Suite à la performance catastrophique de Joe Biden lors du débat contre Donald Truimp. lequel débat a provoqué son retrait à titre de candidat démocrate à la présidence des États-Unis, voilà qu’à quelques jours des élections américaines, le président Biden, le regard hagard et la voix quasi inaudible, a comparé les électeurs républicains à des «ordures», une gaffe monumentale qui pourrait avoir des répercussions extrêmement fâcheuses sur le sprint final de la campagne électorale de la candidate démocrate Kamala Harris, et qui a été vite récupérée par le clan trumpiste.
En lien avec cette bourde aberrante, une question me triture les méninges: Joe Biden a-t-il été conseillé par son entourage rapproché pour s’aventurer aveuglément dans cette voie dangereuse, et si non, pourquoi ne lui est-il pas venu à l’esprit les répercussions catastrophiques qu’elle engendrerait? Et qui plus est, une gaffe lancée au beau milieu du rassemblement du parti démocrate où Kamala Harris prononçait le plus important discours de sa campagne devant le Capitole à Washington.
Ce n’est pas un secret pour personne, Joe Biden est de plus en plus soumis à des écarts de langage qui le conduisent dans des sentiers tortueux et malsains, et de facto, il devrait être encadré dans un agenda politique qui le tienne éloigné des médias pour le plus grand bien de Kamala Harris. La campagne tire à sa fin. Cette erreur stratégique aura-t-elle des répercussions négatives sur le vote populaire du 5 novembre? Il est un fait indéniable, les sondages placent depuis le début de la campagne les deux candidats nez à nez et à ce titre, la moindre petite bévue peut être déterminante. À suivre…
Pleins feux sur les enseignants et les infirmières
Les systèmes d’éducation et de santé du Québec craquent de partout. Pénurie de personnel, mobilité des effectifs, temps supplémentaire obligatoire, élèves à besoins particuliers, lourdeur excessive des tâches, harcèlement psychologique ne sont que quelques exemples de sujets qui font les manchettes presque quotidiennement.
Et pourtant, derrière ce scénario pour le moins lugubre, des milliers d’enseignants et d’infirmières se dévouent corps et âme pour la réussite des élèves et le bien-être des patients qui leur sont confiés. Malheureusement, ils ne font pas la une des manchettes, ils ne font que leur travail «normal» dans l’ombre des écueils qu’ils rencontrent sur leur chemin professionnel.
Or l’être humain est viscéralement imprégné d’une soif toujours inassouvie de sensationnalisme, de ce qui sort de l’ordinaire et, de facto, les enseignants et les infirmières qui s’évertuent dans des systèmes en manque d’amour passent inaperçus.
Aujourd’hui, je désire rendre un hommage tout particulier à toutes celles et tous ceux qui, contre vents et marées, font preuve d’humanisme et de professionnalisme dans l’accomplissement de leurs tâches au sein des écoles et des hôpitaux du Québec. Puissent leur détermination et leur courage rejaillir et se propager dans notre société en quête d’amour!
Henri Marineau, Québec
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