Après le dédommagement des islamistes, voici venu le tour des LGBT

Justin Trudeau, symbole suprême de l’effondrement occidental

L'électoralisme servi par le marxisme culturel

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Chronique de Philippe Plamondon

Depuis quelques années, le communautarisme victimaire a pris des proportions inégalées qui nous projettent dans un univers qui frôle la maladie mentale.


En effet, le marxisme culturel – l’instrumentalisation du politiquement correct et des revendications des minorités à des fins politiques – ne conçoit la société que comme un cumul d’individus envers lesquels l’État doit réparation, réconciliation et dédommagement. Les Autochtones, les minorités religieuses, les minorités sexuelles, les handicapés ou les obèses (!) sont tous vus comme des espèces fragiles à qui nous devons des excuses… et surtout beaucoup d’argent !


C’est ainsi que Justin Trudeau passera son mandat politique à brailler sur commande, à s’excuser, à demander pardon et à donner des centaines de millions de dollars en compensation à ceux qu’il dont il espère le soutien électoral.


L’électoralisme de la gauche libérale


Ayant abandonné les classes moyennes, la gauche libérale a compris que son seul moyen de se maintenir au pouvoir consistait à créer des divisions sociales en entretenant un discours victimaire pour des « minorités opprimées » qui formeraient le cœur de son corps électoral.


LGBT, féministes, musulmans, juifs, hindous, chinois et immigrants de toute sorte sont devenus la base électorale du Parti libéral du Canada. C’est le vote des « minorités » qui a fait élire le Parti libéral du Canada.


Conséquemment, les libéraux saupoudrent leur électorat de millions de dollars en dédommagement de toute sorte.


Après le chèque de dix millions de dollars remis à Omar Khader – célèbre adolescent taliban ayant tué un soldat américain – nous avons récemment appris que des islamistes canadiens recevaient des dizaines de millions de dollars en compensation pour avoir été « abandonnés » en Syrie.


Hier, c’était au tour de l’imaginaire « communauté LGBT » de recevoir les larmes de crocodiles de Trudeau, et bien sûr, des millions de dollars des contribuables canadiens.


D’ailleurs, le fait de voir Trudeau brailler à tout bout de champ devant les caméras du monde entier pour des niaiseries devrait constituer un argument de poids en faveur de la souveraineté du Québec.


Comment les Québécois peuvent-ils accepter de se faire représenter par ce bouffon sur la scène l’internationale ?


Trudeau fils, symbole suprême de l’effondrement occidental


Remarquons également qu’il est fort probable que la majorité des homosexuels du Québec ne s’identifient pas au délire ultralibéral que représente le communautarisme sexuel échevelé de Justin Trudeau. Les élites auto-proclamées du lobby LGBT qui grappillent l’argent de l’État fédéral à coup de pleurniche victimaire ne représentent qu’eux-mêmes.


Si Justin voulait réellement faire quelque chose pour les homosexuels et les femmes dont il semble tant se préoccuper, qu’il cesse cette immigration massive toxique, ce multiculturalisme délirant et sa soumission aux lobbies islamistes qui représentent les réels dangers pour ces « minorités opprimées ».


Évidemment, il n’en fera rien. Il continuera plutôt à faire du Canada – et donc du Québec – l’avant-garde post-national de l’effondrement occidental.



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6 commentaires

  • Pierre-Yves Dubreuil Répondre

    30 novembre 2017

    (suite)



    Donc, l'État canadien encourage la masse qu'elle est supposé représenter, à revendiquer des status «d'opprimés» au nom de leur différence individuelle. Toute regroupement politique ou action politique ne peut donc porter directement préjudice au droit d'une seule personne d'être ce qu,elle veut être...à une exception près! Si votre motivation politique est accompagnée d'une motivation religieuse, faisant référence à une dieu , et bien elle reçoit la bénédiction du fédéral!



    Le résultat ce cette stratégie Étatique est de scinder la masse humaine en deux groupes complètement opposés irréconcialiablement au plan politique, et ce artificiellement et de façon délibérée: une partie de la population plus religieuse, communautaire, intolérante, ordonnée avec «leaders», contre une autre athéiste, sans figure ou symbole dominant, tolérante, chaotique, laique,etc. dont fait parti entre autre la communauté «lgbtq2». Or, nous savons très bien que dans la vrai vie, on peut très bien croire en un dieu dieu et être lesbienne par exemple...



    Donc on peut dire que la politique dominante du Canada , le trudeauisme, ne peut mener qu'à un affrontement par des partis avec une vision diamétralement opposée.



    la confrontation extrême gauche contre extrême droite à laquelle on assiste présentement est donc une produit de la division de 2 clans du même groupe des «laiques»! À cause de la domination de l'autre groupe plus religieux.... le vrai «combat» n'est donc pas là! Ce n'est pas la vraie division artificielle que le Canada tente d'implanter et qui finira par dominer, par apparaitre au vrai jour, soit le combat «laiques» contre «non-laiques»!



    Ceci est donc la vision du Canada qu'on essai de vendre aux sujets de la Reine comme étant parfaite! et les québécois étant parmis ceux qui achètent cette le plus souvent, car elle nous est «destinée» en premier lieu ....et on en paiera les frais un jour!



    L'effondrement dont parle Philippe Plamondon ici, si elle arrive, n'arrivera vraisemblablement seulement qu'au terme d'un affrontement planifié à cause de la nature de la constitution canadienne.



  • Pierre-Yves Dubreuil Répondre

    30 novembre 2017

    Il est important aussi de mentionner, je crois, que le marxisme culturel s'imbrique dans une stratégie plus large «d'atomisation»  de la masse humaine, conjointement avec l'individualisme commercial (par le capitalisme) et la destrcution créatrice (rapport de force).


    À force de vouloir défendre ou représenter tout et chancun, on fnit par représenter absolument personne...Que du néant!


    Le Canada et sa plus récente constitution représentés maginfiquement par Justin ne vise alors que son auto-préservation préventive contre une éventuelle menace qui viendrait solidariser la population et donner un sens de puissance, de direction, de cohérence et d elégitimité au mot «démocratie», qui ne doit servir qu'à donner de la crédibilité à chaque personne et ce qu'elle représente de manière indiscriminatoire.


    La notion-même «vote» est donc insignifiant et illégitime, et c'est pour cette raison que le Canada ne pourrait reconnaitre aucun référendum,mis à part le cas où l'issu est unanime, car la démocratie est discriminatoire. On se demande donc alors pourquoi cette notion de démocratie est invoquée pour critiquer certains régimes...


    Il est donc normal que la liberté d'expression s'en trouve amochée au canada et la raison d'être de la démocratie (débat) minée et neutraliser par la peur d'enlever un pouvoir, une immunité, donner délibérément à chaque individu. Donner son opinion est un acte de guerre tout simplement!



    -pierre-yves dubreuil


  • Yves Corbeil Répondre

    30 novembre 2017

    Et plus sérieusement, ce qui fait vraiment défaut dans ce passage de l'humanité auquel nous faisons face.


    http://philosophiesciences.centerblog.net/rub-pragmatisme-.html



    Oui c'est long et ardu à lire mais si on veut vraiment comprendre de quoi il s'agit, on doit au moins essayer de lire un peu.


    Selon la psychologie expérimentale, il existerait deux voies différentes de traitement de l’information dans notre psyché : une voie rapide, basée sur des traits de notre psychologie résultant de nos origines ancestrales les plus lointaines; et une voie lente, basée sur ce que la philosophie a de tout temps appelé la raison.


    La voie rapide serait caractérisée par le fait d’être rapide, presque réflexe, adéquate mais spécialisée, formée pour résoudre des problèmes de sexe, d’agressivité et de survie alimentaire. Elle mènerait à différents biais cognitifs dont les plus sérieux seraient le biais d’appartenance (in-group bias) par lequel on favorise automatiquement les membres de son groupe d’appartenance et le biais de confirmation par lequel on se rend aveugle aux arguments qui vont contre notre opinion. Ses capacités d’altruisme, bien réelles, présenteraient le grave défaut de ne s’étendre pas bien loin autour de nous, étant données leurs origines évolutives dans des petits groupes.


    La voie lente serait caractérisée par le fait d’être lente et ardue parce qu’utilisant la mémoire de travail. Ces limitations bien réelles de la « raison » humaine ont été discutées de façon magistrale dans l’ouvrage « The blank slate : the modern denial of human nature » de Stephen Pinker[ii]. La voie lente, celle à laquelle nous référerons en parlant de raison, vise à l’universalisme, peut proposer et comparer des hypothèses, et peut s’améliorer parce que basée sur le langage articulé qui permet l’accumulation des découvertes. Ses capacités altruistes seraient basées sur le calcul mais, pour cette raison même, présenteraient l’avantage de pouvoir s’étendre à la société tout entière.



    Ça mérite réflexion tout cela pour ensuite se poser la question sur celui ou celle qui semble le/la plus apte à nous représenter au pouvoir.


  • Yves Corbeil Répondre

    30 novembre 2017

    En appuie à ce que j'avance ici ce matin.



    On s'entends tous que l'éducation des enfants passe par la maman, en tout cas c'est ce que l,on entends le plus souvent et surtout avec beaucoup d'effort de persuasion. Ensuite nos enfants vont en garderie majoritairement contrôler par des femmes pour finalement entrer à l'école des maitresses qui poursuivent l'éducation des nos enfants.



    Donc, après tous ces efforts déployés depuis que le monde existe, on peut se rendre compte qu'il n'y a rien à faire avec un gars, c'est une cause perdu au départ. Car les femmes depuis toujours ont essayé d'en faire du monde et le projet a échoué. Quelqu'un à une autre solution avant de mettre le contrôle des naissances pour un meilleur monde. Et ne vous inquiètez pas pour la fécondation. En instaurant le projet on commence déjà a alimenter la nouvelle banque de semences du Svalbard avec celle de Justin et tous les autres favoris de celles-ci.



    Enfin plus sérieusement, heureusement qu'on vit en démocratie, bien oui ça existe encore un peu quand même. Le résultat de chaques élections nous donne la tendance générale de ce qu'il se passe chez nous. Qui parlent au peuple et qui parlent entre eux. Le plus gros problème est celui du taux de participation qui nous laisse toujours perplexe pour la distribution de ceux-ci dans la pensée collective.


  • Yves Corbeil Répondre

    30 novembre 2017

    Je regarde aller le patrimoine mondiale et c'est un désatre totale si on suit la réthorique ambiante.



    Il n'y a qu'un remède à tout cela et heureusement avec les avancées en médecine, la société du future est à porter de votes. Commencons chez nous pour donner l'example aux autres.



    Le contrôle des naissances comme la Chine l'a mis en place dans les années 70 mais avec une varaiante additionnelle, juste les bébés filles sont permis d'arrivées à terme. En trois générations le nettoyage serait complété et le monde ne s'en porterait que mieux.



    De cette façon tous les problèmes sociaux actuels seraient des sujets de musés et je vois très bien le vieux Justin à 112 ans habillé en femme dire au nouveau monde en pleurant, comment se fait-il que nous y aillons pas pensé avant, merci les filles.



    Plus ça va, plus elle me décourage ma société.


  • Yves Corbeil Répondre

    29 novembre 2017

    Et pour finir aujourd'hui je vous laisse sur cette réflexion d'un lecteur du Devoir sur les étiquettes ''gauche'' et ''droite''




    On peut être à "droite" sur des questions économiques et à "gauche" sur la place de la religion et vice-versa. Et qui est le plus authentiquement à "gauche" parmi ces deux "féministes", la Marie-Josée élevée à Outremont qui défend le port du voile ou la Fatima élevée à Tunis qui le condamne?




    Pensez-y un peu.