Bock-Côté - Fin de cycle /Aux origines du malaise politique québécois

Commentaire de lecture

Mathieu Bock-Côté "Fin de cycle" bien court



Commentaire suite à ma lecture de Fin de cycle (Boréal, 2012) de Mathieu Bock-Côté Mathieu Bock-Côté (MBC) prétend pouvoir expliquer les origines du malaise politique québécois, en ne remontant dans l’histoire qu’à la fin du duplessisme, il ne peut que manquer de perspective. J...

Réflexions de fin de soirée

l’histoire n’est pas qu’un passé muséifié : c’est aussi une source d’inspiration pour les combats politiques les plus actuels


Chaque jour, je lis. Pour le travail. En philosophie, en sociologie, en science politique, en histoire. Mais chaque soir, je relis. Du moins, j’essaie. Je relis des classiques, ou du moins, des textes qui m’ont marqué et qui ne sont pas liés à l’actualité. Et à l’occasion, l’envie me prend de vous partager ces lectures. Comme maintenant. Je relisais donc ce soir Georges Bernanos et Pierre Lazareff. Le premier étai...

Bock-Côté et la solitude du Gaulliste québécois



L’auteur de Fin de cycle n’est donc pas un libertarien. Il cherche une définition du mot conservateur qui lui soit propre. Au fond, c’est un Gaulliste. Un Gaulliste québécois. Respect pour l’histoire, pour la Nation, pour le rôle de l’État, scepticisme face aux idéologues du changement. Un Gaulliste un peu seul. Heureusement pour lui, le nationalisme québécois n’est peut-être pas en fin de cycle. Une coalition gagnante est toujours possible. Lui, le Gaulliste québécois, pourra y trouver sa place.

Bock-Côté et l'échec du souverainisme



Le sociologue et chargé de cours à l'UQAM Mathieu Bock-Côté a beaucoup occupé l'espace médiatique dans la dernière semaine, afin de faire la promotion de son livre intitulé "Fin de cycle". Son plus gros coup de publicité a certainement été son passage à l'émission "Tout le monde en parle" il y a quelques semaines. Le journaliste du Devoir Antoine Robitaille a aussi rencontré M. Bock-Côté dans le cadre d’une entrevue pu...

Les incohérences du discours de Mathieu Bock-Côté

Ce n’est pas la social-démocratie qui a coulé le PQ, c’est son abandon!


Mathieu Bock-Côté a tort d’opposer les valeurs progressistes au projet national québécois. Elles sont la chair sur le squelette de notre projet de libération.

Mathieu Bock-Côté : sociologue ou idéologue ?

Remarquons enfin que, plus on se déplace vers la droite, et en particulier vers la droite extrême, plus l’indépendantisme se raréfie !


En tant que citoyen, je suis en accord avec certaines positions politiques de Monsieur Mathieu Bock-Côté (opposition à l’idéologie multiculturaliste), et en désaccord avec d’autres (ses options politiques conservatrices). En tant que sociologue, je suis en mesure de partager avec lui certains constats scientifiquement établis. Cependant, la confusion qu’il parait entretenir entre son rôle de sociologue/scientifique,...

L'obsession conservatrice de Bock-Côté



La souveraineté n'est pas advenue, mais les fédéralistes d'ici, qui souhaitaient un arrangement satisfaisant pour le Québec dans la fédération, n'ont pas gagné non plus. D'où le malaise. Bock-Côté, contrairement à d'autres, n'en tire pas la conclusion que cette question est dépassée et qu'il faudrait maintenant passer à autre chose.

L'Occident et nous



On ne tombe pas amoureux d'un taux de croissance, disaient les soixante-huitards. De fait, les enjeux économiques, pourtant omniprésents dans l'actualité, sont incapables d'émouvoir. Et ce, même lorsqu'on les enduit d'un vernis doctrinaire ou moral, gauche contre droite, solidarité contre individualisme. Mais qu'un professeur purge une chanson du mot «Dieu» et le diable est aux vaches! Des bouts de tissu ou de co...

Point chaud

L'échec du souverainisme

La déclaration de Justin Trudeau est une preuve de la dilution de l'option indépendantiste, estime Mathieu Bock-Côté


Selon Mathieu Bock-Côté, la souveraineté est «une excellente réponse à une question qui se pose de moins en moins».