Le mal de mon coeur Québecois

Tribune libre

Le mal de mon cœur Québécois
Le mal de mon cœur
Est celui de la reconnaissance.
J’ai voulu partager mon pays
Pour être bon aux yeux
De ceux qui se cherchent un pays
Pour trouver un mieux être.
Je les ai laissé être ce qu’ils étaient
Je me suis adapté à eux pour leur plaire
Je voulais ainsi leur montrer ma bonté
En les accueillant gentiment chez moi.
Je leur ai fait une place chez moi
Je me suis accommodé à leur coutume
Petit à petit je suis devenu le créateur
D’un pays qui n’est plus à mon image.
Voulant leur montrer ma bienveillance
Je me suis sépare de ma source.
Parce que je désirais paraitre bien à leurs yeux
Sans chercher à protéger ma vie de Québécois
J'ai perdu le sens de ce que je suis.
Par compassion à leur souffrance passé
Je leur ai gentiment tendu la main
Je leur ai ouvert ma porte pour les aider
Aujourd’hui ils me demandent de sortir de ma maison.
Oui dans le monde
Les médias étrangers
Nous adulaient en tant que Québécois
Nous étions un peuple d’une grande bonté
Sur les tribunes ils nous invitaient
Partout nous étions considérés
Pendant ce temps notre réalité,
Est devenu ce que nous ne sommes pas.
Nous, nous sommes laissés dépossédé
Par une cote 3 A créer du fond des marais
Aujourd’hui nous, nous laissons dépouiller
De notre réelle identité
Nous voulons reconnaître tout le monde
Et nous refusons de nous reconnaître nous-mêmes
Nous acceptons de nous accommoder pour l’autre
Et nous renoncions à être ce que nous sommes.
J’ai cherché à comprendre
J’ai cherché ce qui nous manquait
Ce qui ne fonctionnait pas en nous Québécois
pour être vraiment une nation
J’ai découvert que nous avions perdu notre fierté
En ne voulant pas protéger notre identité.
J’ai compris que je n’ai plus de droit
Parce que je suis un enfant de la terre Québécoise
Où l’espoir est le fils de l’accommodement
Où ma réalité est un peuple
Qui renonce à son identité
Pour laisser les autres nous imposer la leur.
Ici tout le monde à des droits
Exceptés nous, Québécois
La peur d’être maître chez-nous,
La peur de déplaire aux autres
Est devenu notre ligne de conduite.
Je suis devenu l'enfant de ce monde
Qui a perdu le respect de lui-même
J’ai voulu faire une place à tous,
J’ai sacrifié ma propre place.
Oui je suis devenu l'enfant de ce monde
Qui a perdu le sens de son sacré
Qui a perdu le sens de son histoire
Oui je suis devenu l'enfant de ce monde
Qui a perdu la fierté de son culte
Qui a perdu le respect de sa culture
Aujourd’hui on nous proposé
De revenir à notre source
De protéger notre culture
Contre l’invasion étrangère
Tout ce qu’on trouve à dire:
Il faut s’accommodé,
Il faut les comprendre
Ça ne me dérange pas.
Ce que je me prépare a légué à mes enfants
C’est la négation de tous ce que je suis
C’est la négation de tout ce que nous avons acquis.
Avons nous oublié cette neutralité
Que nous avons si chèrement gagnés ?
Allons-nous nous réveiller avant qu’il soit trop tard ?
Ghislain Girard ©
Nous avons enlever le crucifix de nous école
Et nous laissons entrer le kirpan
Nous avons demandé aux sœurs d’enlever leur costume
Et nous laissons entré le hidjab
Nous ne devons plus parler de congé de Noël, de Pâques
Mais congé d’hiver et de printemps.
Eux ils ont droit au d’appeler ça Ramadan Achoura
C’est un crime de tuer des petits phoques
Mais eux ils égorgent leur brebis
Il faut boucher les fenêtres du YMCA
Pour ne pas blesser la susceptibilité de l’autre
Nous ne pouvons plus tondre notre gazon le samedi
Parce que sa dérange la paix de la mosquée
Et combien d’autres exemples que je passe
En fait nous n’avons pas besoin des gens de l’ouest
Pour nous détruire
Nous, nous détruisons nous-mêmes.
Nous n’avons pas besoin de craindre l’assimilation
Anglaise ou Islamisme entre autre
Nous, nous assimilons nous-mêmes à eux
Nous n’avons qu’a pensé au silence de tous ces médiats
qui se disent tenant de la vérité mais de quel vérité : la leur
celle de leur patron très souvent anti Québécois.
Ils n’ont qu’une vision des faits bien partiale
Présentement nos médiats sont malades
Ghislain Girard ©


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3 commentaires

  • Serge Jean Répondre

    2 avril 2014

    Étant en visite chez des amis, je viens tout juste d'aperçevoir à la télé, cette publicité des libéraux, que je qualifierais de monstrueuse, démagogue, et franchement sadique.
    Une publicité qui démontre clairement qui est ce salaud de Couillard et sa gang de bandits trafiquants de cerveaux.
    Tout est centré, focusé sur le mots « RÉFÉRENDUM ». Un mots qu'on a démonisé, empoisonné, léprotisé avec le temps. Les libéraux de Couillardville se font du capital politique en jouant dans le subconscient des gens dans la zone cervicale là où la peur naît;
    ils sont tellement malhonnêtes et méprisants pour l'intelligence des électeurs qu'ils ne se donnent même plus la peine de communiquer avec eux dans un language respectueux. J'ai entendu dire que ce monsieur Couillard avait un Q.I. au dessus de la moyenne???
    L'intelligence authentique et accompagnée de sentiments, n'a pas besoin de fourrer l'intellect de ses semblables pour se remonter elle-même .
    J'ai par ailleurs souvent remarqué que tous ces soi-disant «cerveaux supérieurs » étaient très souvent des gens froids et sans sentiments et parfois même, méprisants envers leurs semblables; je soupçonne même cette catégorie d'individus d'être visités plus souvent que la moyenne par la schizophrénie.
    Quand on aime et respecte ses semblables on n'essaie pas de les fourrer intellectuellement pour obtenir leur faveur.
    Serge Jean

  • Archives de Vigile Répondre

    2 avril 2014

    Je crois que vous décrivez très bien la réalité de la majorité du peuple québécois, non dans tous les événements mais pour plusieurs.
    Si nous en sommes arrivés là, c'est davantage à cause de la traitrise de leaders québécois qui ont trahi la confiance du peuple. Bien sûr que certains citoyens ont suivi ces leaders traîtres mais c'est parce qu'ils ont été manipulés de façon odieuse et il est difficile de leur reprocher de s'être laissés convaincre quand on tient compte de toute la puissance possédée par les terroristes fédéraux.. Moi comme vous et 60% des québécois francophones sommes assez intelligents pour voir clair mais, malheureusement, dans toute société il y a un certain nombre de profiteurs (individualistes), de gens naïfs, de personnes ignorantes, non-instruites et carencées intellectuellement dont les leaders corrompus n'hésitent nullement à abuser. Si dans les films de cowboys ce sont toujours ou presque toujours les bons qui gagnent, dans la vraie vie, c'est rarement le cas. Nous vivons dans une jungle dans laquelle Tarzan est la Reine et nous,, les singes.

  • Marcel Haché Répondre

    2 avril 2014

    S’il n’y avait pas d’ex politiciens qui encombrent le paysage, Nous pourrions y voir clair. Mais ces m’as-tu vu prennent toute la place, au point que l’électorat ne sait plus rien des partis concernant la gouvernance, et dont les chefs sont invités aux Débats comme à un tribunal des Médias. Ils ont enfin la permission, les chefs, de plaider leur cause à ce seul « temps fort » de la campagne, autrement la campagne des chefs est au temps mort, toute occupée par les spinneux.
    Une bande de commères ensemble, qui mènent la cité. Fatalement, la campagne électorale est devenue un cirque de commérages. Dommage. Encore une fois les rouges n’avaient rien à proposer. Depuis longtemps ils sont devenus incapables de proposer quoi que ce soit. Leur sac de propositions est en réalité un sac à malice.