[ En attendant, comme disait le regretté José Saramago, « La gauche n'a pas la moindre putain d'idée du monde dans lequel elle vit. » ]*
Saramago fut condamné à payer 1,2 million de $ au fisc espagnol
[ L'écrivain José Saramago(1), décédé le 18 juin 2010, a été condamné en avril de cette année par la Cour de contentieux administratif de l'Audience Nationale (Espagne) à payer 717.651 euros (1,2 million de $) au fisc espagnol, en réfutant que le Prix Nobel ne pouvait pas justifier sa résidence fiscale au Portugal.
La Cour de contentieux administratif de l'Audience Nationale (Espagne) s'est prononcée le 21 avril dernier, deux mois avant le décès de l'écrivain portugais récipiendaire du Prix Nobel, que Saramago aurait dû payer en Espagne 717.651,78 euros pour les exercices fiscaux de 1997, 1998, 1999 et 2000, au lieu de payer ses impôts au Portugal (sous-entendu comme étant une évasion fiscale).
L'Audience Nationale a rejeté un recours de Saramago contre une décision antérieure du Tribunal Économique Administratif Central, de 2008, prouvant que l'écrivain portugais avait sa résidence permanente en Espagne, dans la municipalité de Tías (Lanzarote, Iles Canaries, Espagne), et pourtant, il devait déclarer ses revenus au fisc espagnol et non au fisc portugais.
La sentence, publiée mardi dernier (20-07-2010) par le journal Canarias 7, a été portée en appel devant la Cour Suprême par l'avocat de Saramago, Andrés Sanchez, associé des bureaux d'avocats Cuatrecasas (Espagne) et Gonçalves Pereira (Portugal), qui croient que le Prix Nobel portugais « avait son centre d'intérêts vitaux et économiques au Portugal, où Saramago a déclaré, sans interruption, la totalité de ses revenus (ces bureaux d'avocats sont reconnus en Europe comme étant des plus efficients pour défendre les intérêts économiques des sociétés multinationales, celles que ces communistes de salon dénigrent tant).
Mais l'Inspection du Ministère du revenu en Espagne, selon que le rappelle la sentence de l'Audience Nationale, soutient que Saramago avait son domicile en Espagne, à Tías (Lanzarote, Iles Canaries), possédait une carte de résidence en Espagne, était recensé dans cette municipalité canarienne et recevait des apports financiers de sociétés espagnoles telles le journal El País, la Fondation Duque de Soria, l'Université Internationale Menéndez Pelayo (UIMP) ou celle d'Alcalá de Henares de Madrid (la Fondation « Duque de Soria » est une organisation de la haute aristocratie espagnole que ces pseudo-marxistes dénigrent dans leurs conférences, manifestations publiques, écrits, campagnes électorales, …) ].
Cette information est une autre preuve que les icônes « intellectuels » des communistes de par le monde est l'un des mensonges les plus institutionnalisés par les régimes marxistes et ceux qui se cachent derrière la façade d'un socialisme « civique ».
Jean-Louis Pérez
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*. Passage extrait de l'article « Cubains à Madrid : les dissidents se rebellent (Kaos en la Red) », présenté par le journal néo-marxiste « Le Grand Soir » et donné comme référence par Oscar Fortin dans son texte intitulé Une histoire de romans policiers
1. José Saramago fut membre du Parti communiste portugais dès 1969, grand fervent de l'URSS et grand ami des tyrans castristes.
Note. Cette information donnée par EFE (21 juillet 2010) et extraite du journal Canarias 7 a été traduite de l'original et toutes les mises entre parenthèses sont miennes.
Auteur : Jean-Louis Pérez
Autre communiste de salon
José Saramago, Prix Nobel de littérature
Le cynisme et le mensonge sont bien utilisés pour détourner le système communiste
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