La vidéo d’une autochtone se débattant dans son lit d’hôpital soulève une indignation justifiée. Cependant cet épisode soulève de nombreuses questions.

D’abord, comment une personne supposément mourante pouvait-elle filmer sa propre agonie? Comment pouvait-elle filmer et enregistrer la scène sans la complicité du personnel soignant? Et si le personnel est impliqué dans sa mort, pourquoi n’y a-t’il pas enquête de la police?

Cet épisode alimente le mythe du racisme systémique de la société québécoise. Pourtant, le racisme de quelques uns n’implique pas la société tout entière. C’est précisément le plaidoyer d’un immigrant québécois. Le racisme systémique c’est celui qui est inscrit dans les lois. C’est le cas de la Loi canadienne sur les Indiens qui maintient ces derniers en tutelle.

Le discours de la lutte raciale sert bien les classes dirigeantes qui veulent détruire la société pour imposer un Nouvel Ordre Mondial. Dans ce sens les mouvements raciaux comme Black Lives Matter et Idle No More financés par George Soros de l’Open Society et autres milliardaires ne servent pas vraiment les causes qu’elles feignent défendre.

Ces mouvements utilisent la technique des révolutions de couleur. Comme tels, ils poursuivent le même but que la fausse pandémie et ses mesures de confinement absurdes : la démolition de la société pour le profit des plus riches au détriment des classes laborieuses. Aux États-Unis, Donald Trump résiste à ce mouvement de lutte de tous contre tous, en nommant une juge issue de la majorité.

Au-delà de l’émotion causée par une scène révoltante, il faut s’interroger sur le message qu’elle véhicule. Est-ce que la vidéo est vraisemblable? Est-ce qu’elle suffit pour condamner le système de santé et la société tout entière? Comment ne pas voir la manipulation par des intérêts financiers? Et vaut-il mieux sanctionner des écarts de conduite ou bien sombrer dans le chaos?