Pauline, ô Pauline, ne vois-tu rien venir?
28 avril 2008
BERNARD, Ô BERNARD, QUE CROIS-TU DONC VOIR VENIR?
"La crise linguistique de St-Léonard dans les années ’70 risque de paraître bien inoffensive à côté de ce qui se dessine à l’horizon."
Mais où sont donc les indices de révolte chez ce peuple?
Gesca a réussi à anesthésier ce peuple depuis longtemps. Il ne réagit plus à rien sauf à l'illusion de l'honnêteté dans le sport: combien de millions rapporte aux Gillett de ce monde une partie de plus au Centre Bell? On s'en fout: Go Habs Go! Agitons le petit fanion en croyant que le goaler fait tout ce qu'il peut pour les arrêter TOUTES! Pendant ce temps le niveau de vie des Montréalais de l'est avoisine celui de Haïti sans que la moindre solidarité ne s'exprime dans les vestiges de la Nouvelle-France.
Et le rouleau compresseur de la haine continue de se dérouler d'ouest en est. Les Anglais nous ont laissé parler français après la conquête ils l'ont regretté en voyant la revanche des berceaux. On ne les y prendra pas deux foix, ils vont nous noyer en empêchant par la Cour Suprême du Canada toute francisation de cette NOUVELLE MAIN D'OEUVRE qui va nous manquer si cruellement si on en augmente pas l'entrée annuelle à 60,000. Charest? Le bon peuple continue de lui baiser le...pied!.