Réponse à M. Félix Pinel :
Existe t’il un moyen de faire l'indépendance en un seul jour:
Ma réponse va à contre sens de tout ce que vous avez entendu jusqu’ici :
L'indépendance à petit pas, ne peut pas marché au Québec, par ce que j'ai démontré que les Québécois sont conditionnés par le contrôle de l'information et des médias, sauf internet.
Les stratégies appliquées par Ottawa sur nos jeunes cerveaux, ex. trafic de nos livres d'histoire dans les écoles, saturation de musiques anglophones, projet d'apprentissage de l'anglais la première année, etc, etc. suivit par l'immigration anglophone intensive à Montréal.
En psychologie, on appelle cela du conditionnement mentale.
Avec de telle stratégie, on peut amener quelqu'un, à se trouver bien, comme soumis, sans que ce quelqu'un se rende compte qu'il est en fait manipulé et dépouillé de ses biens. Cette personne en vient à ne plus croire en ses valeurs et en sa capacité d'accomplir des choses. Il accepte sa condition d'être inférieur (d’être considéré et traité comme un esclave par ses voisins). Son insécurité l’amène à accepter du racisme à peine caché à son endroit.
Ces techniques sont empruntés au BDSM appliqué par un état sur une partie de ses citoyens, voir mon texte, Étude sur le comportement des Québécois face à leur avenir, sur ameriquebec.net ou mon site saglacweb.blogspot.com.
Peu de gens perçoivent les stratégies cachées derrière les négociations pour l'achat de Énergie Nouveau-Brunswick par Hydro-Québec, en fait le contrôle de notre entreprise est en jeu. D'autres profiteront des avantages que nous devrions bénéficier, nous aurons des hausses de tarifs alors que les gens du NB verront leur tarif réduit et gelé pour 5 ans. Il ne faut pas savoir compter pour accepter cela. Notre entreprise nous pénalise au lieu de nous faire profiter de sa croissance...
Tout économiste qui s'aventure à discuter pour contrecarrer cette transaction et il y en a eu quelques uns, se voit limité dans ses publications et sa couverture médiatique, seulement les discussions présentées par Hydro-Québec nous sont présentées de façon répétées comme une bonne décision par les médias.
Les groupes de discussion, comme Vigile, ameriquebec, etc, possèdent des motivateurs fédéraux dont la fonction est d'entretenir les décisions gouvernementales. Ces gens sont agressifs et fermés à toute discussion contraire à la ligne de direction fixée, ils jouent de l'intimidation chez les lecteurs.
A l'Université du Québec à Chicoutimi, on ne peut discuter de politique dans les ateliers, lors de colloques sur l'avenir du développement régional. J'en ai fait la preuve en participant à plusieurs de ces colloques. Le modérateur à la fin de toutes discussions ne retenait jamais les items à caractères politiques.
En septembre 2009, dans un atelier traitant des structures à implanter pour favoriser notre développement, on a eu droit à l'intervention de quelqu'un qui après mes interventions est venu mettre une mise en garde générale prétendant qu' "on allait trop loin " et "de faire attention". Il ne s'adressait pas à moi directement, mais au groupe de l'atelier dont il semblait être connu, est-ce assez clair! Je vous rappelle que j'étais dans une institution de haut savoir. Lors de la plénière, lorsque j'ai soulevé les conflits d'intérêts de l'approche commune, on aurait pu entendre une mouche volée, on sentait une indisposition générale.
Le premier outil utilisé par un pays qui fait la guerre, c'est le contrôle de l'information. C'est de cela qu'il faut informer les citoyens et lui donner des exemples. Avec M. Charest les exemples sont légions, par exemple, pas de commission d'enquête pour camoufler une perte de 40 milliards de la Caisse de dépôt, retards injustifiés pour enquêter ou donner des réponses sur le favoritismes et les contrats sans appels d'offres à des amis ...
Il y a tellement d'exemples indiquant que mes analyses sont les bonnes, qu'on devrait, en utilisant les bons arguments et avec la collaboration de tout le monde, être en mesure de réveiller nos frères et soeurs en quatre à six mois.
Un peuple ne peut pas décider de son avenir s'il ne connaît pas toutes les données impliquées dans son choix.
Qu'on donne au peuple les vrais réponses à ses questions et nous aurons notre indépendance l'été prochain.
Il est reconnu international que c’est le peuple qui est souverain, pas les élus! Les élus sont les représentants du peuple et peuvent être démis, temps d’élection ou pas.
Pour Ottawa, la tromperie est même inscrite dans la Constitution:
Exemple:
1. Constitution Américaine: " We the People of America...
2. Constitution Canadienne: '' We the Government of Canada...".
C'est à nous d'informer les citoyens afin qu'on puisse dire tous ensemble à Ottawa, tasse-toi mon oncle, ici tu est chez nous, lève les pieds.
M. Charest nous retourne au temps des bouts de chemin de Duplessis, des pots-de-vins, des décisions cachés, etc. Pendant ce temps là, il part avec la "Caisse", au sens propre comme au figuré, les fédéraux ont imbriqués toutes nos possessions.
Les exemples sont là, tout à fait lisibles et on est tous conditionnés à ne pas les assimiler, le plus bel exemple de cela ce sont :"Les accommodements raisonnables". Y a t'il plus grande arnaque que de conditionner un peuple à s'écraser et à accepter de disparaître volontairement?
Si vous voulez l'indépendance en une journée, commençons par renseigner le peuple, tout le reste va venir tout seul et très vite.
Il faut imposer le respect de son identité, si l'on veut vivre en liberté.
Les Québécois doivent s'ouvrir l'esprit et accepter :
1. À entendre ce qu'on les conditionne à ne pas entendre;
2. À lire, ce qu'ils sont conditionnés à ne pas lire;
Réussissons cela Mesdames et Messieurs et l'indépendance c'est pour l'été prochain.
Retenez bien ceci :
C'est le peuple qui est souverain, pas le gouvernement... Les élus ne sont que le représentant du peuple.
Un peuple informé majoritairement peut disposer de ses élus très rapidement. Les Ukrainiens l'on fait avec, tenez vous bien, l'aide du Canada !!!, les Russes l'on fait également, de même que les citoyens de plusieurs anciens satellites de Russie.
Qui veut la fin, prend les moyens! Prenons les...
Ces moyens, nous les avons et vous faites partie de la solution.
Jean-Pierre Plourde.
Texte également publié sur mon site, saglacweb.blogspot.com, vigile.net, ameriquebec.net, politicoblogue...
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4 commentaires
Jean-Pierre Plourde Répondre
4 décembre 2009Bonjour M. Gignac:
Les commentaires comme ceux que je fais, ne sont pas retenus dans les médias écrits tout au plus le commentaire d'un économiste sans insister.
Seulement la version canadienne est répétée. c'est une forme de conditionnement subliminal. C'est le contrôle de l'information dont vous trouverez la preuve sur saglacweb.com, voir l'enquête, Le contrôle de l'information.
Continuez vos efforts, ensemble on finira bien par passer le message, la vérité finira bien par devenir évidente.
Le fait que peu de gens commentent ce genre de commentaires est aussi très surprenant.
Jean-Pierre Plourde,
Archives de Vigile Répondre
4 décembre 2009Bonjour monsieur Plourde,
Je ne comprends pas que le peuple québécois ne bouge pas plus que ça surtout avec tous ces scandales qui fusent de toutes parts, c'est anormal! C'est la résignation collective généralisée et notre classe politique est complètement déphasée et déconnectée avec la réalité et le peuple. Je suis une personne très politisée et je trouve que la situation politique au Québec devient de plus en plus intenable et invivable, c'est très frustrant!
C'est manquer totalement de maturité politique que d'avoir permis à ce gouvernement pourri d'être réélu. Les gens votent souverainiste pour le Bloc à Ottawa et quelque temps après vont élire un gouvernement fédéraliste à Québec, où est la logique? Jamais, l'indépendance du Québec ne se fera sans ferveur nationaliste ni sans éducation politique. Vous ne parlez pas d'indépendance seulement la veille d'un référendum, voyons donc! Et je ne comprends pas que le mouvement souverainiste n'ait pas encore réussi à contrecarrer la propagande fédéraliste éhontée de Gesca. Le PQ, au lieu d'être à l'offensive, pratique un nationalisme défensif ce qui lui nuit énormément. Je reviendrai sur le
sujet.
André Gignac le 4-12-09
Jean-Pierre Plourde Répondre
3 décembre 2009Bonjour M. Gignac;
Un débrayage national ne peut se faire sans une conscience sociale étendue, on est loin de cette situation.
L'indifférence nationale est plutôt la norme par les temps qui courent.
On se retrouve avec une société qui choisit d'abandonner son droit d'assumer et de définir le mode de vie sur son territoire.
Merci de votre commentaire;
Jean-Pierre Plourde.
Archives de Vigile Répondre
3 décembre 2009La seule solution au cauchemar politique que nous vivons actuellement au Québec est un débrayage national.
André Gignac le 3-12-09