Stratégie de crise : rapatriement ou indépendance

La proposition de M. Paquette ne comporte rien de déshonorant



Il serait évidemment préférable, sur le plan doctrinal, de proposer directement l’indépendance, ce qui se fait depuis cinquante ans avec le succès que l’on sait. Ce qui compte d’abord, cependant, c’est d’y parvenir, pas de recevoir une médaille de pureté en guise de prix de consolation. La [proposition de M. Paquette->12094] ne comporte rien de déshonorant et, contrairement à ce qu’on semble prétendre, elle ne const...

Réplique à Claude Morin

Une majorité nationale pour imposer notre propre légitimité

Pour sortir de l’emprise de la Constitution canadienne, il faut être prêt à la remplacer unilatéralement si nécessaire


Créons une convergence nationale sur une proposition « rapatriement ou indépendance ». Mais si le Canada la refuse, convenez que nous devrons procéder ensemble au rapatriement, pour faire respecter la volonté de la population » Sur cette base, tous les sondages montrent qu’une très solide majorité est probable.

(Réponse aux néo-étapistes et aux exclusivistes du PI)

Pour un pacte électoral «rapatriement ou indépendance»

La souveraineté du Québec n’est pas seulement une question juridique et constitutionnelle, mais économique et sociale.


De notre côté, démontrons que l’indépendance est une bien meilleure solution. Bien au contraire d’une mise au rencart de la souveraineté, un pacte électoral « rapatriement ou indépendance» est un puissant levier pour la réaliser ! Elle comprend une « obligation de résultat » que devront accepter les nationalistes ou les souverainistes « mous » qui l’appuieraient.

Pour une élection sur les projets et les pouvoirs du Québec



Toute nouvelle proposition de solution de la question nationale lors de la prochaine élection doit être crédible parce que menant infailliblement à un résultat qui ne dépende que de la volonté majoritaire du peuple québécois. Il faut avoir le courage de mettre des enjeux nationaux qui nécessitent un rapatriement des pouvoirs d’Ottawa, au cœur de la prochaine élection et de toutes celles qui suivront.