Quand la crise d'octobre prendra-t-elle fin ?
9 octobre 2012
Trois positions sont mises de l'avant par M. René-Marcel Sauvé.
1. Payer des compensations aux victimes qui ont été arrêtées et emprisonnées pour rien. C’est la justice la plus élémentaire.
2. Reconnaître que la Loi des mesures de guerre était incompétente et inappropriée de la part du gouvernement fédéral, du gouvernement provincial et du gouvernement municipal.
3. Exiger impérieusement que les politiciens de tous les partis aient une connaissance approfondie de ce qu’est véritablement une insurrection, une rébellion, une révolution, un crime contre l’humanité et un coup d’État . Il faut également qu’ils aient la capacité de discerner entre la légitimité et la légalité d’un soulèvement contre le pouvoir ou l’ordre établi. Vaste programme !
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L'amateurisme démontré des élus qui voulaient que ne faire peur à la population pour dévaloriser l'option du Pays du Québec.
Ils ont été contrés par la publication officielle de documents et votre volonté de faire connaître à l'avance une nouvelle intervention militaire suite à l'élection du Parti Québécois.
Mission à hauts risques et réalisée avec aplomb.
Après coup, on réalise l'ampleur de la tâche et la responsabilité d'un individu face à «son devoir citoyen» quoi qu'il arrive.
Combien de personnes responsables vous auraient remercié après ces événements?
C'est beaucoup plus la satisfaction du devoir accompli qui doit vous réconforter.
Être là au bon moment. La situation vécue avec la connaissance et les bons documents marquent définitivement l'Histoire de notre Pays du Québec.
Comme il est dit dans «Le Québec, carrefour des empires» Les Éditions du Québécois, Québec 2007 J-René-Marcel Sauvé: «La nécessité n'a pas de loi» p 21
Être présent dans son monde, le vivre, l'assumer, le protéger, le marquer.
Respectueusement,
Robert Bertrand