Je me souviens

Tribune libre

Nous voyons tous que Gesca, campagne électorale oblige, ont rappelé pour l’occasion tous ses commentateurs ainsi que ses has been qui sont tous pro libéraux, ça ne compte pas pour les dépenses électorales, le PLQ a encore trouvé un moyen de tricher avec tout leur savoir-faire habituel.
Le PLQ est en mode panique, la vie semble inimaginable sans du financement occulte et un réseau institutionnalisé de corruption, on veut le pouvoir à tout prix, on veut surtout freiner la commission Charbonneau, qui selon moi est un enjeu majeur pour le PLQ, il en va de sa survie.
Pour ma part, je me souviens, on ne peut balayer de la main 9 ans au pouvoir avec le pire bilan politique du siècle, nous en subissons encore les conséquences.
En attendant revoyez ce petit aide mémoire : http://www.liberaux.net/
Fernand


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2 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    22 mars 2014

    Je me demande bien comment Régis Labeaume va réagir si Lise Thériault qui préconise les affrontements sur les chantiers de construction redevient ministre du travail advenant un gouvernement libéral; le premier chantier à en pâtir sera celui du nouveau colisée, si cher aux québécois qui veulent une équipe de hockey plutôt qu'un pays.

  • Archives de Vigile Répondre

    22 mars 2014

    Un conflit majeur et désastreux dans le domaine du secteur de la construction pourrait être évité grâce à un gouvernement péquiste majoritaire.
    En effet, lors de la dernière négociation qui a pris fin grâce à une loi spéciale, les partis d’opposition ont fait en sorte que tout le processus reprendra après l’élection, après un an seulement plutôt que quatre comme le souhaitait le parti québécois.
    Le Parti libéral du Québec (PLQ) et la Coalition avenir Québec (CAQ) ont fait front commun pour modifier le projet de loi du gouvernement qui voulait régler cette question jusqu’en 2017, avec des hausses de salaire totalisant plus de 8 %.
    Le Parti québécois avait manifesté une certaine intransigeance sur cet enjeu tout au long de la journée de dimanche, au nom de la « stabilité » et de la « paix sur les chantiers ».
    La première ministre Pauline Marois a d’ailleurs déploré l’inflexibilité de ses adversaires, en visant même le chef libéral Philippe Couillard. « Nous courons le risque d’être replongés dans un conflit ».
    http://www.ledevoir.com/politique/quebec/382002/fin-de-greve-au-gout-amer-pour-les-travailleurs-et-le-gouvernement