Silence sur l'indépendance: vidéo 4

Il faut être fidèle à sa patrie, pas au PQ!

Il ne reste que Martine Ouellet aux indépendantistes!

Chronique de Jean-Jacques Nantel

À part Martine Ouellet et ses supporters qui sont considérés comme des corps étrangers au PQ, l'establishment du parti est désormais de connivence avec les fédéralistes pour retarder le plus possible d'indépendance.
Quand les autres candidats à la chefferie du PQ nous disent qu'il leur faudra six ans pour convaincre les Québécois de voter ¨oui¨, ils admettent en fait que cela fait vingt ans qu'ils ne font pas leur travail!
C'est le sujet de la présente vidéo.
Bon visionnement,
Jean-Jacques Nantel, ing.

Voici le texte écrit de la vidéo:
Dans le temps des communistes, les Russes disaient à la blague qu’en URSS, un déviationniste, c’était quelqu’un qui continuait toujours en ligne droite alors que le parti communiste, lui, allait à gauche puis à droite.
C’est le problème qu’on a de nos jours avec le PQ. Alors que nous autres, les militants, on continue à travailler pour l’indépendance, les chefs du PQ, eux, n’arrêtent pas de changer de stratégie et de discours pour essayer de plaire au plus d’électeurs possible. Ces gens-là regardent les statistiques sur la démographie et l’immigration au Québec et ils se disent que le mieux qu’ils peuvent désormais obtenir dans leurs carrières, c’est de se faufiler une dernière fois jusqu’au pouvoir pendant peut-être un ou deux mandats supplémentaires. Et après ça? Et bien après ça, les Québécois se débrouilleront comme ils pourront!
C’est parce que les chefs du PQ pensent comme ça que le parti est devenu une masse amorphe de députés très bien payés qui ne foutent rien en attendant que la population décide de se débarrasser de la corruption des Libéraux. Or, selon le PQ, la meilleure façon d’attirer à lui le vote des fédéralistes, c’est de leur promettre qu’il ne fera pas l’indépendance et de le leur prouver en n’en parlant plus jamais. Est-ce qu’on doit fidélité à un parti qui nous trahit comme ça? Non, c’est à notre patrie qu’on doit fidélité.
Le PQ, c’est devenu une machine à perdre. C’est un parti de losers qui a gardé les vieux réflexes du temps où on était un peuple de va-nu-pieds. Or, le Québec a beaucoup changé depuis ce temps-là et ne se reconnait plus là-dedans; surtout pas les jeunes. Les jeunes d’aujourd’hui ne voteraient jamais pour René Lévesque par exemple.
Le PQ est un parti de losers pas parce qu’il ne peut plus gagner, mais parce qu’il croit qu’il ne peut plus gagner. Je parle bien sûr ici d’indépendance. À force de se faire rire au nez par leurs amis fédéralistes qui leur répètent constamment que l’indépendance serait nuisible, surtout pour se faire élire, les chefs du PQ ont fini par le croire. Comme leurs petits intérêts égoïstes sont en jeu, ils ont développé une espèce d’allergie contre tous ceux qui veulent vraiment faire l’indépendance.
Dans l’actuelle course à la chefferie du PQ, il y a deux cliques qui s’affrontent. D’un côté, il y a ceux qui veulent seulement se faire élire et qui se sont tous regroupés derrière Alexandre Cloutier et, de l’autre côté, il y a le dernier carré des indépendantistes qui se sont regroupés derrière Martine Ouellet.
Le PQ actuel a atteint le fond du baril puisque c’est tout l’establishment du parti qui cherche présentement à expulser le corps étranger que représentent pour eux Ouellet et sa gang de séparatistes. On l’a bien vu avec l’infolettre que le parti a publié le 19 septembre et dans laquelle Martine Ouellet n’apparait pas et où il n’est pas du tout question d’indépendance. Dans cette infolettre, le PQ dit même vouloir gouverner pour TOUS les Québécois; ce qui est une façon détournée de dire qu’une fois au pouvoir, lui aussi va se mettre à travailler pour les fédéralistes qui sont majoritaires et auxquels il veut plaire.
Dans l’avenir, on aura donc la situation suivante : pendant 100% du temps, le fédéral va nuire à nos intérêts, pendant au moins 50% du temps le PLQ va faire pareil au Québec et quand le PQ sera au pouvoir, il va dépenser seulement le tiers de son temps à faire progresser nos intérêts. Autrement dit, même avec le PQ au pouvoir, ce ne sera plus jamais notre tour.
Comme je l’ai dit à Martine Ouellet, le PQ a tellement dégénéré que, si jamais elle gagne la course à la chefferie, elle va frapper le même mur de béton que PKP. Elle va faire face à la même inertie pesante et à la même petite guérilla d’un parti qui est rentré dans le système et qui est prêt à tout pour se faire élire; y compris, bien sûr, tromper et à trahir ses militants. Je lui ai dit qu’une fois élue, elle va devoir s’entourer de gens solides si elle veut réussir à prendre le contrôle du parti. Winston Churchill, qui a fait de la politique toute sa vie, disait qu’il était beaucoup plus facile de gagner une élection que de prendre le pouvoir.
C’est quoi finalement le discours des adversaires de Ouellet sur l’indépendance? C’est quoi cette histoire qu’ils veulent prendre six ans pour convaincre les gens? Pourquoi six ans? Mais c’est clair comme de l’eau de roche, voyons; c’est parce que, dans deux ans, ils veulent se faire élire et parce que dans six ans, ils veulent se faire réélire; les deux fois en nous répétant qu’ils sont obligés de reporter l’indépendance à beaucoup plus tard parce qu’on n’a pas le pourcentage.
En passant, si ça prend seulement six ans pour convaincre la population de voter ¨oui¨, ça veut dire qu’on aurait dû devenir indépendant en 2001 quand le PQ était encore au pouvoir. Parce que 1995 plus 6 ans, ça fait 2001. Quand ils vous parlent de ces six ans-là, les chefs du PQ admettent tout simplement que ça fait 20 ans qu’ils ne font pas leur travail.
De toute façon, ça prend pas six ans pour convaincre la population; quelques mois suffisent. Parce que, au niveau des émotions, le travail est déjà fait. C’est ce que nous révèlent les sondages qui montrent régulièrement que de plus en plus de Québécois se disent Québécois d’abord. Dans les faits, ce qu’ont toujours voulu ceux qu’on appelle les nationalistes mous, c’est l’indépendance; ce dont ils ne veulent pas, c’est des coûts de l’indépendance. C’est pour ça que c’est si important de leur prouver que l’indépendance va être une affaire payante.
Quand on est des gagnants et qu’on veut gagner, on jette tout ce qu’on a dans la balance, tous les arguments possibles et imaginables et le plus rapidement possible de façon à ce que la population ait le temps de s’habituer à penser et à voter autrement. C’est à ça que devraient servir les deux années qui s’en viennent et que le PQ va passer dans l’opposition à ne rien faire.
Les arguments économiques nouveaux et très convaincants qu’on pourrait utiliser ne manquent pas. Prenons par exemple les droits de passage à travers le Québec dont je parle dans mes vidéos; eh bien j’ai vérifié et tous les chefs indépendantistes connaissent cet argument-là et ça, c’est sans aucune espèce d’exception. Or, ils refusent tous obstinément de l’utiliser. Pourquoi? Parce qu’ils trouvent ça trop radical et extrémiste!
OK, admettons que c’est radical! Alors je lance un appel à tous : ¨Est-ce que quelqu’un au Québec ou dans le monde entier peut me nommer un seul pays indépendant sur la planète qui accepte de se laisser traverser par du pétrole étranger sans imposer des droits de passage ou l’équivalent?¨ Et attention ici, je ne parle pas seulement du futur pipeline Énergie-Est; je parle du pétrole qui traverse déjà le Québec par trains; je parle du pétrole qui a explosé à Lac Mégantic en 2013. Quand je pose ce genre de questions-là aux chefs souverainistes, ils ne savent jamais quoi me répondre.
Écoutez, savez-vous ce que Donald Trump a dit à propos du pipeline albertain Keystone XL qui était censé traverser le territoire américain? Il a dit : ¨Moi, contrairement à Obama, je suis pour Keystone XL, mais je veux une part des profits!¨. Autrement dit, il veut des droits de passage! Ça peut pas être plus clair!
La simple vérité, c’est qu’au Québec, le radicalisme, c’est de demander qu’on agisse normalement; c’est de demander que le Québec fasse ce que font tous les autres pays normaux du monde.
C’est la même chose quand je parle des droits de passage qu’un Québec souverain devrait imposer sur sa voie maritime, exactement comme ça se fait au canal de Panama, au canal de Suez ou au canal de Kiel en Allemagne.
Quand je parle de ça, il y a des gens qui me disent que le Canada a des droits acquis sur notre voie maritime. Quoi? Mais ça n’existe pas des droits acquis comme ça! Pour vous donner un seul exemple de ça: jusqu’à la fin des années soixante-dix, les Américains étaient propriétaires de la zone du canal de Panama; un canal qu’ils avaient financé et construit eux-mêmes. Hé bien, malgré le fait que le petit Panama ne pouvait pas se défendre, le président Carter a quand même admis dans un traité que le canal appartenait aux Panaméens et il le leur a redonné; ce qui fait que, de nos jours, le canal représente une des principales sources de revenus du Panama.
C’est parce que les Québécois ne sont pas habitués à penser normalement que je dis toujours que, quand on discute du partage de la richesse au Québec, on doit toujours commencer en utilisant des arguments de nature morale. Par exemple, est-ce que c‘est vrai que les Anglo-Québécois paient 30% des impôts au Québec? Évidemment que non puisqu’ils représentent seulement 8% de la population! Comme, au Québec, 30% des budgets pour le financement des universités va aux universités anglaises, on a le droit et même le devoir moral de rétablir la justice en francisant deux universités anglaises sur trois. Qu’on me comprenne bien ici, le problème, ce n’est pas l’anglais, c’est le fait que c’est avec les taxes qu’ils nous volent depuis 256 ans que les Anglo-Québécois se paient de gros salaires d’administrateurs d’universités, de Cegeps ou d’hôpitaux.
Si le Québec respectait à la lettre les droits des Anglo-Québécois, il n’y aurait pas non plus d’immoralité ou de racisme à faire comme tous les autres peuples du monde en imposant notre propre langue dans notre propre patrie. Et il n’y aurait pas de racisme non plus à faire comme tous les autres peuples et à limiter notre immigration à un niveau qui correspond aux besoins de notre économie.
Au Québec, la peur de faire peur est tellement incrustée que même les chefs du Bloc Québécois et d’Option Nationale, qui n’ont absolument aucune chance de former un jour un gouvernement, refusent de se servir d’arguments aussi convaincants quand ils parlent d’indépendance. Tous les chefs souverainistes essaient d’être gentils-gentils, doux-doux-doux avec tous ceux qui cherchent à détruire notre patrie. Ils sont gentils-gentils avec le Canada anglais qui détourne notre richesse depuis 256 ans. Ils sont doux-doux-doux avec les Anglophones qui nous volent nos impôts. C’est pour ça que, quand on les écoute parler, on a l’impression que l’indépendance, c’est un simple caprice de bébés gâtés qui peut très bien attendre un autre dix ou vingt ans.
Le pire, c’est que nos chefs savent très bien ce qu’il faut faire pour faire augmenter les appuis à l’indépendance. La preuve, c’est qu’ils ont récemment lancé l’école de formation du PQ et qu’ils appuient officiellement le projet d’institut de PKP qui est censé prouver que l’indépendance sera payante.
En pratique cependant, tout ça fait partie de l’écran de fumée que les chefs du PQ ont mis en place et dont il compte se servir pour se débarrasser sur d’autres de la patate chaude qu’est devenue pour eux l’indépendance. Ils veulent qu’on se divise le travail : pendant que nous, les couillons de bénévoles, on va travailler gratuitement et dans l’obscurité, c’est-à-dire loin des media, pour faire progresser l’indépendance, eux vont cacher le projet et se promener partout avec leurs gros salaires, leurs pensions et leurs limousines de ministres.
Si les députés du PQ ne savent pas quoi dire à la population en faveur de l’indépendance quand ils vont à ¨Tout le monde en parle¨, hé bien qu’ils aillent se faire instruire à l’école de formation du PQ.
Quant à l’Institut de recherche de PKP, qu’il nous fournisse des rapports et des données que tout le monde pourra comprendre. Moi, je l’ai dit directement à Daniel Turp, qui dirige l’Institut, que personne ne lirait un rapport dont le titre serait ¨Analyse des paradigmes et des prolégomènes de la propédeutique historique du discours indépendantiste¨. Tout le monde s’en fout de ça. Par contre, tout le monde serait intéressé par un rapport qui aurait pour titre : ¨Selon les standards internationaux, combien rapportera à un Québec indépendant les droits de passage sur le pétrole qui traverse DÉJÀ le Québec par trains¨. Ça, ça passerait dans les media et ça, ça atteindrait la population. Parce que le but de l’institut de PKP, ça devrait être de nous donner des outils pour gagner!
Pour vous montrer comment ça marche désormais au PQ, ils voulaient se servir de moi pour donner des conférences géopolitiques dans les assemblées du parti. L’idée, c’était que j’allais booster le moral des militants en leur montrant qu’il y avait encore beaucoup d’arguments convaincants qu’on pourrait utiliser pour convaincre la population de voter ¨oui¨. En m’entendant, les responsables du parti se sont dits: ¨Wow! Ça, c’est un idiot utile qui va convaincre les militants de travailler gratuitement pour nous faire élire!¨. Mais quand je leur demandais pourquoi ils ne répétaient pas les mêmes arguments devant les micros de télévision, ils me regardaient tous d’une drôle de façon comme si j’étais une espèce d’extraterrestre.
Quand j’ai finalement compris que ça faisait partie de leur stratégie de tromper les militants avec des gens comme moi, je leur ai dit que je n’irais pas parler aux militants comme ils m’avaient demandé de le faire après l’élection du prochain chef du PQ!
Plus ça va et plus ça devient évident que les chefs du PQ sont de connivence avec les fédéralistes pour qu’on parle le moins possible d’indépendance devant les media ou devant le grand public. Il n’y a pas de complot là-dedans; il y a simplement communauté d’intérêts.
Avez-vous remarqué que, dans la présente course à la chefferie du PQ, les fédéralistes, qui n’ont pas droit de vote, alimentent continuellement les adversaires de Martine Ouellet avec des sondages qui arrivent toujours au bon moment pour orienter les débats dans le sens qui favorisent leur intérêt commun. Or, l’intérêt commun des fédéralistes et des chefs du PQ est désormais de retarder le plus possible l’indépendance.
Par exemple Jean-François Lisée se sert des sondages fabriqués par les fédéralistes pour décourager les indépendantistes en leur annonçant que l’appui à la souveraineté est tombé à seulement 32% et même à 15% puisque, selon les sondages fédéralistes, seulement 15% des Québécois veulent d’un référendum.
Et vous voulez me faire croire qu’après s’être fait élire chef du PQ en répétant ça aux seuls séparatistes, il va se mettre à pédaler à l’envers et essayer pendant six ans de faire remonter le pourcentage à 50% en parlant d’indépendance aux fédéralistes? Ben voyons donc! C’est bien évident qu’une fois élu, il ne va plus en parler du tout.
Vous noterez que, pour faire baisser à 15% le nombre des Québécois qui veulent d’un référendum, les chefs du PQ font comme les Libéraux et n’arrêtent pas de répéter le mot ¨référendum¨ pour que tout le monde soit écoeuré d’en entendre parler. Ils ne parlent jamais des profits à tirer de l’indépendance, ils répètent le mot ¨référendum¨. Ils tapent continuellement sur le même clou pour écoeurer tout le monde. C’est de la simple psychologie de masse.
Moi, je suis certain que si, pendant vingt ans, on vous répétait 200 fois par jour le mot ¨élections¨, la plupart des gens finiraient par dire: ¨Sont-tu fatigants avec leurs maudites élections. Mettez un dictateur, comme ça, ils vont arrêter de nous embêter avec ça!¨
Pour jouer aux patriotes, mais sans jamais parler d’indépendance, Cloutier et Lisée nous donnent la longue liste des choses que les Libéraux ont détruites et qu’ils vont devoir réparer avant de faire un référendum. Autrement dit, ils disent aux Libéraux et au gouvernement fédéral que la meilleure façon de retarder l’indépendance au maximum, c’est de détruire encore plus les institutions développées au cours de la révolution tranquille. Comme c’est beaucoup plus facile de détruire que de reconstruire et que le gouvernement fédéral va continuer à utiliser la moitié de nos impôts pour nous nuire, le PQ de Cloutier et de Lisée, une fois au pouvoir, va supposément essayer de reconstruire la moitié de la maison pendant que le fédéral va détruire l’autre moitié. Autrement dit, le PQ sera toujours en reconstruction et ne fera jamais l’indépendance.
Comme les politiciens font seulement semblant de s’opposer les uns aux autres alors qu’en fait, ils sont des grands tchums, ils connaissent tous parfaitement la stratégie de chacun. Ça, ça veut dire qu’avec des chefs comme Cloutier ou Lisée, la fameuse convergence des partis indépendantistes sera impossible à faire.
Parce que, tant que le PQ refusera de s’engager à faire l’indépendance pendant qu’il en est encore temps, Option nationale et Québec Solidaire n’auront aucune raison de se suicider en sa faveur.
Les gens me disent : ¨Mais arrête donc de dire la vérité comme ça sur le PQ, tu vas nous faire perdre notre prix de consolation. Tu vas nous empêcher de prendre le pouvoir pendant un autre dix-huit mois.¨ Mais si on ne change pas le système en faisant l’indépendance, c’est complètement inutile de prendre le pouvoir puisque les Libéraux vont revenir plus tard et en plus fort pour tout démolir.
Si l’establishment du PQ réussit à vous faire accepter l’idée que l’indépendance est désormais devenue impossible, ce qui est sa véritable intention, alors tous les Québécois, immigrants compris, doivent s’attendre à ce que le Canada anglais nous fasse payer très cher notre misérable petite révolte des cinquante dernières années. Vous allez voir, ça va être extrêmement désagréable!
Comme toujours, je vous remercie de diffuser largement cette vidéo autour de vous. Bon vote!


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3 commentaires

  • Jean-Jacques Nantel Répondre

    2 octobre 2016

    Martine Ouellet se donne six ans pour faire l'indépendance alors que les autres candidats à la chefferie se donnent six ans pour NE PAS la faire. Voilà la distinction!
    De toute façon, ça ne prend pas six ans pour faire comprendre aux 10% d'électeurs qui nous manquent que l'indépendance sera une affaire profitable et urgente. L'électeur moyen est beaucoup plus rapide que ça de comprenure...

  • Arthur Beauchesne Répondre

    28 septembre 2016

    Martine Ouellet elle-aussi se donne 6 ans pour réaliser l’indépendance du Québec
    C'est quoi votre problème. Des nouvelles lunettes ?
    http://mediasud.ca/index.php/nouvellemartine-ouellet-se-donne-6-ans-pour-realiser-l-independance-du-quebec-soit-au-plus-tard-en-2022.html

  • Archives de Vigile Répondre

    26 septembre 2016

    La chasse aux caribous de l'intérieur du PQ n'est pas nouvelle. Aussant, Beaudoin, Lapointe, Curzi, et plus récemment Drainville à qui on a clairement fait comprendre qu'il serait plus heureux ailleurs. Maintenant, c'est le tour à Ouellet.
    Le plus curieux, c'est qu'on nous dit que les déboires du PQ seraient de leur faute, plutôt qu'à ceux qui sont resté sur le navire, et qui étaient à la barre.