Le Québec, avec son gros groupe de fonctionnaires, est endetté et continu à chaque année de grossir sa dette. Nous nous payons des services sur le dos de nos descendants. En cela, M. Bouchard a raison de voir que nous allons directement dans le mur avec nos systèmes de santé et d’éducation déficients. Nous devons, collectivement, nos chemises à nos différents prêteurs.
Il est assez évident que la très grosse partie de la richesse québécoise appartient à des fédéralistes du genre Desmarais-Power plus toutes nos banques et la bourse qui ont transporté leurs employés de leurs sièges-sociaux à Toronto « Même celui de notre mafia, selon nos médias, s’en irait là », sauf Desjardins qui semblerait plus neutre à ce chapitre. Ça inclus presque tout le reste de l’économie et nos médias québécois avec Radio-Canada…tous des fédéralistes sauf Le Devoir et le Journal de Montréal qui semblent mieux faire la part des choses.
Fait que, ceux qui pensent que c'est la faute du PQ si la souveraineté ne vient pas plus vite, devraient regarder du côté de la différence des forces économiques en présence. Les souverainistes/indépendantistes/séparatistes québécois seraient comme les Palestiniens et les fédéralistes, les Israéliens...genre.
L'idée de base n'est pas de faire peur mais de se préparer en conséquence comme tenter de franciser en fraternisant mieux avec nos Premières Nations et nos Rhodésiens de Westmount et de l’Ouest de Montréal « comme les appelait, M. René Lévesque» pour ne pas qu'ils soient trop tentés de changer de...pays en joignant le ROC, si la souveraineté pure venait à arriver pour le Québec.
En attendant, faudrait juste, pour un souverainiste, à la place de critiquer, de façon masochiste, son camp, le PQ et le Bloc, voter pour le candidat souverainiste qui a plus de chances de battre le candidat fédéraliste dans son comté et aussi, tenter de faire changer d’idée, une bonne partie, de nos voisins fédéralistes, en leur parlant des vertus de la souveraineté du Québec…genre.
Les Québécois fédéralistes incluant plusieurs souverainistes, qui voient la gouvernance actuelle du Québec, aiment mieux risquer de perdre le français que son job.