Campagne d’affichage – CONTRE L’IMMIGRATION INVASION

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Un campagne contre le remplacement de population

Le mardi 6 novembre, nos militants ont installé des pancartes électorales dans quelques secteurs d’intérêt de la ville de Québec.  Sur les pancartes, on pouvait lire : « CONTRE L’IMMIGRATION INVASION ? VOTEZ RÉMI TREMBLAY ».


D’abord, Rémi Tremblay ne se présente évidemment pas pour des élections ! Le but de notre action est plutôt de sensibiliser la population au fait que les taux actuels d’immigration sont tels qu’il serait à peine exagéré de parler d’une invasion. Nous créons un contexte électoral fictif parce que les élections sont de loin la période où la population est la plus attentive aux débats et aux enjeux de société.


Par cette campagne, nous avons deux intentions. D’une part, vous inviter à considérer les impacts de l’immigration massive et à en faire le cœur de votre appartenance politique, en votant toujours pour le parti qui proposera les plus grandes réductions des seuils d’immigration. D’autre part, vous inviter à agir sans relâche en dehors des périodes électorales pour faire en sorte que ces réductions soient toujours plus exigées par la population. L’objectif étant, évidemment, de mettre une pression constante sur les politiciens.


Vous aurez également remarqué que le Harfang, symbole aviaire du Québec, agrippe un rat au passage représentant les maux qui rongent la société moderne. Un de ces maux est justement le dogme de l’immigration. Dans les faits, il symbolise tous les désagréments qu’apporte l’immigration de masse : les conflits de valeurs, le recul du français, la baisse des salaires, les coûts publics d’intégration faramineux, les demandes d’accommodements excessifs et allants contre la vie commune, la ghettoïsation et criminalisation des quartiers, et évidemment le recul du poids démographique des Québécois de souche.


En fait, les études démographiques sérieuses démontrent que notre groupe ethnique, l’ethnie canadienne-française, est en diminution, année après année, de 78% de la population en 1970, nous étions 64% en 2014, puis nous tomberons sous la barre des 50% en 2035 (Bergeron 2017, Henripin 1987). Dans le Canada, globalement, les immigrants de 1ère et deuxièmes générations formeront 50% de la population en 2036 (Morency 2017). Le même phénomène se produit en Europe, mais à un rythme un peu moins rapide qu’au Canada (Coleman 2008).


*Une perte nette de 20 milliards par ans pour le Canada selon l’institut Fraiser (Grubel 2013).


Pour changer les choses, il faut s’attaquer à la racine du mal. Les immigrants en général ne sont pas à blâmer pour nos taux d’immigration ridiculement élevés ; ils ont été invités à venir au Canada par nos dirigeants. Vous comprendrez que les responsables du remplacement de notre groupe ethnique sont ceux qui contrôlent l’information et qui prennent les décisions.


Nous invitons donc tous nationalistes à se mobiliser contre l’immigration de masse, en paroles et en actions et de coordonner stratégiquement leurs efforts.


Pour la reconquête de notre peuple

Fédération des Québécois de Souche