Crise économique

Y a-t’il une sortie de crise?

Comment la finance a piégé le monde... et comment s’en libérer

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Tribune libre

Si vous n’avez pas apprécié votre confinement et le régime de surveillance qui l’accompagne, vous n’aimerez pas plus la nouvelle norme dont ils sont l’avant-goût. Comme l’affirme le dicton, «vous les jugerez par leurs actes».


Comment en est-on arrivé-là et quelles sont les issues possibles?


 


 


«Je suis tout mêlé»


Pour résumer la situation, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a déclaré une urgence mondiale le 30 janvier 2020 pour le motif discutable d’un virus qui a fait 150 victimes hors de la Chine. Elle s’est basée sur des statistiques et des tests frauduleux, et surtout une campagne de peur[i] plus contagieuse que la maladie.



«Jean-Dominique Michel, anthropologue suisse et expert en santé publique, est un de ceux qui pensent ainsi (14). « Nous avons alors adopté des mesures absolument contraires aux bonnes pratiques : renoncer à dépister les personnes possiblement malades et confiner la population dans son ensemble pour enrayer la diffusion du virus. Mesures à vrai dire moyenâgeuses et problématiques puisqu’elles ne ralentissent l’épidémie qu’au risque de phénomènes de rebond potentiellement encore pires. Et qu’elles enferment tout le monde alors qu’une faible minorité seulement est concernée ». Le Dr Didier Raoult, dans une vidéo mise en ligne le 17 mars 2020, en arrive au même constat. Il propose que le confinement ne soit pas nécessaire, voire délétère (15).


(…)


Selon le Dr Erickson, le confinement est même délétère pour le système immunitaire des personnes en santé. Notre système immunitaire se renforce justement au contact de virus et de bactéries et s'affaiblit dans un milieu aseptisé.»[ii]



D’autre part, les autorités mettent en doute l’immunité collective. Le Pr Raoult admet cela (30% de la population aurait des anticorps) mais rétorque que "Trouver un vaccin pour une maladie qui n’est pas immunisante est un défi idiot". Ensuite les autorités refusent le seul traitement (la chloroquine) qui a fait ses preuves et qui sauverait des vies. Et finalement, on nous prédit une seconde vague de l’épidémie ce que le Pr Raoult qualifie de science-fiction.


Malgré le danger, les autorités fédérales ont tardé a fermer la frontière aux immigrants illégaux et aux touristes de pays à risque. On n’a pas pris de mesures préventives. Il y a manque de personnel dans les CHSLD mais on empêche les aidants naturels et on met en quarantaine des personnes qui n’ont pas de symptômes. Ceux qui restent sont surchargés et épuisés. Les consignes de sécurité se contredisent sur plusieurs sujets : les masques, l’immunité collective et le confinement[iii]. Le Québec compte deux sommités internationales en matière d’épidémiologie, les docteurs Joanne Liu et Paul Héroux, que les autorités gagneraient à consulter.


Des chercheurs ont observé des cas graves où le système immunitaire réagit en attaquant des organes vitaux :



«Si la réponse immunitaire initiale n'est pas suffisante pour lutter contre l'invasion virale à un stade précoce, la réplication extensive et prolongée du virus finira par bloquer une grande partie de la voie anti-inflammatoire cholinergique compromettant sérieusement sa capacité à contrôler et réguler la réponse immunitaire.»[iv]



Parmi les menaces au système immunitaire, à part une mauvaise alimentation et un mauvais régime de vie, il y a le fléau bien documenté des antennes cellulaires[v]. Comment se fait-il qu’on trouve de telles antennes au-dessus ou à moins de 500 mètres (vérifier ici) d’hôpitaux et de résidences pour personnes âgées. Le 13 mai 2020, TVA rapportait une éclosion aux Jardins intérieurs de Saint-Lambert , au 1705 avenue Victoria où il y a 90 émetteurs au-dessus de la propriété?


C’est à se demander si les autorités se sont appliquées à tromper la population et à répandre la peur plutôt qu’à protéger la santé. Une explication évidente c’est que l’OMS est en conflit d’intérêts :


«Qu’il suffise de dire que, contrairement aux autres agences de l’ONU, l’OMS a été créée en 1948 par la Fondation Rockefeller (RF) – voir The Lancet. Il convient également de noter qu’environ la moitié du budget de l’OMS provient de sources d’intérêt privées, principalement de l’industrie pharmaceutique, mais aussi d’autres sources, comme les géants des télécommunications.»[vi]


L’arnaque en cours


Mais l’escroquerie dépasse le simple conflit d’intérêts. Le jeu qui se trame est une prise de contrôle de la planète par la mise en faillite du système financier.[vii] L’épidémie est un écran de fumée pour cacher l’arnaque. Les acteurs du scénario outre le lobby des vaccins, sont l’État profond américain[viii], l’American Enterprise Institute qui coordonne le dé-confinement[ix], et la finance internationale.


Voici comment ça fonctionne. La banque centrale du Canada (pour prendre un exemple) crée la monnaie à partir de rien lorsqu’elle accorde un prêt au gouvernement fédéral. Ce prêt est consenti lorsque la banque achète les titres de dette sous forme de bons du Trésor. La banque centrale revend ces titres de dette aux banques à charte qui les déposent dans leurs réserves. Les banques sont alors autorisées à prêter plusieurs fois leurs réserves. Autrefois les banques devaient détenir 10% de réserves sur les prêts consentis, mais même cette limite a été supprimée graduellement depuis 1992. À chaque fois qu’une banque accorde un prêt, elle crée de la monnaie à partir de rien et le gouvernement imprime les billets en conséquence. En contrepartie, les emprunteurs doivent donner des biens réels en garantie.


Ce qui devait arriver arriva. Les banques ont trop prêté et cela a mené à la crise des produits dérivés en 2008. Les gouvernements ont volé à leur secours mais cette fois ils sont trop endettés. Les banques sont à nouveau en difficulté à cause de la récession et de la pandémie. Alors le FMI propose d’effacer 1T$ de dettes des pays en développement.


L’idée semble bonne, mais cette mesure précipiterait la faillite du système bancaire. Les réels propriétaires de l’argent, les épargnants, les fonds de pension et les caisses de retraite seront dépouillés. Les emprunteurs locaux (États, entreprises, foyers) privés de crédit seront acculés à faillite. Les financiers internationaux comme BlackRock qui ont racheté les titres de dette des banques sous forme de produits dérivés s’empareront de la totalité des actifs de la planète. La société tombera sous la dictature du FMI et dans la misère générale. Ce sera l’étape finale d’un coup d’état.


Que peut-on faire?


La vie est un combat. Il n’y a pas de mérite à se laisser dépouiller ainsi de ses biens et de sa liberté. Tout comme il faut combattre le virus en reprenant une vie normale, il faut aussi exiger un salaire juste à la mesure de sa contribution à la société et le respect de la dignité de chaque personne.


Il est absurde de penser qu’un secteur financier purement parasitaire puisse créer la monnaie qui lui donne un pouvoir de s’emparer de l’économie réelle. La monnaie devrait être un moyen d’échanges et non une valeur à thésauriser en créant une rareté pour les acteurs productifs de l’économie. Valérie Bugault[x] et Ellen Brown proposent des solutions pour réformer ce système. Ces réformes sont une nécessité absolue.


Il est urgent de mettre fin au confinement général et à toutes ces mesures absurdes de protection. Les pays qui ont confiné leurs citoyens n’ont pas protégé leur population davantage que les autres (Suède, Taïwan, Pays-Bas). Les individus sains savent comment prévenir les infections et les autres comment s’isoler.


Il faut s’interroger sur les effets nocifs des technologies cellulaires ou sans-fil.


Il faut cesser de favoriser les multinationales au détriment de l’économie locale, leur technologie invasive et leur culture de pacotille.


Il faut cesser de croire béatement que «Ça va bien aller» sans se retrousser les manches et prendre solidairement sa destinée en main.


 


Conclusion


L’épidémie de coronavirus est à la fois une intox et une réalité. Il s’agit d’une manipulation pour cacher la confiscation de vos biens et de vos droits fondamentaux. Pour s’en sortir, il faut réaffirmer et défendre solidairement ces droits. Mais encore faut-il le vouloir. Est-ce que vous les citoyens avez cette volonté? Est-ce que les gouvernements sont à la hauteur du défi?


 


Références




iiLa pandémie 2020 – De la fraude statistique à la société de contrôle, par Vincent Mathieu, Réseau International, le 10 mai 2020.




iiiPanique et absurdité politique face à la pandémie,par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, le 7 avril 2020.






viLa farce et l’agenda diabolique d’un «verrouillage universel», par Peter Koenig, Mondialisation.ca, le 28 avril 2020.




viiL’ONU promeut un jubilé d’une valeur d’un trillion de dollars. Et qui va payer ?, par Liliane Held-Khawam, Réseau International, le 25 avril 2020.





ixCoronavirus, déconfinement et « souveraineté globalisée », par Karine Bechet-Golovko, Réseau International, le 11 avril 2020.





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