Ce que l’on nomme communément le « Système » se donne une (légère) apparence de démocratie, mais son fonctionnement et ses visées sont hypocritement totalitaires. Il utilise carrément des stratégies dignes des régimes communistes totalitaires: conditionnements de masse, « lavages » (salissages) de cerveaux à grande échelle, etc. Voici quelques exemples.
La canadianisation forcée des jeunes
On sait avec certitude que notre ministère (fédéraliste) de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur du Québec a créé le cours Éthique et culture religieuse (ÉCR) dans le but d’endoctriner les jeunes dès leur plus jeune âge. Ce cours les conditionne à dédaigner l’identité québécoise acquise à la laïcité et à devenir multiculturalistes à la canadian ou à la Trudeau.
La canadianisation forcée des adultes
Le fédéralisme met de l’avant et bien en évidence, dans les médias qu’il contrôle (télévision, etc.) et dans la publicité, des immigrants, particulièrement des Noirs, bien au-delà de leur proportion réelle dans la société québécoise.
Il s’agit là d’un moyen de propagande multiculturaliste visant à canadianiser de force les Québécois de souche. Le message qui leur est ainsi martelé est, d’une part, que les immigrants leur sont supérieurs ou sont plus importants qu’eux; et, d’autre part, que la communauté québécoise de souche ne constitue qu’une communauté canadienne minoritaire comme les autres, une minorité canadienne pas plus importante que les autres même au Québec.
On notera que bien des féministes québécoises ont beaucoup plus de considération pour les immigrants que pour l’homme québécois, qu’elles considèrent plutôt comme leur ennemi juré depuis le début du féminisme. Des féministes québécoises « renommées » ou connues comme Hélène David ou Manon Massé sont d’ailleurs ouvertement multiculturalistes.
Le conditionnement multiculturaliste du « Système » vise donc davantage les hommes et les garçons que les femmes et les filles.
L’écrasement ou la « crétinisation » programmé des garçons
On constate facilement aujourd’hui l’écrasement ou la « crétinisation » programmé des garçons par rapport aux filles.
Les garçons sont derrière les filles dans toutes les matières au secondaire. À l’université, ils sont comme une espèce en voie de disparition dans la majorité des facultés, par exemple dans les programmes en santé.
Or, notre ministère fédéraliste de l’Éducation perpétue, pour l’avancement encore plus grand des filles, des concours comme « Chapeau, les filles! » et « Excelle Science », qui existent respectivement depuis 23 et 19 ans. Des prix existent aussi pour les mentors des candidates.
Comment se fait-il qu’il n’a jamais créé aucun programme ou concours pour aider solidement les garçons au secondaire, et pour contrer leur quasi-disparition progressive dans la majorité des facultés à l’université? Les concours susmentionnés aident les filles à investir des domaines d’étude et de travail traditionnellement masculins, en l’occurrence les sciences et technologies. Mais, dans tous les autres domaines où les filles sont aujourd’hui loin en avant des garçons, soit la majorité des facultés, le Ministère ne fait absolument rien pour ces derniers…
L’attaque permanente de l’État québécois et du féminisme contre les garçons est flagrante.
On ne s’attardera pas sur le volet chimique du « lavage » (salissage) de cerveau de nos jeunes par Ritalin, qui est beaucoup plus important ici au Québec qu’ailleurs, et qui vise trois fois plus les garçons que les filles.
L’écrasement ou la « crétinisation » programmé des hommes
Nos médias de masse fédéralistes ont opéré dans les dernières décennies une « crétinisation » des hommes conjuguée à une survalorisation des femmes. Cette stratégie a été amorcée ou lancée par Lise Payette et Clémence Desrochers dans les années 1970. Les deux ridiculisaient les hommes. Ce traitement de crétinisation s’est ensuite constamment amplifié au cours des décennies suivantes dans les médias de masse et la publicité.
Les garçons et les hommes ont donc été délibérément amenés dans une position d’infériorité marquée par rapport aux filles et aux femmes. Ils ont aussi été amenés à diluer de plus en plus leur identité québécoise face aux immigrants et au multiculturalisme canadian. Après des décennies d’oppression totalitaire, ils en sont rendus là…
Les stratégies totalitaires du « Système » évidemment fédéraliste ont été et sont encore des plus efficaces au Québec…
André Lafrenaie
P.-S.:
La conception du cours ÉCR a été initiée en 1999; et le concours Chapeau, les filles! a été créé en 1996. Ils constituent sans doute ou sûrement deux facettes du rouleau compresseur fédéraliste qui s’est résolument mis en marche sur le Québec immédiatement après le référendum de 1995. Ce rouleau compresseur avait et a encore pour but précis d’écraser définitivement le peuple québécois et son projet d’indépendance.
D’une part, on est sûr à cent pour cent des motivations fédéralistes toxiques à la base du cours ÉCR.
D’autre part, on constate de façon flagrante aujourd’hui les motivations anti-hommes de l’État québécois. Il perpétue ces deux concours Chapeau, les filles! et Excelle Science, même si les filles écrasent les garçons dans la plupart des programmes universitaires; et il ne fait par ailleurs jamais rien pour les garçons, qui ont pourtant infiniment plus besoin d’aide que les filles.
On peut croire que ces mêmes motivations anti-hommes étaient, en 1996, à la base ou à l’origine de la conception de ces concours immédiatement après le référendum.
Le fédéralisme a toujours bien vu son profit dans une alliance avec le féminisme pour écraser progressivement la moitié masculine du peuple québécois.
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