Le 11 septembre 2001

Une histoire qui se poursuit

Tribune libre

À ce jour, la version officielle sur le 11 septembre 2001 a officiellement résisté aux théories conspirationnistes voulant que ce qui s’est passé ce jour-là ne puisse s’expliquer uniquement en se référant à Ben Laden et à Al Qu’Aïda. N’empêche qu’avec les années et l’intervention toujours plus élevée de scientifiques et de personnalités publiques le montage de la « version officielle » commence à s’écrouler, peut-être pas encore en chute libre, mais sur le point de le devenir.
Depuis la publication de « L’incroyable imposture » de Thierry Meyssan plus de 1381 documents, à ce jour, ont été répertoriés et classés par thèmes. Plusieurs associations et organisations dont celle regroupant plus de 1000 scientifiques, ingénieurs et architectes, ont pris l’offensive pour que soit rouverte l’enquête sur cet évènement tragique de l’histoire des États-Unis et du monde.
Dans un article récent, Elizabeth Woodworth, militante contre tout ce qui est désinformation, fait l’analyse du changement de stratégies des médias officiels dans le traitement des questionnements soulevés par les opposants à la version officielle. Elle y fait l’analyse de 18 cas, tous aussi intéressants les uns que les autres. Certains y reconnaîtront des références au documentaire réalisé par la BBC et présenté tout récemment à Grand Reportage de Radio Canada sous le titre « les théories conspirationnistes sur le 11 septembre démantelées ».
Pour ceux et celles que le sujet intéresse, l’article est plus qu’intéressant. Il permet un meilleur éclairage sur les enjeux en cause. Un sujet que nos médias officiels se gardent bien d’aborder de trop près.
Oscar Fortin
Québec, le 16 mars 2010
http://humanisme.blogspot.com

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citoyen du Québec et du monde

Formation en Science Politique et en théologie. Expérience de travail en relations et coopération internationales ainsi que dans les milieux populaires. Actuellement retraité et sans cesse interpellé par tout ce qui peut rendre nos sociétés plus humaines.





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2 commentaires

  • Isabelle Poulin Répondre

    19 mars 2010

    Merci Monsieur Fortin pour le lien : Dans un article récent, Elizabeth Woodworth, militante contre tout ce qui est désinformation, fait l’analyse du changement de stratégies des médias officiels dans le traitement des questionnements soulevés par les opposants à la version officielle. Les 25 techniques de désinformations devraient être connues sur le bout de nos doigts. La technique de l'homme de paille et du pseudo-débat très très souvent utilisée, ne peut être décodée par celui qui est trop peu informé. C'est pourquoi l'internet doit venir à la rescousse comme au moins un complément d'information, sinon on est foutu ! La technique de l'énigme couplée à des idées d'impuisances permet de fausser le jugement et de faire croire qu'il n'y a pas vraiment de solutions à un problème et qu'il est hors de notre portée souvent parce qu'il est gros ou complexe. Je pense entre autre à notre système de santé. Nos politiciens utilisent souvent la technique d'autorité. Les diversions et distractions sont nombreuses. Et la fausse preuve est facile à intégrer pour celui qui ne veut pas croire ce qu'il voit ! La bonne nouvelle est que de plus en plus de gens sont ouverts et en recherche d'informations crédibles car ils ont compris avec le scandale des vaccins qu'ils ont du pouvoir sur ce qui les entoure. Notre jugement a un potentiel de croissance et même s'il n'est pas infaillible, il est plus sûr que celui des gens trop intéressés à leurs seuls intérêts. Après tout, nous avons la possibilité de vérifier les faits et avons tous un sens pour décoder le mensonge. Attention à la technique du faux prophète, ceux qui vous disent 10 vérités et ensuite commence à vous mentir ! Celle-là ne fait pas partie des 25 décrites mais elle est bien réelle !

  • Raymond Poulin Répondre

    19 mars 2010

    Il existe en effet une collection abondante de documents scientifiques, de livres, de vidéos et d’articles des médias alternatifs sur le 11 septembre 2001, dont l’ensemble finit par prouver hors de tout doute au moins quatre choses : les tours du WTC ne se sont pas écroulées à cause du percutage par des avions (d’ailleurs, la tour 7 n’a même pas été percutée) mais à la suite de démolitions contrôlées; la logistique nécessaire à l’installation secrète des centaines de charges et l’usage de termate (substance, du moins à cette date, exclusivement militaire et entièrement sous le contrôle des forces armées des États-Unis) excluent toute possibilité d’un complot dirigé par des terroristes étrangers; la non-interception des avions ayant frappé la tour par la défense aérienne des USA ne peut absolument pas être attribuée à une série d’erreurs accidentelles ni à l’incompétence généralisée; le rapport de la commission officielle (NIST) contient des centaines d’omissions d’éléments importants, une série de grossiers mensonges et des affirmations prétendûment scientifiques allant à l’encontre des lois connues de la physique et de la chimie, entre autres, ce qui est déjà admis par des membres de cette commission. Il aura donc fallu un faisceau de complicités impliquant au minimum des membres du Pentagone, de la Défense en général, des services secrets, du gouvernement, des services de sécurité du WTC et d’autres horizons. Par ailleurs, il est établi que l’attaque de l’Afghanistan et l’invasion de l’Iraq étaient préparés bien avant les événements du 11 septembre 2001, qui ont ensuite servi de prétexte commode. C’est, en un mot, une opération sous fausse bannière dont les musulmans et les peuples arabes font les frais depuis ce temps. Le 11 septembre 2001 a constitué un alibi au Patriot Act et aux autres lois qui ont légalisé le quadrlllage et l’espionnage des citoyens des USA, du Canada et de l’UE, de même que les arrestations et enlèvements arbitraires, la torture et les assassinats ciblés. Cui bono?
    Si, après cela, il existe encore des tenants d’un complot ourdi par un Ali-Baba réfugié au fond d’une caverne en Afghanistan, on ne peut que les classer en trois groupes : ceux qui ne se renseignent jamais, ceux qui, même renseignés, ne peuvent psychologiquement admettre que leurs gouvernements puissent les tromper à ce point (sans doute les plus nombreux) et ceux qui ont tout intérêt à ce que la vérité ne soit jamais connue.