Discrimination négative contre les « de souche »

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Lutter contre le racisme décomplexé anti-Blanc


Une grande entreprise, que je ne nommerai pas, a décidé d’ouvrir un programme de stages pour renouveler son personnel. Sept postes seront ouverts.


Sauf qu’il y a un couac. 


De manière tout à fait explicite, ceux que l’on nomme traditionnellement les Québécois de souche et ceux qui se sont intégrés à eux au fil de l’histoire ne pourront pas postuler à quatre d’entre eux. 


Pourquoi ? Car ils seront réservés à des candidatures issues de ce qu’on appelle la « diversité ». 





Individu


Je cite le critère de l’offre de bourse : « Être membre d’une minorité visible ou d’une minorité ethnique ou être un Autochtone ».


Au moins, c’est clair : certains postes, la majorité, d’ailleurs, seront attribués selon le principe de la discrimination positive – on pourrait aussi parler tout simplement de préférence raciale pour les non-Blancs. On me pardonnera de parler aussi brutalement, mais de temps en temps, il faut nommer un chat un chat. 


Ne soyons pas trop surpris : cette pratique est désormais répandue dans le monde des ressources humaines, à tous les niveaux.








Écoutez Les idées mènent le monde, une série balado qui cherche a éclairer, à travers le travail des intellectuels, les grands enjeux de sociétés.





Mais aujourd’hui, elle est décomplexée. 


Elle s’impose au nom de la lutte contre le pseudo-racisme systémique. Et elle s’impose facilement, car rares sont ceux qui osent la remettre en question : qui s’y risque peut à tout moment se faire accuser de manquer de sensibilité pour les minorités ou même de suprémacisme blanc.


Ce qui est imbécile. 


Quotas


Car le véritable manque de respect consiste à enfermer un individu dans une case, et à le promouvoir non pas pour ses qualités personnelles, mais pour ses caractéristiques raciales ou sexuelles, comme s’il devait servir de chair à quota. 


On devrait se ficher de la couleur des gens, pas les y enfermer.


Mais ce propos est devenu carrément inaudible. 


L’idéologie multiculturaliste domine les départements de ressources humaines et de communication. Elle écrase tout. Et surtout le bon sens.











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