LETTRE

La radicalité propre à l’antisionisme

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Le droit à l'autodétermination des Juifs se limite au territoire qui a été attribué par l'ONU à Israël en 1949, et non à celui de la Bible, l'Eretz Israel, que les sionistes convoitent sans droit






Dans son billet d’opinion intitulé « Le communautarisme est-il un danger pour le peuple québécois ? » (6 juillet 2017), Michel Seymour postule que le sionisme est une radicalité politique. En effet, pour soutenir que le communautarisme ne mène pas automatiquement à la « radicalisation politique », M. Seymour cite à titre de preuve l’antisionisme présumé de « la communauté hassidique de Montréal » (dont il est, par ailleurs, faux de prétendre qu’elle est globalement antisioniste).


 

Or, si, comme M. Seymour le suggère, l’antisionisme, c’est-à-dire l’opposition au droit du peuple juif à l’autodétermination sur sa terre historique, est un gage de modération politique, on ne peut qu’en inférer que, pour M. Seymour, la majorité écrasante des Juifs montréalais, en vertu de leur soutien à l’existence d’Israël, auraient succombé à la « radicalisation politique ».


 
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