BQ - course à la direction

À Paillé de relancer le Bloc

L'ancien député est élu chef avec 61 % des voix


Les militants du Bloc québécois ont tranché et choisi le candidat de l'expérience: c'est Daniel Paillé qui aura la mission de guider la reconstruction du parti décimé le 2 mai. L'ancien député d'H...

The Bloc is still alive ... for now



Graeme Hamilton MONTREAL -The Bloc Quebecois' new leader, Daniel Paille, is an economist, not a poet, so when he was looking to weave something lyrical into Sund...

L'éternel dilemme bloquiste



On reste avec l'impression que les leçons de la dernière campagne n'ont pas été retenues. Daniel Paillé était vu comme le candidat de la continuité. Il l'a en quelque sorte confirmé.

Exit la défense des intérêts du Québec



Dorénavant, a-t-il dit, le Bloc cherchera plutôt à faire la démonstration que le Canada de Stephen Harper ne correspond pas aux valeurs du Québec.

Chefferie du Bloc Québécois

Blocage intellectuel, mauvaise foi ou simple déni?


Lors de débats tenus par le Bloc Québécois dans le cadre de la course à la chefferie, Maria Mourani s’est fait accuser par ses deux adversaires de tenter de donner une autre chance au Canada en proposant de renouveler le fédéralisme ou, à tout le moins, de « faire fonctionner le Canada ». Faut le faire! La position de Maria Mourani s’inspire plutôt de la fameuse proposition Parizeau-Laplante qui, à l’époque de la saiso...

Course à la chefferie du Bloc québécois

Un premier débat prometteur



Isabelle Porter Québec — Le premier débat des aspirants à la succession de Gilles Duceppe a...

Le Bloc québécois pour tous

J'annonce aujourd'hui ma candidature à la chefferie du Bloc québécois.


En regard de l’objectif de faire du Québec un pays, la responsabilité du Bloc est, tant et aussi longtemps que nous payons des impôts à Ottawa, de faire en sorte qu’il y ait le plus de députés souverainistes possible au Parlement canadien. Quant aux partis souverainistes oeuvrant sur la scène québécoise, leur responsabilité est de prendre le pouvoir à Québec et de nous conduire à l’indépendance politique. Il appartient à ces partis de réussir à faire l’unité des souverainistes, soit par leur force d’attraction individuelle, soit en faisant preuve d’ouverture pour la formation de coalitions ponctuelles.