Corruption libérale - le PLQ en perte de légitimité - cynisme politique croissant

La Grande Pause

Les livres d’Histoire vont sûrement nommer cette période « La Grande Pause », car ce gouvernement se fait champion des non-projets, des non-réalisations.


Aujourd’hui, 24 mars, on vient d’annoncer la fin des discussions autour de l’achat, par Hydro-Québec, de NB Power. Qui s’en étonne? Le propos, ici, n’est pas de défendre l’idée ou de la condamner. La question qui se pose est plutôt: «Mais qu’est-ce qu’a réalisé ce gouvernement depuis sa première élection?» Après la mort de Duplessis, le Québec a connu une période de changements rapides et rafraîchissants. C’était...

Feu l'entente historique

Résistons et espérons la libération le plus tôt possible


Danville, 24 mars 2010. Feu l’entente historique. À nouveau, notre Tartuffe national est démasqué. L’entente historique entre le Québec et le Nouveau-Brunswick, comme il la qualifiait lors de sa signature, est passée à la poubelle de l’histoire, plus vite qu’il ne le pensait. Même après des modifications su...

La mise en scène de la vacuité



Du malheur à la prétention hautaine, de l’injustice à l’arrogance, les événements se tiennent. Notre gouvernement n’est plus qu’une caricature. Le Canada ne s’en plaindra pas, cela conforte si bien l’image qu’il a toujours dépeint de ce qu’il voudrait que nous soyons : un repère de geignards, une horde d’assistés encadrés par la corruption et des élites folkloriques. Notre gouvernement n’est plus présentable et c’est consternant.

Rions beaucoup: Québec et les pétrolières



Pour se libérer de la dictature des transnationales pétrolières, faut créer Pétro-Québec, s’accaparer de la raffinerie que Shell vient de fermer à Montréal et importer nous-mêmes notre pétrole par une entente à long terme avec des pays producteurs, tel la Russie et le Venezuela. Le Nicaragua, un tout petit pays, vient justement de le faire.

Au-delà des chiffres avec Léo-Paul Lauzon

Lettre à bébé Soliane



Après les commissions paquetées sur la fiscalité et sur les services publics présidées par des lucides farouchement partisans de l’État très minimal, voilà que Charest a mandaté l’économiste Robert Gagné, des HEC, pour le «conseiller». Il appelle ça de la consultation. Je dirais plutôt de la dérision. Soliane, je te prédis que le professeur Gagné va encore te faire peur, comme ses prédécesseurs «experts», avec les mêmes balivernes, tels que le vieillissement de la population, la productivité, l’exode des «cerveaux», le déficit et la dette, dans le but que tu te résignes et que tu acceptes des mesures qui te défavoriseront au profit de la minorité possédante.

Why won't we sign PQ petition?

Most Quebecers want a probe but few bother to demand it in writing


So why is it that so few Quebecers, so far anyway, have signed the petition, and there has not been even the tiniest of protest marches?

Connaissez-vous Davos?



La première, c'est de bien faire comprendre à Jean Charest que nous tenons à cette commission d'enquête. Que ce n'est plus une demande que nous lui faisons, mais un ordre que nous lui donnons. Le peuple est souverain. Jean Charest n'est qu'un élu à notre service et non l'inverse.

Lettre du Mouvement anti-corruption

Le Mouvement anti-corruption (M.A.C.) est un mouvement de citoyens qui demande la tenue d’une commission d’enquête publique sur le secteur de la construction.


C’est pourquoi le M.A.C organise une grande marche dans les rues de Montréal afin d’exiger du premier ministre qu’il tienne une commission d’enquête publique sur le secteur de la construction. Le point de rencontre de cet événement est à la Place Jacques-Cartier (en face de l’hôtel de ville de Montréal), le 30 janvier à 13h00.

Le gouvernement Charest est durablement néolibéral



Pure opération de relations publiques, rencontre stérile débouchant sur l’annonce d’aucune décision, vacuité sans nom de discours pompeux, la pseudo-discussion de Lévis n’a fait que confirmer que le gouvernement Charest a une seule orie...

«Oui, il y a des raisons»... de relire le Manifeste du FLQ



Ces trois aspects du Manifeste d'octobre 1970, disparus des discours et des projets sans projet de société des grands partis politiques -- Parti québécois compris --, conservent une actualité très forte que n'assument pas tout à fait les organisateurs du Moulin à paroles, plutôt guidés par un souci de commémoration et d'affirmation nationales. C'est que, contrairement au FLQ de la fin des années 1960, le nationalisme et le souverainisme actuels font malheureusement l'impasse sur ce qui devrait figurer devant nous, et pas seulement dans le passé: cette logique d'émancipation et de réappropriation collective de tous les pouvoirs sur notre monde.