État d'urgence sanitaire

Dé-responsabilisation insoutenable pour le maintien d’une véritable démocratie

De l'Église toute-puissance à l'État omnipotent

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Tribune libre

On à le gouvernement qu’on mérite me disait un ami d'un certain âge et il ajoutait, tout ce qui est gratuit n’est jamais apprécié et n’a aucune valeur pour celui qui reçoit, car il n’y a pas eu d’effort pour le gagner. En plus, il est redevable à celui qui donne et il perd sa liberté d’agir et de parler en son propre nom.


Et il avait bien raison. Quand la société québécoise à décidé d’en finir avec l’église catholique, elle a jeté le bébé avec l’eau du bain. Et je m’explique. Dans le fond, la société voulait simplement se débarrasser d’un cortège de corrompus et d’exploiteurs en place depuis des centaines et des centaines d’années, que dis-je, des millénaires. Briser le carcan, briser la domination, c’était le but : la libération. Mais par la même occasion elle a aussi évacué un grand nombre d'aspects positifs et d'enseignenents supérieurs autrefois dispensés par certains ordres religieux.


Fini les enseignements des religieux trop sévères au goût des étudiants qui jugeaient les règles de grammaires en langue française trop difficiles, et c’est sans parler du latin ! Toutes les règles de bienséance, de politesse et de civisme se sont envolées avec la révolution tranquille qu'on appelait "émancipation". Les institutions d’enseignement et les soeurs hospitalières ont été forcées de passer la main aux gouvernements avides de pouvoirs pour l’instauration d’un jour nouveau. Les soins hospitaliers jusqu’alors jouissaient d’un humanisme et d’une qualité jamais égalée par la suite.


On est certainement à même se s’en rendre compte aujourd’hui, malgré l’évolution de la science médicale qui somme toute n’est plus au bénéfice de la santé, mais plutôt au service d’Ordres médicales et pharmaceutiques avides de profits en maintenant l’humanité dans la maladie à coup de médication toutes plus porteuses de conséquences (effets secondaires) qu’avant le début de traitement pour enrayer les dites maladies. Des gens en santé, c’est pas très payant vous savez pour une clique techno-médicale.


Le gouvernement à mis la main non seulement sur l'éducation et la santé mais aussi sur la distribution de l’alcool, la drogue, les casinos pour le jeu et les lotteries, jusqu’alors immorales, mais surtout totalement illégales. Mais le gouvernement entendait bien profiter de ces repères maintenus par les mafias avant la descente aux enfers de l’église et faire des profits. Après tout, les gens étaient déjà habitués à être dominés et aguichés par des comportements de débauche que les mafias leur procuraient déjà en profusion.


S’est alors établi une espèce de tractation, un “deal” entre les mafiosos et les gouvernements (genre mafia qui dit - je garde les drogues dures et la prostitution mais je te laisse le pot, les “bootleggers” et les arnaques dans les municipalités et la corruption des juges), se séparant la débauche et les revenus qui en découlent pour organiser une espèce de société d’abondance de plaisirs vertigineux auxquels aspirait une population qui avait tellement été assujettie à la domination de l’église répressive qu’elle était prête à aller jusqu’au bout de ses fantasmes avec la bénédiction du gouvernement, bien entendu, surtout que ce dernier était aussi avide et prêt à étendre son emprise sur autant de malversations payantes que de contrôle de la société.


Et aujourd’hui nous en sommes là, avec une population majoritairement infantilisée et au crochet de son papa-gouvernement qu’elle ne peut plus réfléchir clairement pour voir la cage dorée dans laquelle elle est enfermée. Le système d’éducation totalement détérioré est incapable de montrer aux étudiants comment faire l’acquisition d’une pensée critique qui s’acquière par la réflexion et l’écriture, en couchant sur papier ses idées pour rendre les concepts que l’esprit est capable de développer. La jeunesse est bombardée chaque seconde par des concepts de consommation et d’idolâtrie tous plus déconnectés de la responsabilité individuelle les uns que les autres. Ceux qui réussissent à se sortir de ce cercle vicieux doivent faire montre d’une détermination inébranlable et d’un soutien sans relâche de la part de leurs familles. Pas facile du tout dans la société disloquée qui règne aujourd’hui. Je ne peux que lever mon chapeau à cette partie de la jeunesse qui s’éveille et qui comprend ce qui se passe autour d’elle et des incohérences immobilisantes qui la garde prisonnière.


Le jeu du gouvernement : “gardons les creux, stupides, on aura beau jeu de leur passer n’importe quoi” marche moins bien quand la population se réveille parce qu’il est alors forcé de serrer la vis. En voulant maintenir le contrôle il doit se dévoiler un peu plus et inventer des histoires abracadabrantes tellement stupides que plusieurs savent reconnaître, mais qu’une large partie de son audience, totalement gazée, ne peut voir la manoeuvre dont elle est la victime.


Par exemple nos vieux, qui en ont vu d’autres en d’autres temps, ils ont tous vécus ces subterfuges et ces comédies politiques, ils peuvent les repérer à des kilomètres à la ronde. Ils ont tenté d’élever la voix contre l’emprisonnement à domicile dont ils sont victimes et à la perte de leur liberté. Et comme par magie, ils sont les premiers à soit : se faire suicider (faute professionnelle médicale), mourir d’un virus invisible (personne n’est responsable), se faire enfermer légalement (par décret), de la suppression de soins (incompétence crasse et recherche de bénéfice avide) ou toute autre méthode que le gouvernement s’est donné (bureaucratie débile) au moyen de lois et de décrets tellement farfelus qu’on n’y comprend plus rien.


Il est temps que les gens ré-apprennent que 1 + 1 = 2 et que 2 + 2 = 4. J’ai peine à croire qu’après toutes ces semaines passées dans le confinements de vos demeures les petites étincelles de vos cerveaux n’ont pas fait de petites connections encore. Allez, courage, fermez la télé, faites des recherches sur ce que vous entendez dire, lisez des textes autres que ceux qui vous sont proposés par le gouvernement ou les journalistes. Soyez indépendants, réfléchissez par vous-même. Ouvrez vos esprits à d’autres concepts que ceux qui vous sont matraqués à longueur de journée, osez regarder autre chose que l’ordre établi, cela ne va pas vous mordre. Arrêtez d’avoir peur de tout même de votre ombre. La vie comporte des risques depuis votre naissance. Les bactéries et les virus ont toujours co-existé avec les humains et après des milliers d’années nous sommes encore ici, et eux aussi, toujours en évolution, comme nous. Alors pourquoi cette incapacité de comprendre la terreur qu’on applique sur vous volontairement et avec un tel mépris. Ce n’est plus drôle. Est-ce que vous désirez réellement la société aseptisée que le gouvernement prépare pour vos enfants ? Vraiment ? Après que vous l’aurez accepté, il y a très peu de chance que les choses pourront faire marche arrière. Et vous le savez bien au fond de vous-même.


Mais soyez prévenus, si et je dis bien si, vous apprenez des vérités jusque là ignorées qui vous montrent un côté des choses soudainement inacceptables, vous ne pourrez plus remettre le dentifrice dans le tube. Jamais ! Et là mes amis, soit vous allez devoir vous tenir debout et insister pour la vérité et corriger les problèmes et, surtout, le respect de vos droits et libertés et ceux de vos enfants ou alors fermer la porte à jamais et rester enfermé dans votre bulle purifiée pour toujours. Je vous souhaite à tous une bonne réflexion.



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