Associer d'anciens premiers ministres aux plus grands flops de l'Histoire.

L'échangeur Robert Bourassa tel est le nouveau nom suggéré!

Toute une façon de se rappeler Mirabel et l'échangeur Turcot.

Tribune libre

Associer d’anciens premiers ministres aux plus grands flops de l’histoire
L’échangeur Robert Bourassa tel est le nouveau nom suggéré
pour l'échangeur Turcot.
C’est une façon de se rappeler Mirabel et l’échangeur Turcot.
Cette idée d’associer d’anciens premiers ministres aux plus grands fiascos de l’histoire du Québec et du Canada, pourrait correspondre même à du masochisme
C’est ainsi en nommant l’aéroport de Dorval Pierre Elliot Trudeau n’est pas sans rappeler le flop monumental qu’est Mirabel, lequel a marqué son gouvernement
On se propose maintenant d’associer le nom de Robert Bourassa à l’échangeur Turcot sans doute pour rappeler un autre magistral fiasco technique et désastre financier.
Mis à l’écart d’un nom historique:
À Québec le boul. Du Vallon s’appelle maintenant Robert Bourassa.
À la Baie James
On observe à la Baie James que pas un coin qui n’est désigné sous le nom de Robert Bourassa. Pourtant le gros des ouvrages de la Baie James ont été réalisés sous l’administration de René Lévesque. Les travaux ont effectivement débuté à l»’automne 1976 pour se terminer en 1985
Ce fut alors que les trois centrale hydroélectriques d’une puissance installée totale d’environ 10300 MW ont été implantées soient LA GRANDE-2, LA GRANDE-3 et LA GRANDE-4, La configuration finale de ces ouvrages ne s‘est finalisée qu‘en 1978..
Par la suite l’ouvrage LA GRANDE-2 fut rebaptisée «Aménagement Robert Bourassa» en 1996 par Lucien Bouchard. Il avait sans doute oublié de s’enquérir sous quelle administration ces ouvrages avaient été
réalisés dans leur entier.
Les documents d’Hydro-Québec mentionnent en plus:
-Barrage Robert-Bourassa.
-Réservoir Robert-Bourassa,
-Centrale Robert-Bourassa.etc.

Les ouvrages de Baie-James:
Principales étapes:
-30 avril 1971: Présentation en grande-pompe du projet NBR,
-1972-Projet considéré comme irréaliste et mis au rancart. On se déplaçait vers le Nord.
1972-1974-Construction d’une route de 620 kilomètres
-1974 Les travaux furent interrompus sur un ordre de cour:
-11 novembre 1975 Suite aux négociations avec les autochtones la signature de la Convention de la Baie James et du Nord québecois

-Été 1976 Les travaux se remirent en marche qu’à l’été 1976 et entrèrent dans leur phase de réalisation dans les années qui allaient suivre pour se terminer en 1985, soit pendant toute la durée du mandat du parti québécois
LIENS: pour en savoir plus:
http://vailcour.blogspot.com/2010/12/la-baie-james-1971-1996.html
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1 commentaire

  • Archives de Vigile Répondre

    19 décembre 2010

    M. Vaillancourt, nous le savons bien nous sommes des masos et nos ennemis encouragent ce comportement déviant.
    Les peurs nous accompagnent quotidiennement.
    Mais... nous sommes si gentils... que ne ferions-nous pas pour qu'on nous aime...
    Vous n'avez qu'à bien observer ce qui se véhicule à la télé: l'infantilisation des Québécois.