Dion-Boisclair : même combat!

Tribune libre



Certains journalistes prétendent que Dion et Boisclair font face à un même combat.
Ce court texte vient essayer de démontrer que même si ces deux individus, chefs de partis n'ont pas les mêmes objectifs, ni Boisclair, ni Dion ne devrait trop compter sur le vote des Québécois pour se faire élire. En effet, aucun de ces deux individus ne pourra se faire élire au Québec. Boisclair, à cause de tout ce qui l'entoure et de son manque de jugement. Quant à Dion, son arrogance devant ses frères ne lui laisse aucune chance de ce côté de la rivière des Outaouais.

Dion et Ottawa!
Les Canadiens-français québécois sont trop intelligents pour mettre leurs oeufs dans le panier troué de mauvais souvenirs de cet ami de Jean Chrétien et des malversations (scandales) de ce parti et du gouvernement duquel sont issus les scandales des commandites, sans oublier le vol du référendum de 1995 (se souvenir des 106,000 votes de gens inconnus du DGE et de la RAMQ) sous la surveillance de Stéphane, de ti-Jean,de Paul, de Denis, de Lucienne , et de Pierre sans oublier Mme Frula, et du rendez-vous amoureux du Canada transformé depuis en cauchemar pour le Québec et les Québécois depuis cette belle«sic» rencontre amoureuse de Montréal? Et on croit que les Québécois pourraient oublier ces affronts dans un «grand geste amical» en votant pour le parti de Stéphane. Ils (nous tous) ne sont pas assez ridicules pour élire cet ennemi, à moins qu'ils (nous) aient perdu la mémoire.
Boisclair et le Québec!
Quant à Boisclair, le meilleur service que nous pouvons rendre au Québec et à l'idéal de son peuple, c'est de le retourner compléter sa maîtrise, ou de l'envoyer travailler à Toronto, là où il devait se rendre oeuvrer auprès des gens de la grande finance lorsqu'il a vu, ou croyait avoir vu, la lumière l'invitant à prendre d'assaut le siège de chef du PQ avec la complicité de députés et de membres de son parti ne connaissant pas le mot stratégie, ni les risques inhérents aux défauts de l'individu. Est-ce que notre idéal court un plus grand risque en réélisant le parti de Jean «John» Charest pour un autre terme de gouvernance du Québec?
Est-ce que nous pouvons attendre encore «4» années afin de faire du Québec, un pays indépendant?
Lorsque nous avons subi l'occupation de notre pays depuis 1760, (ou 1763?) on peut encore subir le gouvernement Libéral de Jean Charest pendant encore «4»ans, si d'ici là nous avons conservé notre langue et notre culture. En attendant, on peut voter pour le Bloc à Ottawa afin d'enlever toute «crédibilité» aux fédéralistes au Québec, tout en fermant la porte au fils de Léon, qui doit être très peiné de voir surgir son fils au firmament d'un pays qu'il trouvait par trop centralisateur pour son peuple, pays qui, semble-t-il, n'était pas celui de son fils.
Jacques Bergeron

Ahuntsic, Montréal

5 décembre 2006



Laissez un commentaire



Aucun commentaire trouvé