Je tenais un blog sur la condition masculine et sur la montée de l'islam politique depuis deux ans au Huffington Post quand il a été supprimé du jour au lendemain au motif que ses dirigeants avaient décidé de se « retirer du débat masculiniste-féministe». Ils ne m'ont jamais offert de m'exprimer sur d'autres sujets. J'étais devenu indésirable.

Erreur sur la personne. C'est la citation d'Auguste Comte que je trouve biaisée, et non celle de Camille Froidevaux-Metterie, au contraire très juste...

@ Jean Brilland
Mis à part les citations de Camille Froidevaux-Metterie et de Benoîte Groulx, à mon sens très biaisées et à partir desquelles on pourrait initier un débat qui dépasserait le format de cette section de commentaires, je suis pleinement d'accord avec vous.

Très bon texte. Je trouve cependant que le discours féministe dominant fait la carpette devant l'islam politique. Quant à la difficulté de discuter du féminisme sans être pris d'assaut par des idéologues intolérants des deux sexes, le commentaire qui précède vient confirmer votre point de vue.

M Cloutier, j'ai donné suite à votre suggestion d'envoyer mon article à Mme Maltais. J'ai reçu un accusé de réception, preuve que l'envoi s'est rendu. Comme j'ai déjà effectué pareils envois à cette députée par le passé sans en obtenir de réponse, je m'attends au même résultat avec cette dernière initiative. Au moins, la tentative aura été faite. Salutations.

Je constate, M Parent, que le second degré de mon texte vous a échappé. Une fois vos yeux bien frottés, vous pourrez replacer mon propos dans sa juste perspective. Il me semble que mes récents topos sur le sieur Charkaoui, que je vous invite à lire, ne laissent aucune place à l’ambiguïté quant à l'opinion que j'ai de ce personnage.

Loin de moi l'idée, M Richard, d'encenser le gouvernement fédéral, qui a permis que la citoyenneté canadienne soit décernée à Adil Charkaoui. Comme une horloge arrêtée donne l'heure juste deux fois par jour, il faut tout de même reconnaître la pertinence de ses actions qui visent toujours à l'incriminer, par le biais de ses procureurs. Une affaire à suivre, donc.

Bravo pour votre texte, M Gagnon, en lui souhaitant la diffusion la plus large possible.

Le problème avec l'islamophobie, c'est qu'elle est soigneusement entretenue par ceux-là même qui s'en prétendent les victimes. Ces sont des agresseurs-victimes.

Je ne m'étonne pas que votre commentaire ait été refusé par Le Devoir. J'ai bien dû envoyer une soixantaine de lettres d'opinion à ce journal pendant plusieurs années sans qu'aucun, jamais, ne trouve grâce aux yeux de leurs responsables du courrier du lecteur. Depuis, je suis passé à autre chose.

J'ai pris la peine de préciser dans le texte même que vous venez de lire la position de la FFQ influencée, par Québec solidaire interposé,par Presence musulmane et par le Conseil islamique canadien, sur l'interdiction des signes religieux dans la fonction publique.

À noter, Mme Lison, que vos deux premiers liens nous amènent à des médias sociaux, preuve que ces derniers doivent compenser les insuffisances manifestes des médias main stream.