LA SECTE (FIN)

Les mains liées, devant un trou de deux mètres de profondeur, en se faisant traiter de complotiste par des disciples de l’international völkisch

Le prix de l’encerclement de la secte en cette ère de la COVID-19

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Tribune libre

 






Il me fallait un recul, pour constater des lacunes au sein de ma conclusion concernant mes textes sur la secte. Je n’ai pas d’excuses valables, si ce n’est les mesures sanitaires  contre la COVID-19 qui m’ont laissé l’impression d’avoir les mains attachées. De ne pas pouvoir réagir aux transformations qui malmènent nos droits et notre démocratie, pendant que nous vibrons au mondialisme de l’anglo-sphère, figé devant un trou dont la profondeur respecte les normes de distanciations sociales.


C’est le bonheur parfait. La secte est assurée que nous continuerons à avancer vers l’arrière, en passant de la SÉDUCTION, vers la DIVISION et l’INTOLÉRANCE, pour enfin accepter de nous  DÉPERSONNALISER et de faire des SACRIFICES.  Pour conséquence, rien ne change. Avant la peste, toutes les occasions étaient bonnes pour devenir les victimes d’individus dont la largeur de leur nombril dépasse celle de leur encéphale. Maintenant, le hasard profite au dénigrement, en nous rappelant que le nombre de Québécois qui sont décédés de la COVID-19 représente environ 63% du total canadien, alors que nous sommes près de 22% de sa population. Mais encore, nous devançons les États-Unis, cet exemple de mauvaise gestion de la pandémie, pour plusieurs médias.[1]


Comment seront récupérés ces chiffres? La secte va certainement souhaiter que celles et ceux qui nous ont accusés d’être des islamophobes, lors de manifestations contre la loi 21, puissent cette fois souligner la vengeance divine. Que d’autres préféreront imputer notre performance à notre langue, notre culture, notre histoire ou notre couleur de peau! Mais encore, nous pouvons nous attendre que quelques sophistes des médias, de  l’éducation et du corporatisme décideront du discours dominant, appuyés par une colonie de chiens de Pavlov. La raison est simple. Nous sommes encerclés par la secte. Rien de moins qu’une guerre contre NOUS qui se fait à l’aide d’une stratégie d’invasion. Pour conséquence, l’information et le savoir favorisent la coterie en fonction d’une pensée unique, pendant que ses poupées se retrouvent parmi des nombreux mouvements de manifestations. Des Dani qui attaquent tout ce qui est condamné par la cabale de tarés. Des journalistes qui  se demandent si nous devrions mourir à 75 ans, ou quand nous sentirons le besoin de partir. Ces personnes qui transforment la culture en un moulin à mantra servant à préserver la programmation neuronale du culte. Mais encore, cette volonté à tout mettre en place pour qu’un artiste tel Richard Desjardins ne puisse refaire le coup de L’Erreur boréale (1999). Réaliser un documentaire qui dévoile des alliances entre la politique et des transnationales, dévoreuses de forêts, devrait être réservé exclusivement à des journalistes qui ont été formés par la secte. C’est bien. En plus de profiter à un effritement de notre société, ça leur permet de fuir l’imputabilité pour mieux se laisser divertir par des dogmes ésotériques.


La grande alliance


Nous sommes entrés dans ce monde en observant les runes qui se sont retrouvées dans notre espace public lors de la grande SÉDUCTION des années 60. Une vigie incontournable pour saisir les ramifications occultes entre le corporatisme et les réseaux sociaux. Un exemple parmi d’autres est Marvel. En plus d’être associée à la Magie du Chaos, cette entreprise culturelle étasunienne fraye avec des idéologies raciales portées par le Black Lives Matter (BML). Du moins, je l’ai constaté en regardant, le premier août dernier, un film de la série Spiderman qui nous informait que l’obélisque de Washington fut construit par des esclaves noirs.


Je profite de cette nouvelle pour ajouter que le campement d’anarchistes qui s’est implanté à Seattle, le 8 juin 2020, par le soutien d’antifas et d'autres camarades qui se sont joints aux manifestations du BLM, fut baptisé  CHAZ, pour Capitol Hill Autonomous Zone. Un quasi-calque du TAZ (Temporary Antonomous Zone) de Peter Lamborn Wilson, celui qui associe la Magie du Chaos à des «dynamiques sociales et aux théories médiatiques de la communication, dont Internet». Des mots qui laissent l’impression que l’idée de déboulonner des statues pour exprimer son dégoût des Blancs serait l’adage des  parfaits disciples de la secte qui sont prêts à tout pour s’offrir des bénéfices et des avantages.


Au point d’intervenir sur notre réalité sociale et politique? C’est le cas depuis longtemps.  Rappelons à cette fin que William Lyon Mackenzie King, ce serviteur de la Fondation Rockefeller au début du XXe siècle était profondément enfoncé dans cet univers, en plus d’être un personnage raciste et francophobe. Nous devons aussi nous souvenir de ce premier ministre adulé par le Canada anglais, lorsqu’on traite de cette Charte de 1982, jamais signée par le Québec. Elle vibre au diapason du Fraudulent Mediums Act  de l’Angleterre, en mettant sur le même pied d’égalité les satanistes, les raëliens et les chrétiens. Ajoutons que cette Charte soutient la lutte contre le nationalisme québécois, pendant que l’encerclement s’étend à l’aide du développement technologique. Ainsi, l’animation 3D montréalaise a inversé Gilles Duceppe dans l'émission Et Dieu créa l’Afflaque du caricaturiste Serge Chapleau. Près de 8 ans après la défaite électorale de Duceppe qui suivit, sa mère Rowley Hotte est décédée gelée à l’extérieur d’une résidence luxueuse pour personnes âgées, après avoir été  oubliée durant plus de 7 heures.


La COVID-1984


À lui seul, ce drame a offert un avant-goût des effets de la pandémie. De nombreuses personnes âgées sont décédées, victimes de négligences de la part des institutions soignantes. Ajoutons que madame Hotte a été trouvée morte le 21 janvier 2019, le jour de l'inauguration du Fleur de Lys en 1948. Aujourd’hui, au nom de la lutte contre la COVID-19, la culture nationale et les PME chancellent, pendant que des Canadiens anglais, qui nichent au Québec, souhaitent se doter d’un drapeau qui serait plus représentatif de leur nombril.


Heureusement, nous pouvons encore visionner L'Encerclement (2008) de Richard Brouillette.[2] Il s’agit d’un documentaire de plus de 3 heures qui dévoile la mécanique sectaire qui s’opère en fonction du néolibéralisme. Un coup de masse qui nous permet de comprendre  que lorsque des grands médias radotent, ils le font au nom d’entités corporatives, bancaires et spéculatives. Ces farfadets, gardes de chasse de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui laissent l’impression d’utiliser la COVID-19 pour nous plonger dans un univers orwellien digne de 1984.[3]


Ces mêmes personnes ont réussi à transformer le Canada, ce pays qualifié de secte malveillante, en un gourou de la résignation collective, par la distribution d’argent, au point que la critique reste presque exclusivement réservée au gouvernement du Québec. Pour conséquence, le coronavirus pourrait remettre au pouvoir le Parti libéral du Québec (PLQ), dont l'actuelle chef est une cooptée du Bilderberg, une boîte à idées (Think Tank) fondée en 1954, par le soutien de la CIA, et ainsi perpétuer la dépossession et la disparition de nos symboles nationaux, dont le dernier en liste concerne le Cirque du Soleil. En attendant, l’encerclement se referme. François Legault a accepté l’idée qu’il existe du racisme systémique au Québec, en réponse à la  manifestation montréalaise du BLM, du 7 juin, lui qui a toujours tenté de tempérer ses propos. Un recul qui s’est accompagné de représentants de l’autorité qui se sont agenouillés au sol devant le BLM, comme s’il s’agissait d’un culte. Rien de moins qu’une refonte raciale de  l’envoûtement mis en scène, en 2019, par les médias et des farfadets du mondialisme, pour honorer Greta Thunberg, cette prêtresse du climat qui possède, selon moi, les  caractéristiques cognitives des enfants chamanes.


Depuis, c’est la débandade nationale. Pierre Fitzgibbon, l’actuel ministre de l’Économie du Québec, aimerait que des pharmaceutiques puissent accéder à nos données médicales. Éric Caire, le ministre délégué à la Transformation numérique gouvernementale et leader parlementaire adjoint du gouvernement, nous entretient d’une identité numérique pour 2025. Bravo! La gestion mondiale de la santé repose plus que jamais, COVID-19 oblige, sur la nécessité de numériser les données par le soutien de marqueurs numériques, de téléphones ou d’implants. Pendant ce temps, Geneviève Guilbault,  Vice-première ministre, ministre de la Sécurité publique et  responsable de la région de la Capitale-Nationale, dirigera une consultation publique sur la privatisation partielle des services de police. Ce désir se fera-t-il à la mémoire de la ministre du Travail Lise Thériault, qui en mars 2012, rencontrait à Londres diverses ONG, dont le Transparency International, afin de lutter contre la corruption? Pour Thierry Meyssan, le complotiste français exilé en Syrie, le Transparency International  serait chapeauté par le Center for International Private Entreprise (CIPE). Il croit qu’il s’agit d’une «couverture pour les activités d’intelligence économique de la CIA et un outil de communication pour contraindre des États à modifier leurs législations dans le sens de l’ouverture de leurs marchés». Il ajoute que le «CIPE se focalise sur la diffusion de l’idéologie capitaliste libérale et la lutte contre la corruption». La première réussite du CIPE, fut la «transformation, en 1987, du European Management Forum - un club de grands patrons européens - en World Economic Forum - le club de la classe dirigeante transnationale».[4]  Une occasion pour rappeler que si tout va bien, c’est que les services de renseignement sont en mèche avec les ploutocrates.


Un complot?


Revenons à la grande alliance. Elle serait impensable sans ramifications entre l’ONU, le Lucy Trust, l'ECOSCO de Gerald Brosseau Gardner, la Société Théosophique et quelques fervents des extraterrestres. Mais encore, tout cela serait inutile si nous n’avions pas la capacité de conjuguer nos actions collectives avec la montée de l’individualisme. Il s’agit ici d’une sanctification des nombrils qui permet de peser la chair, selon l’âge, la race, la langue, les idées et l’appartenance nationale. Ni plus ni moins l’actualisation des déviances du mouvement eugénique anglo-saxon qui a soutenu des occultistes qui rêvaient d’un völkisch planétaire. De là, faut-il se surprendre de voir apparaître une structure monolithique en Georgie, signée du nom R.C. Christian et inaugurée lors de l’équinoxe du printemps de 1980, qui nous rappelle la secte et le besoin de diminuer la population de la Terre à 500 M d’âmes? Après 40 ans, personne ne peut prouver que l’eugéniste et milliardaire Ted Turner serait l’auteur, encore moins que cela vise l’instauration d’un ordre  mondial totalitaire et eugénique présenté dans Common Sense Renewed de Christian Robert.   Nous savons seulement que la COVID nous approche de ce système en nous invitant à l’ébauche d’une société meilleure. Des vacances en Suède, dont on ne reviendra pa0s vivant. J’ajoute que lorsque des oligarques blancs et progressistes financent le  BLM et que des médias les supportent, cela ressemble à une volonté d’affaiblir des Blancs qui sont à peine 10% de la population du globe. Un mensonge de la secte!


Le 21 août dernier, les médias ont rapporté le décès d’un  homme de 19 ans. Don Béni Kabangu Nsapu, la plus jeune victime québécoise de la COVID-19, mais aussi une personne d’origine africaine motivée et équilibrée. Je ne désire pas exploiter le filon du complot racial, mais en même temps, lorsqu’on sait que les dieux de la secte préfèrent contacter ce 10%, cela laisse l’impression d’un revirement de la situation d’ici peu. Comment? Les pilotes des OVNI représentent un séduisant mélange de surnaturel et de progrès scientifique, à un moment de notre histoire où les applications numériques du TAZ effritent la bonne vieille empathie, au profit de l’inconséquence et de la malveillance. On peut ainsi démanteler des symboles nationalistes au nom de l’esclavagisme, sans pour autant s’attaquer aux téléphones intelligents qui sont liés à une industrie minière qui utilise des enfants esclaves. Est-ce le fruit d’un conditionnement?


Attention aux effets. Il y a près de 100 ans, nous avons intégré le réflexe de presser sur le bouton d’un interrupteur électrique pour allumer une ampoule. Cela a ensuite facilité la répétition du même geste, sans la moindre inquiétude. C’est ainsi que nous avons libéré du cyanure d’hydrogène pour mettre à mort des handicapés, des personnes inutiles, des Juifs, des homosexuels, des Tziganes et des Témoins de Jéhovah. Aujourd’hui, le même endoctrinement nous transporte vers une société sous contrôle, au nom d’une lutte contre la COVID-19. Avec l’exemple d'un accès aux données médicales et l’identité numérique, nous offrons à la secte la possibilité de décider du droit d'enfanter aux gens de couleur, aux  démunis et à ces personnes parmi nous qui portent le gène de l’acidose lactique congénitale, l’ataxie récessive spastique, la neuropathie sensitivomotrice héréditaire ou la tyrosinémie héréditaire. Qui décidera et pourquoi?


L’odeur envoûtante du soufre


Ce qui sauve les meubles repose sur le fait que le Québec a été marqué profondément par les dogmes du christianisme depuis la fondation de la Nouvelle-France. Cela a certainement eu une influence majeure sur les Canadiens français, plus précisément ces personnes d’un certain âge, tombées sous la COVID-19, qui ont participé à la naissance du Québec moderne en évitant le mépris de l’autre au nom de l’empathie, alors que le comportement malveillant du Canada anglais aurait assurément provoqué des actes violents dans une société différente. Aujourd’hui, la secte profite de la mort de Dieu. Au Québec, cela se traduit par une Révolution tranquille runique et d’un rehaussement du capital de la cabale qui fait passer les gains devant l’humain.


Le néolibéralisme fait mal. L’encerclement des ploutocrates est une attaque en règle contre la nature et l’homme. Le Bilderberg et le Forum économique mondial, ce World Economic Forum cité plus haut, marchent sur le même sentier que la Fondation Rockefeller, dont ses accointances, avec des prétendus extraterrestres, laissent l’impression d’une volonté à vouloir multiplier des agents mutagènes dans notre espace public. Mais encore, j’ai omis de vous entretenir de ces expériences médicales sur des cobayes humains commises par les dieux de la secte. Elles s’accompagneraient d’implants, une technologie d’identification numérique que certains associent aux vaccins promis contre la COVID-19. En 1967, avant que ce dossier soit lié à des visiteurs d’une galaxie pas loin de chez nous, Lincoln Lawrence a écrit dans Were We Controlled que le président John F. Kennedy (JFK) aurait été assassiné à l’aide d’une technique  portant le nom de code RHIC-EDOM, pour Radio Hypnotic Intra Memory Control (Contrôle radio-hypnotique de la mémoire intracérébrale) usant d’une électrode implantée dans le sinus mastoïdien, réagissant à un signal radio. Il ajoute que le corps de Lee Harvey Oswald, l’assassin de JFK, était marqué d’une cicatrice à l’emplacement du sinus mastoïdien.


Partons en guerre contre la secte en jappant comme des chiens! Il faudrait commencer par refuser d’agir et de vivre en son nom. Nous n’en sommes pas là. Tout ce qui se déroule autour de nous démontre que les billets de banque qu’on distribue, autant pour répondre au confinement qu’on nous impose que pour financer des groupes tel le BML, viennent avec l’obligation de suivre les rituels initiatiques de la secte. Ajoutons que ces camarades du Bilderberg et du Forum économique mondial tant adulé, qui se rencontrent une fois par année, me rappellent les membres des rassemblements annuels de l’Assemblée mondiale des sorciers, dont la dernière s’est tenue à Bogota, en 1976.


Dans Suspiria (1977), un autre film d’horreur, le  réalisateur italien Dario Argento a traduit la sorcellerie par ces mots: faire appel au monde de l’occulte pour obtenir des pouvoirs permettant d’influer sur la réalité, agir sur les personnes et obtenir des avantages matériels et personnels, par le mal des autres. En 2009, j’ai pondu une version néolibérale qui donne ceci: faire appel aux autorités et chefs mondiaux pour obtenir des pouvoirs permettant d’influer sur la réalité, agir sur les personnes et obtenir des avantages matériels et personnels, par le désengagement de l’État se soldant par le mal des autres. À vous de décider de la version qui répond le mieux à votre définition.


En attendant, je dois ajouter qu’en adoptant les rhétoriques des mondialistes et de la secte, nous devenons des anglos-citoyens qui jouons au même jeu. À Montréal, cette  capitale du BBQ, la gestion des travaux publics provoque des léthargies, des faillites, des  angoisses et des suicides. Dans la même ville, le BLM manifeste contre des Blancs pour  s’attirer des gains et avantages. Ici, des tarés s’organisent en réseau pour détruire des œuvres théâtrales, avec les mêmes intentions. Ici, des poupées associent des personnes à des dangers publics et divulguent des informations personnelles, au risque qu’elles deviennent victimes d’intimidation et de violence. Ici, nous lions un scientifique tel le docteur Paul Héroux à un complotiste. Ici on efface le Mockingbird et le Sea-Spray de l’histoire de la CIA, pour permettre au mal de s’étendre. Ici, des nationalistes inversent le drapeau du Québec lors de manifestations. Ici, on fait la file devant des commerces avec sa carte de plastique, en se foutant des conséquences. Ici, l’OMS ressemble à une confrérie de sorciers faisant le mal pour les bénéfices de ses mécènes. Ici, des personnes sont victimes de médisances et de dénonciations, dans le milieu de l’éducation, dans le monde des médias et au travail.


Ce n’est qu’un début. Le gouvernement de Justin Trudeau est parti en campagne de séduction pour préparer sa rentrée de septembre 2020. Il est là, accompagné de l’arc-en-ciel de l’alliance divine, du mantra «ça va bien aller» et d’un virus qui masque l’odeur sulfureuse, en affectant notre sens olfactif. Ni plus ni moins l’objectif d’un Canada centralisé pour mieux nous soumettre aux 17 recommandations de l’ONU. Pendant ce temps, NOUS vivons les contre coups des sacrifices, divisions, intolérances et dépersonnalisations. Nous sommes encerclés à un point qu’il nous reste  ces deux portes de sortie: Le TROU de notre sépulture dont la profondeur de deux mètres respecte la distanciation sociale de l’OMS, et le CIEL. Nous avons des pelles, pour ce qui est des ailes, elles manquent à l’appel. Est-il possible que le ciel  vienne vers nous à la place?


Le 14 juillet 2019, lorsque j’assistais à la projection de Solstice d’été j’étais loin de croire que ce film d’horreur inspirerait l’écriture d’une cinquantaine de pages, encore moins qu’une peste me permettrait de comprendre que les nombreuses personnes qu’on  accuse d’être des complotistes n’ont rien à voir avec la terre plate ou le fait de croire qu’Elvis serait décédé le 16 août 1977. Ils actualisent des prophéties bibliques,  dont celle qui concerne l’avènement d’un gouvernement mondial sans argent, lié à la Bête de l’Apocalypse.   En d’autres mots, la cabale contre ce discours qui s’organise autour de la COVID-19 est autant religieuse que politique. Un völkisch nazi qui se transforme en un culte satanique sous la loupe du christianisme.







Références




  1. ^ Les données sont du 8 août 2020. Aux États-Unis, il y a une population d’environ 330 millions, alors qu’au Québec, elle est de 8,3 millions. Cela donne un ratio de 39,76. En multipliant ce nombre par celui des victimes québécoises de la COVID-19 (environ 5,700), pour avoir l’équivalent chez la population étasunienne, nous obtenons 226,632 décès, alors qu’il y en a environ 155,000.  Pour être comparable avec les États-Unis, il faudrait que la COVID-19 ait fait 3,898 victimes au Québec, plutôt que 5,700.

  2. ^ J'ai replongé dans ce documentaire plus pertinent que jamais, avec la gestion de la COVID-19. Tentez l’expérience: 

  3. ^ Les troubles qui se vivent en Biélorussie, à la suite de l’élection de Alexandre Loukachenko, le 9 août dernier, après que ce dernier ait refusé de se plier aux recommandations de l’OMS, peuvent être un exemple de cet encerclement. Un jeu de manipulation économique et médiatique que nous ne pouvons négliger pour expliquer les volte-face du gouvernement de François Legault et l’asservissement de la Santé publique aux dogmes de l’OMS. Une COVID-19 qui devient ainsi un cheval de Troie pour atteindre l’économie nationale, afin de nous asservir à la Banque mondiale (privatisations).

  4. ^ MEYSSAN Thierry, La NED, vitrine légale de la CIA, 6 octobre 2010. 







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