Contre la dictature… Pour l’abstention !
21 février 2012
Merci pour vos explications qui m'inspirent à aller à l'essentiel.
Monsieur Roland, Didier et d'autres,
Je peux comprendre votre écoeurement de ces abus à répétion par le "Kapital" et l'asservissement des peuples qui en découle, mais comme l'écrivait Olivier Lockert, « il n'y a qu'une façon d'échouer et c'est d'abandonner avant d'avoir réussi ». Et ce combat pour un partage plus équitable de nos ressources en vaut la peine. Nos enfants nous le demandent.
Aussi, j'imagine que nous sommes ici pour devenir le meilleur de ce que nous sommes. Et il est dit que nos efforts constants et notre humilité à prendre une distance avec nous-mêmes peut nous aider à révéler le meilleur qui nous habite. Bien que les éceuils soient certes nombreux et la voie étroite, nous nous devons de persévérer.
Le système fera tout pour que vous abdiquiez. Lui donneront nous raison?
Si nos enfants tentent eux aussi de développer et révéler le meilleur en eux mais que dans leur entourage quelqu'un est toujours là pour les empêcher, que doit-on alors faire ? Abandonner ? Je ne crois pas. Nous avons un devoir de les protéger pour qu'un jour, ils puissent protéger les plus faibles autour d'eux.
Nous devons couper la voie aux opresseurs et si nous en sommes incapables seuls, nous devons s'associer à d'autres pour créer la force du nombre. C'est ainsi que Gandhi et bien d'autres sont parvenus à gagner quelques batailles. C'est une voie plus lente certes, mais qui fonctionne.
C'est par nous que ca commence.
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Vous avez raison pour la question des médias, le vers est dans la pomme. Une fois ce constat fait, nous devons révolutionner notre facon de faire. La technologie de l'information (TIC) nous en donnes les moyens. Option Nationale peut et DOIT mettre harnacher la force des TICs si ils veut faire une différence. Si il ne le fait pas, je suis alors d'accord avec vous, aussi bien mettre nos énergies ailleurs.
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« En vérité, si un homme abandonnait un royaume et le monde entier et qu'il se garde lui-même, il n'aurait rien abandonné. » Maître Eckart