceteri et cetera, ils attaquent, hyènes enragées, tout ce qui leur semble trop québécois.
Si je dis qu’ils ont trahi et trahissent leur peuple, ils crieront au meurtre. Alors que ce sont eux, les tueurs! Si je dis que leurs plus fidèles supporteurs votent avec eux, à 95% contre le Québec, ils diront que je suis raciste, xénophobe, extrémiste, terroriste. Je n’ai pas le droit de le dire, mais eux, ils ont le droit de le faire! Si je dis que la très forte majorité des rats que les commissions d’enquête font sortir des égouts sont des fédéralistes aussi purszédurs que Charest ou Stéphane Dion, ils demanderont des preuves et m’acccuseront de médisance. Alors que c’est tout simplement de la bonne calomnie, toute simple, toute nue.
Les Hell’s Angels ont écrit un gros NON sur la façade de leur bunker-repaire lors du dernier référendum. Et la mafia? et les gros entrepreneurs pourris? Et les Leclerc et Surprenant? Étaient-ils, sont-ils du côté du OUI ou du NON au Québec?
Les preuves <> sont là, claires comme l’eau de la claire fontaine si on ne fait pas exprès d’y barboter avec ses grosses bottes, boueuses comme la conscience d’Al Capone, de l’autre Elliott et des Rizzuto.