Aux USA, depuis le premier débat du mois de juin qui a lancé la primaire des démocrates à la reconquête de la Maison-Blanche, il ne se passe plus un jour sans que des accusations de racisme ne soient diffusées contre Donald Trump, avec un fort écho médiatique en France et ailleurs en Europe.
En vérité, les démocrates sont en manque d’arguments face au succès de Trump : les chiffres plaident en faveur du locataire de la Maison-Blanche.
L’économie américaine va mieux, croissance, emploi, hausse des salaires, fiscalité allégée bourse, confiance, bref, sur le plan intérieur, le bilan économique et financier du 45e président américain est inattaquable. Cela est d’autant plus vrai quand on se souvient que des « experts » avaient eu le culot d’envisager une banqueroute économique en cas d’élection du milliardaire…
À ceux lui reprochant de détricoter l’Obamacare, il répond : « Je leur trouve du travail avec des salaires à la hausse, ils peuvent se soigner sans avoir besoin de l’aide publique… » Et toc !
Sur sa politique étrangère, Trump fait respecter les USA et n’a pas peur d’afficher l’indéfectible soutien de son pays à Israël.
Chez les sympathisants républicains, Donald Trump est à plus de 80 % d’opinions favorables, il est conforté dans ses choix. Pas étonnant que toutes les actions de destitution initiées contre lui n’aient jamais pu aboutir.
Bref, pas facile de se lancer dans une campagne face à un président sortant qui a un bilan solide et apprécié. Alors, du coup, les démocrates optent pour la salissure. Avec l’aide des médias bien-pensants, ils veulent installer le débat sur la question raciale, prenant le risque de surfer sur la division dans un pays dont l’histoire est marquée par le racisme. Mais peu leur importe, ils feront croire que c’est Trump qui encourage les fractures.
Où est le racisme quand le président Trump exige d’élus de la nation de la solidarité avec les actions du gouvernement pour tout ce qui concerne l’intérêt des USA ?
Où est le racisme quand le président Trump, après s’être fait traiter de « fils de p… », répond sur le même ton à une élue ?
Où est le racisme quand le président Trump recommande à un élu qui parle d’insalubrité dans les camps de migrants de s’occuper d’abord des problèmes d’insalubrité dans sa ville ?
Chercher à fragiliser le président Trump en le faisant passer pour raciste à défaut de débattre projet contre projet, c’est la meilleure stratégie pour les démocrates, d’autant plus que, dans le même temps, fleurissent les attaques et insinuations comme celles de l’actrice Bette Midler, accusant les Afro-Américains présents à un meeting de Trump d’avoir été payés et, pire, l’élue d’origine somalienne, Ilhan Omar, accusant les Blancs de tous les maux aux USA… Mais ça, apparemment, c’est moins dérangeant pour la bien-pensance.