Charte des valeurs québécoises

« Féminisme » islamique : quand le masque tombe, le hijab reste...

Tribune libre

Trouveriez-vous normal de voir des Juifs se montrer favorables au nazisme en arborant fièrement la croix gammée ? Ou de voir des Afro-américains se promener travestis de draps blancs en appui au Ku-Klux-Klan ? Ne ressentiriez-vous pas un vague malaise, pour ne pas dire un profond sentiment d'incompréhension devant semblables incohérences, devant pareil mépris de soi ?

C'est exactement ce que j'éprouve devant le spectacle ahurissant de femmes déambulant dans l'espace public affublées du voile islamique. Même en région, nommément à Trois-Rivières, on en voit de plus en plus. Bien sûr, je sympathise avec celles qui se voient contraintes par un conjoint rétrograde à porter pareil oripeau, mais je reste perplexe devant les autres, celles qui prétendent le revêtir par choix et qui vont même jusqu'à en revendiquer âprement le port.
Vous avez dit féminisme... islamique ?

Le concept même de féminisme islamique, chez les musulmanes les plus militantes qui prétendent vouloir affirmer au grand jour leur identité religieuse, y compris dans la fonction publique, me semble une contradiction dans les termes, au même titre que l'expression « discrimination positive », aimablement remplacée par notre gouvernement par « action positive ». Cette nouveauté a - également - le mérite relatif de dissimuler une pratique incongrue sous une dénomination qui pourrait frauduleusement la faire passer pour de l'engagement social.
C'est à ces prétendues féministes islamiques que l'on doit d'avoir vu la Fédération des femmes du Québec infiltrée par Présence Musulmane - favorable à Tarik Ramadan et à son moratoire (sic !) sur la lapidation - et par le Conseil islamique canadien - militant des tribunaux islamiques en Ontario - en vue de faire fléchir ce regroupement féministe, jadis emblématique, en faveur de la laïcité dite ouverte et de l'opposition à l'interdiction des signes religieux dans la fonction publique. Le tout, bien sûr, par l'intermédiaire de Québec solidaire, tenant désormais sous sa férule la FFQ, au cas où il faudrait le rappeler.
C'est également devant la commission Bouchard-Taylor, au moment où la présidente de la FFQ de l'époque, Michèle Asselin, déclarait que le hijab ne contrevenait pas vraiment à l'égalité homme femme, qu'une délégation de « féministes » islamiques avait attiré l'attention d'un participant, Denis Gaumont, retraité de l'UQÀM.
Il relate ainsi leur intervention : « Structurées et bien documentées, ces jeunes femmes ont ébloui les commissaires. Elles ont défendu avec aplomb le port du voile, le respect de l'époux, la charia appliquée à la famille, la bonté d'Allah, leur auto-exclusion si nécessaire. Un travail bien fait. Classique. Au point que messieurs les commissaires ont remercié mielleusement ces émissaires, de toute évidence en service commandé et bien escortées. Pour en rajouter une couche, les commissaires les ont explicitement félicitées pour la qualité de leur «féminisme» à la sauce musulmane! »
À souligner, au crayon rouge, que ces prétendues féministes, en se déclarant favorables à « la charia appliquée à la famille », trahissent on ne peut plus clairement leur adhésion aux tribunaux islamiques. Que les deux commissaires se soient prosternés avec leur obséquiosité ordinaire devant semblables représentantes de l'islam politique ne surprendra personne, mais n'est-il pas inquiétant de constater qu'ils ne sont pas les seuls ?
Des idiots utiles à Djemila

C'est au nom des nobles principes que sont « le refus du racisme, des stigmatisations, de toutes les formes de domination et d'inégalité quelles qu'elles soient » qu'une centaine d'intellectuels se sont sentis obligés de s'opposer à la charte de valeurs québécoises du ministre Drainville, en brandissant la Déclaration universelle des droits de l'homme votée en 1948 par l'Assemblée générale des Nations unies, qui reconnaît la liberté « de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu'en privé ».
Voilà une - autre - définition qui gagnerait à être revue et corrigée à la lumière de l'échec du multiculturalisme en France, en Grande-Bretagne, en Allemagne, ou en Espagne, pour ne nommer que ces pays occidentaux, déroute ayant pour dénominateur commun la montée de l'islam politique, une évidence qui ne semble pas émouvoir outre mesure ces intellectuels épris d'un Disneyworld multiculturel utopiste.
« Cette démarche (la charte NDA) nourrit le fantasme d'une définition non conflictuelle de la collectivité québécoise », écrivaient-ils. Et moi qui croyait que c'était justement le multiculturalisme qui nourrissait cette illusion...

Concernant cet autre mirage, le féminisme islamique, Djemila Benhabib publiait récemment dans Facebook le statut suivant : « Quelques mots au sujet du féminisme islamique - Celles qui portent le voile islamique et se revendiquent du féminisme véhiculent une énorme aberration. Puisque ces dernières ne remettent nullement en cause les dogmes religieux en matière d'héritage, de mariage, de divorce, de garde des enfants, d'autorité parentale, de liberté et d'orientation sexuelles, de témoignage devant un tribunal, ou d'accessibilité à certaines fonctions ou professions. Ce concept sert tout simplement de paravent à l'islam politique pour mettre en difficulté, voire discréditer, l'universalité des droits des femmes. Cette entreprise vise uniquement à liquider les acquis des femmes et isoler les luttes des femmes musulmanes des luttes des femmes dans le monde. Durant les quatre-vingts dernières années, les femmes ne se sont pas émancipées en s'appuyant sur les dogmes religieux, mais en prenant leur distance avec le religieux. Sans surprise, les droits des femmes ont pris leur envol une fois la distinction entre les pouvoirs temporels et spirituel a été établie. En ce sens, la laïcité est une condition nécessaire à l'égalité entre les femmes et les hommes. »
Les hijab Barbies

Parlant de Djemila Benhabib, je m'en voudrais de passer sous silence sa participation, claire, documentée et articulée, à l'émission Tout le monde en parle le 29 octobre dernier, mais si je mentionne l'événement, c'est surtout à cause de son interlocutrice de la soirée, Dalila Awada.
Cette jeune femme, a été simplement présentée par Guy A Lepage comme une étudiante en sociologie à l'UQÀM, née au Québec de parents originaires du Liban. C'est par l'entremise des médias sociaux, encore une fois plus vifs que les médias traditionnels ou que les recherchistes de l'animateur, que l'on devait apprendre que cette musulmane était en fait une militante de Québec solidaire, membre du comité femmes immigrantes de la FFQ, et qu'elle entretenait, par cousine interposée, en l'occurence Leila Bdeir, des liens avec Présence musulmane, organisation mentionnée plus haut dans ce texte, favorable aux tribunaux islamiques et entièrement dévouée à Tarik Ramadan, petit-fils de Hassan el-Banna, fondateur des frères musulmans, organisation islamiste la plus rétrograde qu'il puisse se concevoir.
Dalila Awada reste à ce jour l'incarnation la plus représentative de l'ambassadrice islamique, douce, jolie, séduisante, mais mandatée afin de nous faire gober une double discours analogue à celui de Ramadan. Tout en admettant que le hijab peut être utilisé à des fins répressives dans les pays islamistes, elle affirme qu'un telle orientation n'est pas près de survenir au Québec, si civilisé. Et on accusera ensuite les régions de vivre repliées sur elles-mêmes !
À notre époque de mondialisation économique, politique et médiatique, on voit mal comment le Québec, dans un contexte planétaire où l'islam politique gagne sans cesse du terrain devant l'indolence occidentale, resterait le dernier petit village à résister encore à l'envahisseur. Sans doute détenons-nous une potion magique qui saura nous en préserver ? Au fait, ai-je bien dit « envahisseur »...


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14 commentaires

  • Olivier Kaestlé Répondre

    13 octobre 2013

    Un coup d'oeil aux vraies musulmanes vivant en pays islamiste suffit pour se rendre compte à quel point l'esthétique de la tenue n'est pas la vertu dominante, ou beaucoup s'en faut ! Elles n'ont même pas le droit de s'épiler les sourcils et leur tenue vestimentaire semble avoir été découpée dans le tissus d'un vieux sofa grisâtre. Rien pour faire faire fortune à nos couturiers.
    Non, chez Mme Awada, comme chez ses autres consoeurs Hijab Barbies, tout est pensé en vue de projeter un look émancipé et trompeur sur la condition des femmes musulmanes. Ce n'est pas avec du vinaigre qu'on attire les mouches...

  • Archives de Vigile Répondre

    13 octobre 2013

    Cette jolie jeune femme voilée Dalida Awada qu’on nous a présentée à Tout le monde en parle comme une étudiante et une citoyenne est également fort impliquée politiquement. Précision qui toutefois n’a pas été mentionné dans l’émission : Dalida Awada siège au comité de coordination nouvellement élu de Québec solidaire dans Bourassa-Sauvé (http://presse-gertrude.com/politique/20130327-298-asso-quebec-solidaire). Un vidéo accessible sur YouTube présente ses implications à divers niveaux qui démontre ses intérêts à défendre l’islam politique(https://skydrive.live.com/?cid=6be2d27053f0069b&id=6BE2D27053F0069B%21263&sff=1&authkey=!ACnOJRYXUP53PC8)
    Pour le voile lisez la Surat 24, on parle de couvrir la beauté féminine (poitrine et bijoux) et aucune mention du voile sur la tête. Le voile intégral fait référence à l’écran derrière lequel devait s'adresser les inviter dans la maison de Mahomet lorsqu’ils s’adressaient à ses femmes. Une pratique maintenant politisée. Il est ironique de voir ces femmes en tunique ajustée révélant très bien leurs courbes, les bijoux brillants sur leurs voiles, le maquillage intense de leurs yeux, les lèvres accentuées par un rouge vif et les voiles stylisés qui attirent les regards donnant ainsi l'effet inverse de la modestie et la pureté qu’elles prônent et revendiquent avec le port du voile. Un double standard qu’elles utilisent habilement pour donner l’impression que leur adhésion à des principes religieux rigides est libre et les émancipes. Voilà, le leurre que tentent de nous jeter aux yeux ces musulmanes en Occident.

  • Olivier Kaestlé Répondre

    9 octobre 2013

    @ Jean L'espérance Rien à ajouter à votre propos, très pertinent.

  • Olivier Kaestlé Répondre

    9 octobre 2013

    @ Marius Morin « Comme fan et militante de Tarik Ramadan, elle n’a pas à se préoccuper d’un emploi pour subvenir à ses besoins, car les Frères musulmans ont d’immenses fonds pour soutenir, endoctriner, et même armer les adeptes de leur secte. » Il est vrai que, contrairement à ce que certains idéologues psalmodient, les islamistes n'agissent pas en fonction de la discrimination à l'emploi vécue par les leurs en Occident, réalité dont ils se fichent. Au contraire, cette problématique devient un prétexte parmi d'autres afin de convertir la plus « d'infidèles » possible à leur pensée.

  • Olivier Kaestlé Répondre

    9 octobre 2013

    @ Andréa Richard Excellente démonstration de ce qu'est une agresseure victime, et ces musulmanes obsédées par leur hijab en sont à coup sûr.

  • Olivier Kaestlé Répondre

    9 octobre 2013

    J'espère, Itissal, que le qualité de votre français ne résulte pas de l'excellence de nos cours de francisation. De ce que j'ai cru réussir à comprendre de votre propos, je retiens le sophisme suivant : « Et bien, celui qui limite l’accessibilité au travail et veux expulser des femmes portant le foulard de leurs travail, c’est bien le PQ . » Ça au moins, ça a le mérite d'être une phrase complète et intelligible.
    Elle n'en demeure pas moins biaisée. Personne ne limite l'accès à l'emploi de qui que ce soit. Le PQ met ou veux instaurer des balises quant aux signes religieux. S'il existe des musulmanes suffisamment irresponsables, pour renoncer à leur travail, à leur sécurité financière et au bien-être de leur famille pour un insipide bout de tissu, tant pis pour elles. Ces femmes devront apprendre qu'au Québec, on est responsable de ses choix, et que l'on doit en assumer les conséquences.

  • Archives de Vigile Répondre

    9 octobre 2013

    jamila ben habib dit que:garde des enfants, d’autorité parentale, de liberté et d’orientation sexuelles, de témoignage devant un tribunal, ou d’accessibilité à certaines fonctions ou professions.
    Elle viens de faire un voyage en Afghanistan, j'imagine que
    son corps est au Québec , mais sa tête est restée laba.
    Et bien, celui qui limite l'accessibilité au travail et veux expulser des femmes portant le foulard de leurs travail, c'est bien le PQ , pour le tribunal, c'est les tribunaux du Québec qu'on a ici, pour l'orientation sexuelle: a t'elle une tête cette Madame, y a t'il une femme qui a manifesté au village gai contre leurs orientations, garde des enfants: c'est la loi du Québec qui est appliquée, sinon il y a la dpj, tribunaux.
    ca c'est la machines de préjugés péquiste

  • Andréa Richard Répondre

    8 octobre 2013

    MONSIEUR kAESTLÉ,
    PERTINENT VOTRE TEXTE!
    CES FEMMES QUI SE DISENT -INTÉGRÉES- le sont tellement qu'elles veulent se distinguer des autres femmes, en portant un voile, symbole des intentions voilées! et pourtant des Québécois pensent qu'elles sont victimes! victimes de qui ou de quoi? si ce n'est d'elles-mêmes! je parle pour celles qui sont vraiment libres de porter ou de ne pas porter ce voile, drapeau de l’Islam.
    Andréa Richard

  • Jean Lespérance Répondre

    7 octobre 2013

    Qu'est-ce que le foulard? Le foulard est le drapeau des musulmans. C'est même plus qu'un drapeau, c'est un étendard. C'est un signe de fierté, de victoire, de conquête. C'est un signe de victoire sur la civilisation occidentale, notre civilisation est plus grande, plus forte parce que contrairement à la civilisation occidentale, nous soumettons la femme. Il n'est pas question que la femme n'obéisse pas à l'homme dans notre civilisation, voilà ce que dit le foulard. Et nous le montrons au monde entier.
    Les autres drapeaux ne sont que des drapeaux blancs, le foulard est le drapeau commun de tous les musulmans.
    C'est un signe nationaliste, politique bien avant d'être religieux. La femme n'est qu'un porte-étendard chez les musulmans. Je ne dis pas porte-drapeau mais bien porte-étendard. Le drapeau est un signe de fierté, l'étendard est un signe de combat.
    J'explique sans dire pourquoi je le vois. Mais ma vision est claire et nette. Dès que des musulmans prennent le pouvoir, la première chose qu'ils pensent à faire, c'est d'imposer le foulard, montrer qu'ils ont le pouvoir en mains tout comme certains hissent un drapeau.
    Il est aussi bien évident que le Canada préfère le drapeau musulman au drapeau québécois. Bonne réflexion.

  • Marius Morin Répondre

    6 octobre 2013

    Merci pour ce texte clair. Dalila Awada, la Barbie voilée, est à ce jour l’incarnation de l’intégrisme islamique, quand elle est prête à refuser un emploi dans la fonction publique, bien rémunéré, apportant sa contribution et son talent à la société québécoise, au lieu de laisser tomber son voile pour le temps du travail. Comme fan et militante de Tarik Ramadan, elle n’a pas à se préoccuper d’un emploi pour subvenir à ses besoins, car les Frères musulmans ont d’immenses fonds pour soutenir, endoctriner, et même armer les adeptes de leur secte.

  • Olivier Kaestlé Répondre

    6 octobre 2013

    @ Yvan Mon dernier commentaire s'adressait à M Archambault. Je suis heureux de constater, en vous lisant, qu'il existe encore des citoyens à l'esprit investigateur qui ne se laissent pas endormir par les hymnes à la différence et à l'ouverture inconditionnelle sur l'autre.
    Je reste moi aussi ébahi devant l'indifférence des femmes voilées en regard de l'oppression vécue par leurs consoeurs en pays islamistes. Il me semble que la plus élémentaire décence leur commanderait de renoncer à leur hijab, ce symbole de servitude et de violence, en signe de solidarité et d'humanisme.

  • Olivier Kaestlé Répondre

    6 octobre 2013

    Cette minorité, tout aussi intégriste que les islamistes, bien que peu agressive en comparaison, se démarque... par sa discrétion, si on la compare aux musulmans fondamentalistes, sans lesquels on peut se demander si le projet de charte du PQ aurait seulement vu le jour.

  • Archives de Vigile Répondre

    5 octobre 2013

    Monsieur KAESTLÉ
    Excellentte analyse
    Avez vous remarquez les positions de ces femmes qui disent toujours qu’elles ne se sentent pas concernés sur le sort des femmes voilés qui refusent de le porter ,qu’elles ne se sentent jamais interpellés par les millions de femmes qui sont forcer de le porter dans les pays musulmans comme en Iran ,au Pakistan et en Arabie et même au Québec
    On leur demande de répondre je vit au Québec et je le porte par choix
    Charia,lapidation,décapitation,mort des juifs,des apostats des homosexuels , allouette et comme le disait un iman venu prêcher a St Jean Richelieu au nom de la religion de paix et d'amour de Dalila Awada,ce sont les lois du prophète et nous ne pouvons rien y changer.
    Ces individus exigent aussi que les femmes se conforment au code vestimentaire de l’islam et qu’elle porte le voile
    Des prêches vitrioliques qui ne soulèvent même pas la plus petite réprobation de leur fidèles sur les méthodes brutales de la charia pour imposer l’islam
    J’aurais aimer que Lepage de TLMP qui est près de QS lui demande ce qu’elle pense des enseignements de sa religion plutot que de s’extasier devant son hijab Barbies.
    Dans le cas de Radio Canada qui as cacher ces informations concernant Dalila Awada ce sont leur reportages qui montrent leur facon de faire pour imposer a des non mususlmanes leur idéologie politico religieuse a travers les codes vestimentaires de l’islam
    Ces femmes voilés ne sont pas des convertis
    http://www.youtube.com/watch?v=d5aN...
    Cette Dalila Awada n’est qu’une actrice manipulatrice bon marché a la solde des islamistes qui s’en servent comme d’une catin pour vendre le port du voile islamiste aux femmes et ainsi faire passer en douce leur idéologie des ténèbres
    A les entendrent,le jour ou les québécoises vont s’emparer du voile islamiste pour le porter que les québécoises et le Québec tout entier vas entrer dans la modernité et la tolérance
    La réalité est tout autre
    Le voile est imposé a des non mususlmanes par des contrats de travail dans des écoles islamistes de Montréal qui pourraient se situer au Pakistan
    Des écoles privés qui en plus sont financer par des fonds publiques
    Cela nous donne un aperçu des lendemains que ces islamistes préparent en douce et comment les femmes qui ne sont pas des mususlmanes seront forcés d’adopter les signes vestimentaires religieux imposés par les islamistes
    Le bienvenue chez nous au Québec se transformeras en bienvenue chez vous au Québékistan au grand plaisir de Jean Dorion et de Québec Solidaire
    Pas de voile =pas de contrat =pas de travail
    F.David vas être contente
    En connaissez vous d’autre idéologie politico religieuse au Québec ou dans le monde a part les intégristes islamistes qui imposent par contrat aux autres leur codes vestimentaires qui les identifient a leur religion l’islam
    Comme disait David le voile islamiste dans la fonction publique vas permettre aux femmes mususlmanes de mieux s’intéger a la société d’acceuil
    Un beau moyen de protestation comme en Iran avait rajouter son faire valloir Khadir

  • Jean Archambault Répondre

    5 octobre 2013

    Très bon texte sur les efforts des intégristes islamistes pour influencer notre mode de pensée et nos normes juridiques. Je crois qu'il faut s'attaquer à toutes les formes d'extrémisme. L'extrémisme des intégristes juifs hassidiques agit autrement. Il se sert de nos institutions en place pour créer son propre réseau parallèle dont les valeurs sont opposées à celles qui régissent notre société. Ce réseau confessionnel ultra-orthodoxe se construit en partie avec les impôts de tous les contribuables.