Alexandre le Grand était le fils de Philippe II qui, lui, Philippe, par sa diplomatie et ses succès militaires a transformé un royaume qui était sur le point de se désintégrer (à l'image de notre société québécoise dont on étouffe la culture, l' histoire, la langue ...) en une monarchie puissante et centralisée (un Québec effacé dans un Canada uni).
Il a converti une milice indisciplinée en une machine militaire bien exercée, introduisant des innovations technologiques et une nouvelle tactique en matière politique: en dressant astucieusement les poleis (cités) les unes contre les autres, en employant tantôt habilement la négociation, tantôt les pots de vin et si nécessaire, la force
À la mort de son père, après quelques conflits, Alexandre accède au trône en tant que roi de Macédoine. Les ennemis de Philippe se réjouissent, gloussant du fait qu’ils n’ont maintenant affaire qu’à un jeune homme. Cependant Alexandre n’est pas néophyte. Alexandre est charismatique, intrépide et très manipulateur. Il a l’avantage d’avoir dans ses troupes des généraux chevronnés et fidèles à qui l'on a promis de belles nominations. Ces derniers font partie du legs de Philippe.
Il nomme des satrapes (gouverneurs provinciaux), mais il les met en garde, précisant qu’ils ont deux options: la fidélité absolue ou la mort.
Se croyant au-dessus de tout, il se pensait invincible. Babylone a eu raison de lui. Après des agapes fort arrosées il tomba malade. Certains ont prétendu qu'il avait été empoisonné. Nous n'en aurons jamais la certitude sauf celle qu'il est bien mort dans cette ville.
Le mythe d’Alexandre s’explique principalement par ses prétentions à la conquête du monde entier. Le personnage devenu Alexandre le Grand, relève autant de l'Histoire que de la légende.
Il n'y a rien de nouveau sur cette terre... plus le temps passe plus l'histoire se répète.
2016 province du Québec: course à la chefferie
Alexandre Cloutier, est le député de la circonscription de Lac-Saint-Jean à l'Assemblée nationale du Québec depuis 2007. Il a été ministre sous le gouvernement Marois entre 2012 et 2014. Il s'est présenté en mai comme candidat à la chefferie. Je cite un extrait d'un article de Charles Lecavalier:
L’establishment du Parti québécois a choisi son camp en appuyant Alexandre Cloutier.
Le député fera l’annonce officielle de sa candidature demain à Alma et sera accompagné par des vétérans péquistes, alors que Véronique Hivon a obtenu l’appui du jeune député Mathieu Traversy.
Le doyen de l’Assemblée nationale François Gendron sera à ses côtés. Même chose pour Harold Lebel, qui a travaillé avec plusieurs chefs du PQ et qui a quitté son poste de whip pour se lancer dans la course.
Deux autres officiers ont annoncé qu’ils quittaient la neutralité pour sauter dans l’arène : Agnès Maltais et Nicole Léger. Tout indique qu’elles seront elles aussi à Alma pour appuyer le clan Cloutier.
Texte de Charles Lecavalier Journal de Montréal, 13 mai 2016.
Pourquoi avoir utilisé ce mot dans le titre de l'article? L'establishment désigne habituellement l'élite dirigeante. À ce que je sache, le PQ ne dirige pas, en ce moment, en politique québécoise.
À mes yeux de néophyte, Monsieur Cloutier, bien encadré par la vieille garde, ne semblait pas avoir de concurrence sérieuse dans cette course. Et cette vieille garde semblait déterminée à embrigader d'autres élus dans le clan. Tous les coups étaient permis. Nous l'avons encore vu la semaine dernière lors de l'histoire du pointage obtenu d'une liste du clan Hivon (qui se retrouve orphelin) et lors du caucus à Gatineau quand les autres candidats à la chefferie, interviewés par les médias, se sont vus interrompre par la Bonne Fête chantée du clan Cloutier. Sans oublier que dans les comtés qui appuient le grand Alexandre, il est difficile pour les autres candidats d'avoir accès aux militants.
Moi, en tant que néophyte et simple membre du PQ cela me gêne. Je sais que c'est permis. Mais de la façon cavalière dont sont traités les autres candidats dans certains comtés, cela me met mal à l'aise. Qu'on ne vienne plus me parler d'esprit d'équipe et d'unité au PQ de la part du clan Cloutier. On joue dur dans cette course. Est-ce qu'on pense à comment on va pouvoir panser les plaies après l'élection du chef?
Je ne souhaite pas que des candidats de qualité tels Martine Ouellet, Jean-François Lisée et Paul Saint-Pierre Plamondon soient ''laissé-pour-compte'' par le reste du caucus.
Peut-être que monsieur Cloutier va ''frapper sa Babylone'' lors du vote puisque le peuple qui détient une carte de membre pourra parler.
Personnellement je ne voterai pas pour l'image. Je ne voterai pas pour un roi-soleil qui se parade avec sa cour de courtisans. Cela m'en dit beaucoup sur une personnalité ''Me, Myself & I ''. Nous avons assez d'un Trudeau aux commandes. Je vais voter pour une valeur sûre: Quelqu'un qui a de la culture générale, qui connaît l'histoire, un bon débatteur, quelqu'un qui connaît à fond le monde politique et économique dans lequel il vit, quelqu'un qui sait de quoi il parle et qui est capable de remettre à sa place n'importe lequel parlementaire pour faire avancer ses idées, son programme... Quelqu'un qui n'a pas peur de se battre seul puisqu'il croit en ses capacités, qui croit en lui. À mes yeux les trois candidats restants sont de calibre tant sur le plan de la personnalité que des capacités intellectuelles. Cependant il y en a un qui se démarque et qui gagne des points; l'écart s'amenuise entre lui et le favori puisque les gens découvrent tout le potentiel de monsieur Lisée.
Alexandre Cloutier sera-t-il l' hégémon en octobre 2016? Il reste tout un mois et ce mois risque de changer la donne puisqu'il y aura des débats. Et ce sera aux membres de décider entre l'image et la valeur sûre.
Que la course continue de façon civilisée en donnant la même chance à chaque candidat!
La course à la chefferie du PQ
Un rapprochement avec Alexandre le Grand
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7 commentaires
Marcel Haché Répondre
8 septembre 2016@ M. Blondin.
J’ai autant d’affection pour les péquisteux que pour les péquistes, croyez-le bien. Si ça se trouve, c’est cette variété de péquistes qui sont les gardiens des vieux dogmes du P.Q., mais hélas de la péquisterie itou.
Je crois simplement ce que vous ne croyez pas (encore?) : lors des élections provinciales, il n’y a plus de différence entre une élection référendaire et la tenue d’un référendum.
Vous avez raison de penser qu’avec Martine Ouellet au poste de p.m. un référendum serait gagné. Je le crois volontiers avec vous, cependant que la réalité la plus cruelle est que Martine Ouellet ne serait pas élue si elle sollicitait ce mandat-là.
La proposition de la tenue d’une « simple consultation populaire », comme vous dites, agit comme un épouvantail auprès de l’électorat. C’est cette toile de fond dramatisée par la presse du West Island qui favorise la gang à Couillard. J’estime seulement que le retrait, le report d’une noble « consultation », pourrait dédramatiser un peu les maudites élections provinciales.
C’est inutile de se buter sur un Mur. Cela n’a rien à voir avec le leadership. Le leadership propose de contourner les obstacles. Il emmène l’équipage à bon port. Il ne souffle pas lui-même dans la voile pour donner un show, pour faire croire qu’il « s’assume » et inciter faussement les indépendantistes à « s’assumer »... La nation s’attend à ce que ceux-là qui lui réclament un mandat qu’ils soient un peu plus sérieux.
La Marche de tout un peuple, cette Nation qui se dit Non encore, cette clisse de Marche qui n’en finit plus, cette Marche n’est pas une parade comme celles qui ont cours chaque année au centre-ville de Montréal.
En ce qui me concerne, et je vous l’écris en toute amitié et tout respect, croyez-le, ce n’est pas que vous soyez un péquisteux qui vous donne tort à mes yeux, c’est de croire qu’il n’y a pas de conséquences négatives, un très lourd tribut à payer par l’électorat du Nous, lorsque la noble « consultation populaire » mène à la division de la nation plutôt qu’à son rassemblement.
Nous (la nation) avons été punis chaque fois que Nous avons tenu nos « simples consultations populaires » et que Nous les avons perdues, parce que nous (les indépendantistes) n’avions pas été assez imaginatifs ni résolus pour gagner.
Tous les péquistes qui n’ont pas remarqué que le référendum de 1980 Nous avaient divisés, que celui de 1995 Nous avaient plus divisés encore, tous ces péquistes qui réclament encore, contre tout bon sens, un troisième référendum, forment l’avant-garde des péquisteux, ceux-là qui entendent ainsi faire courir des risques to-ta-le-ment inutiles à la noble Cause, sous le fallacieux prétexte qu’il faut assumer notre conviction, comme si assumer cette conviction devait passer uniquement à travers une « consultation populaire » devenue immensément impopulaire, comme si à la fin la Cause avait besoin de relever de l’égo de chacun d’entre nous.
Ce qui n’a pas marché, parce que cela ne pouvait pas marcher (il y a des raisons objectives pour expliquer cela), ce n’est pas le « bon gouvernement » qui n’a pas marché, c’est le référendum qui n’a pas marché, et deux fois plutôt qu’une, mais lui encore dans les cartons du P.Q.,
Puisque vous croyez que le référendum est le « pont » obligé pour y faire passer notre Cause, ne pouvez-vous pas admettre cette chose toute simple qu’il vaudrait mieux que toute une nation réunie marche ensemble… pour commencer… sur le boulevard menant au pont. Le boulevard, c’est le Pouvoir. De ce point de vue, Martine Ouellet ne saurait espérer que, d’ici deux ans, l’électorat la rejoindrait sur la barricade d’un pareil volontarisme. Avec elle, le P.Q. recevrait la même mornifle qu’a déjà reçu O.N., et lui aussi par deux fois plutôt qu’une…
Michel Blondin Répondre
7 septembre 2016À Micheline Saint-Pierre Otis,
De mon texte et du dernier découlent que Martine, était mon choix premier et qu'Alexandre Cloutier le deuxième.
J'avais déjà pris position pour Martine Ouellet il y a un mois dans ce journal. Même avant la course, je l'ai sollicité à se présenter. Je connais Martine depuis 25 ans, alors qu'elle était responsable du dossier environnement.
Elle est la seule à se commettre sur une consultation populaire qui me satisfait. Dès la prise de pouvoir comme chef d'État du gouvernement du Québec, elle met en branle le processus.
@ M Haché
Vous m’affubler de péquisteux comme tous ceux qui veulent un référendum. Soit! Pourtant, pas un argument n'a été étalé sur la place publique qui fonde le raisonnement de reporter le référendum.
Je ne comprends pas ceux aussi comme vous qui persistent, en tout respect, de continuer dans le rejet du référendum, ce qui est simplement une consultation populaire, sans se justifier par des raisons probantes et cohérentes.
J’explique pourquoi cet argument est celui des fédéralistes pas des indépendantistes. L’attentisme et le passivisme sont bien ancrés dans la tradition des chefs péquistes qui ont manqué leur coup. Bouchard, Lévesque 2, P.M. Johnson, Marois, Boisclair Et on en redemande.
La méthode directe de Parizeau est la seule qui a marché.
De plus, plusieurs États américains et de nombreux pays en font sur une base régulière. Ici, quelques personnes montent en épingle et décrète que c'est horrible et dangereux.
J'aimerais bien comprendre les fondements de la peur de perdre un troisième référendum. Comme si la nation avait la colonne d'un invertébré. Il n'y a qu'un seul pont et il faut le prendre. Tout le monde en convient. On a un seul adversaire et ce sont les fédéralistes.
Croyez-vous vraiment que la population ne sait pas ce que c'est, que de se prendre en main? NON!
Croyez-vous que ça prend une autre génération dans 10 ans pour faire une consultation? NON!
Croyez-vous vraiment que reporter garantie la victoire? NON!
Un capitaine qui ne veut pas aller où il doit aller est mieux sur le banc du passager.
Dites-moi si j'ai tort!
Marcel Haché Répondre
7 septembre 2016Ce n’est pas la promesse péquiste de tenir un référendum qui embête la gang à Couillard, c’est l’inverse, c’est l’engagement de ne pas en tenir un qui l’embêterait.
Proposer (encore) à l’électorat de tenir un référendum, ou deux, ou trois référendums, on ne sait pas trop quand, ou encore on sait quand mais on ne sait pas comment, ni la date ni la question, mais continuer ainsi d’entretenir cette idée que le P.Q. en est (encore) à vouloir en découdre au moyen d’un référendum déconsidéré, c’est la preuve évidente qu’une partie des péquistes est (encore) dans le Déni.
Le Déni a pourtant son bateau de misère, et ce n’est pas le navire amiral, c’est O.N.
Jean François Lisée a le mérite de reconnaître (je conçois aisément combien cette reconnaissance peut être très désagréable) qu’il existe un électorat important (déterminant) qui n’est pas entiché par un éventuel référendum, c’est le moins qu’on puisse dire.
Souffler soi-même dans la voile n’a jamais fait avancer aucun navire. Mais…mais souffler sur les braises d’une nation en perdition, c’est cela assurément qui embêterait la gang à Couillard, et non pas cette idée de misère du référendum.
Évidemment, cela exigerait un souffle qui vienne de loin…certainement plus loin que celui qui souffle présentement sur le P.Q. On jase.
François Ricard Répondre
7 septembre 2016Nous avions notre tournoi de golf annuel ce weekend. Lundi, troisième journée, la plupart des membres étaient là pour la remise des prix.
Tout le monde sait que je suis indépendantiste et que je suis membre du PQ.
Souvent la discussion tourne à la politique.
À un certain moment. l'un des membres, caquiste notoire, m'a lancé ceci:"Vous autres les péquistes, vous êtes des obsédés du référendum.Il y a une élection, vous parlez de référendum. Vous avez une course à la chefferie, vous choisissez votre chef selon ce qu'il pense du référendum. C'est à croire que si le référendum n'existait pas, le PQ n'aurait pas de raison d'ëtre".
D'aucuns croient que le référendum est devenu un boulet pour le PQ. Je suis de ceux-là. Comment d'en débarasser? Pourquoi pas l'attacher à quelqu'un d'autre? Aux fédéralistes? Avec une question bien simple"Voulez-vous que le Québec signe la constituion de 1982 et sa charte?"
Archives de Vigile Répondre
6 septembre 2016Monsieur Blondin, comme beaucoup d'analystes et journalistes biaisés, oublie
dans son commentaire une future chef des plus chevronnée en la personne
de Martine Ouellette. Si les autres candidats n'ajustent pas leur pendule avant
le 5 octobre, j'espère que les membres du PQ vont se réveiller. Si on branle trop
dans le manche comme JFL et Cloutier (de vrais copies de Claude Morin, L.Bouchard et B. Landry), il nous restera qu'à nous aliéner à la CAQ.
Robert J. Lachance Répondre
6 septembre 2016Fort bien Mme Imbeault,
« Que la course continue de façon civilisée en donnant la même chance à chaque candidat ! »
C’est ce que je souhaiterais dans un monde idéal mais que je sais impossible en ce monde réel humain. Nul n’est tenu à l’impossible, ça n’exclut pas le PQ.
Ne prenons que la question du financement : c’est à la charge des candidat.e.s et ils et elle sans s maintenant, ne sont pas de mêmes niveaux. Voyez le tableau : Alexandre et Jean-François dominent; plus bas, Martine double Véronique qui ne joue plus et encore plus bas, Paul progresse de façon étonnante mais il accuse un retard d’un ou deux mois.
Est-ce que le parti devait prévoir une parité entre candidature d'homme ou de femme pour satisfaire une des quatre dispositions générales des Statuts de 2011 ?
Au fait, devrait-il aux Statuts y avoir une disposition générale intergénérationnelle comme il y en a une entre homme-femme ?
Sans vouloir m'éloigner du sujet avant le 7 octobre, procédons dans l'ordre car l'avenir s'en vient.
Michel Blondin Répondre
6 septembre 2016Je ne partage pas votre point de vue sur plusieurs aspects.
1- Je conviens cependant que l’évaluation de toutes les candidatures est importante en raison du type de bulletin de vote par priorité de préférence.
2- Celui qui semble dominer la course selon le récent sondage et le candidat choisi par plusieurs députés sur le fond des revendications politiques a quant à moi plus de profondeur et de pertinence que de plusieurs anciens chefs du parti. Mais son indécision le place entre deux chaises en bon politicien de gouverne et en mauvais stratège sur l’essentiel.
3- L’obsession référendaire ou le refus du référendum souvent cités sont un argument clairement fédéraliste. 1- Qui veut des examens? Et qui veut le diplôme? 2- Qui veut une élection? Et, qui veut une bonne gouverne? 3- Qui veut un référendum? Et, qui veut être maître de son destin? 4- Qui veut mourir? Et, qui veut aller au ciel?
À chacune des premières questions tout le monde répond « non » naturellement. Et à la deuxième question, on répond « oui ». Alors, qui a intérêt à promouvoir que « ’il ne faut pas de référendum » et que c’est de l’obsession? Les fédéralistes qui n’en veulent aucunement puisque cela les embête. Ils ne veulent rien en savoir.
4- Pourquoi Alexandre Cloutier se met à ne pas savoir s’il fera un référendum, une consultation populaire dès le moment qu’il gouverne le demi-État?
5- Quant à Lisée, sa forte pertinence à discourir sur quoi que ce soit ne l'empêche pas d'oublier et de bien faire paraître l'absence de revendication d'une nouvelle constitution des lois et du nouveau pays, objet principal du programme du PQ et fondement du ciment partisan.
Qui plus est, n'investira pas un sou dans la promotion de son projet de fondement de son action politique. À titre de comparaison, cette position est tellement délurée que tout bâtisseur qui dépense en recherches et développements, que non seulement l'agence d’impôt reconnaît ces dépenses admissibles, mais les gouvernements les subventionnent.
Quant au choix de vouloir faire une consultation populaire dans 10 ans, à ce jeu il est en concurrence avec la CAQ qui a une longueur d’onde d’avance et une crédibilité sans faille tout en niant son propre programme : un paradoxe qu’il veut aussi faire oublier comme par magie aux militants indépendantistes.
Lisée promet de bonnes idées contre un gouvernement d’idées du diable, brûle les mauvaises affaires tout en mettant au feu aussi l’essentiel du programme en espérant qu’il réapparaisse comme tout revampé. Illusion clownesque.
6- Quand un référendum n’est pas mis sur la table pour tes convictions, c’est que le politicien ne vaut pas une chanson.
7- Au regard de ces considérations, les choix se déduisent.