Les vrais coûts de l’absence du Bloc
23 septembre 2008
Les politiciens et les partis politiques font leur travail de présenter des programmes et de défendre leurs thèses.
À cela, il faut ajouter la part des médias et des travailleurs spécialisés dans ces médias qui ne présentent pas uniquement les dossiers objectivement mais qui défendent un ordre des choses qui leur est favorable.
Ils défendent, sans se faire élire, leurs dossiers propres inhérents à la volonté de ceux qui les paient. Quelle contrepartie subissent-ils ?
La critique contre les hommes et les femmes politiques et leurs programmes c'est une façon de défendre notre point de vue.
Il faut ajouter l'élément le plus pernicieux qui soit : la presse écrite et parlée et électronique qui nous dicte ce que l'on doit comprendre et comment on doit le comprendre; qui nous dicte les éléments dynamiques des uns et les éléments les moins favorables à l'option qu'ils défendent. Ils sont des travailleurs d'élection dont on ne comptabilise pas leurs papiers.
Ces bonnes gens ont un parti pris et ils ne sont pas attaquées au même titre que les chefs des partis politiques et encore moins de leurs représentants. Leur tour d'ivoire est-elle inattaquable ?
On a du travail à faire.
Robert Bertrand