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Nestor Turcotte

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    Nestor Turcotte92 articles

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Pauline, la maîtresse d’école

  • Nestor Turcotte
  • 16 mai 2007
  • Tribune libre - 2007
  • 11 commentaires

Attendez que je me rappelle...

  • Nestor Turcotte
  • 14 mai 2007
  • Tribune libre - 2007
  • 14 commentaires

Les coups de pied aux fesses...

  • Nestor Turcotte
  • 11 mai 2007
  • Tribune libre - 2007

Pour une "Révolution bleue"

Oserons-nous le faire et pousser plus loin pour chanter notre liberté?

  • Nestor Turcotte
  • 6 mai 2007
  • Vers la République québécoise
  • 2 commentaires

Le CIM de Denis Monière

Non, merci !

  • Nestor Turcotte
  • 2 mai 2007
  • PQ - stratégie revue et corrigée

Le référendum truqué

  • Nestor Turcotte
  • 18 avril 2007
  • Le Soleil
  • Vers la République québécoise

Et si le Parti Québécois n’était pas indépendantiste

Il y a eu la révolution orange. Il y a eu la révolution de velours. Pourquoi pas la révolution bleue ?

  • Nestor Turcotte
  • 3 avril 2007
  • PQ - stratégie revue et corrigée
  • 17 commentaires

Un chef B+

  • Nestor Turcotte
  • 16 décembre 2006
  • Boisclair - chef du PQ
  • 4 commentaires

Partez, monsieur Boisclair !

  • Nestor Turcotte
  • 10 décembre 2006
  • Boisclair - chef du PQ
  • 5 commentaires

Le coup de poignard de Lucien Bouchard

  • Nestor Turcotte
  • 21 octobre 2006
  • 1043 visites

Le Bloc, aux crochets d'Ottawa

  • Nestor Turcotte
  • 26 août 2006
  • La Presse
  • Le BQ prépare sa rentrée

Des militants inquiets

  • Nestor Turcotte
  • 30 mars 2006
  • La Presse
  • 2006 textes seuls
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Commentaires de Nestor Turcotte

  • SAUVETAGE du PQ vs CHANGEMENT politique

    15 janvier 2012


    Il est trop tard: il ne peut plus y avoir de course à la chefferie au PQ dans l'immédiat. Les indications sont maintenant très claires: il y aura des élections générales au Québec en avril ou mai. Et peut-être avant.

    Alors, les «paulinistes» devront vivre avec les conséquences de leur geste. A savoir, comme le prévoit Drainville, la disparition du PQ.

    Et on recommence....

    NT

  • Tergiverser dans le néant référendaire ; mirage d'un parti sans conviction !

    13 janvier 2012


    Le commentaire précédent est signé: Nestor Turcotte
    Pardonnez-moi cet oubli...

  • Tergiverser dans le néant référendaire ; mirage d'un parti sans conviction !

    13 janvier 2012


    J'ai utilisé l'expression «République libre du Québec» en 1970, dans un discours à Mont-Joli (GASPÉSIE), lors de la première campagne électorale où le Parti québécois briguait les suffrages. J'étais, à trente ans, le deuxième plus jeune candidat du PQ, après Claude Charron.

    René Lévesque était devant moi, fumant sa cigarette. Il a fait la moue...lorsque j'ai prononcé ces mots. C'était sans doute trop «Pierre Bourgault» pour lui. Je ne l'ai pas trouvé drôle.

    Depuis, personne n'a répris cette expression. Surtout pas le député de ma circonscription, celle de Matane. Celle-ci étant disparue, le député orphelin se cherche un lieu pour se faire ré-élire. Vous avez une idée?

  • Oui, il faut un mât!

    2 novembre 2011


    Comme on ne peut pas tout dire dans un texte, je me permets une précision.

    J'ai toujours admiré René Lévesque. Ils nous faisaient vibrer lorsqu'il parlait. Ce n'est plus le cas de nos politiciens drabes qui aspirent à nous gouverner ou qui essaient de le faire.

    Pour le reste, j'ai toujours été en désaccord avec la position constitutionnelle de Lévesque. J'ai déjà mentionné ailleurs pourquoi. Il croyait à une CONFÉDÉRATION canadienne et non à l'indépendance nationale.

    Parlant de l'indépendance nationale, Marois a osé prononcer ces mots, hier, 1 novembre, devant la statue de René Lévesque. Ce dernier a sans doute bien ri dans son bronze novembre.

    NT

  • Drainville l'abdicateur

    27 août 2011


    Si vous proposez une fracture entre les générations, vous n'irez nulle part.

    L'indépendance, c'est pour tout le monde. Pas seulement pour les enfants...

    NT

  • J'ai décidé de rester au Parti Québecois

    19 août 2011


    Le PQ trouve toujours un agent double dans un démissionnaire. On se croirait dans une forme d'Inquisition bien connue.

    On a remplacé une Église par une autre. Et les pontifes sont implacables. Je connais leur eau bénite.
    NT

  • Un combat qui n’est pas livré!

    3 août 2011


    La situation est fort simple pour moi. Les premiers combattants pour l'indépendance ne faisaient pas dans la dentelle. Ils parlaient franc, clair et sur un ton décidé.J'en étais. Ils savaient rassembler, convaincre, et lutter sans cesse. Pas une fois de temps en temps, le temps d'une élection. Seul Parizeau, avec son «avant-pendant-après»,mérite le beau tire d'indépendantiste. C'est pourquoi, je le considère comme le plus grand chef d'État du Québec moderne, tout en admirant l'avancée énorme qu'à fait faire René Lévesque à la Laurentie.

    Aujourd'hui, la résignation et le silence concerté est de mise pendant que le pays se détruit et s'anémie de l'intérieur, pendant que les espérances s'estompent.

    Les députés péquisto-confédéralistes font des «saisons des idées», des consultations bidon, alors que l'idée, le moteur du changement, c'est l'indépendance. C'est ça, FAIRE AUTREMENT. Nous n'avons pas à chercher de nouvelles idées: il faut convaincre de la seule idée historique et logique qui convient à la nation québécoise: la liberté de décider. Je peux encore, malgré mes 71 ans, en faire la démonstration.

    Le député de chez nous (MATANE) fait (à partir du 15 août) une tournée (pré-électorale ?) pour savoir ce que les gens pensent de la politique. C'est fort, en maudit, ça! Hein ?

    On est loin de l'indépendance avec un tel discours édulcoré,une telle démarche qui verse dans le pragmatisme électoraliste. Il ne fait pas une tournée pour convaincre. Il fait une tournée pour «se» faire convaincre, pour savoir quel discours tenir pour plaire à tous, sans déplaire à personne, et préparer sa prochaine élection. On va loin en maudit avec une telle approche.

    La seule façon de faire autrement, c'est d'y aller visière levée. Il vaudrait mieux avoir 10 députés indépendantistes sur les banquettes de l'Assemblée que d'avoir des pleutres qui ne songent qu'à leur réélection. Qu'à gagner la prochaine période de questions et réponses orales.

    Où sont les braves combattants qui sacrifieraient un peu de leur confort et briseraient le mur de l'indifférence pour lancer un assaut historique, sans précédent ? On ne peut compter sur les jeunes: ils sont tous dépolitisés. On doit sonner le tocsin pour le retour des armées de réserve. Et je n'en vois pas d'autres que celles qui, jadis, ont si généreusement livré le combat, et que le temps à mis au rancart, victime du mépris des uns et de l'oubli des autres...

    NT

  • L’énigme de Kamouraska-Témiscouata

    1 décembre 2010


    Où sont passées les boîtes du scrutin pas anticipation?

    A la dernière élection, dans ce comté et celui de Sherbrooke, les boîtes du scrutin par anticipation sont arrivées en toute dernière heure, faisant gagner les deux candidats libéraux.

    Que s'est-il passé cette fois-ci? On dirait que les deux vieux partis se sont arrangés ensemble pour d'autres types d'échanges à déterminer.

    Je me demande s'il y a encore des démocrates au Québec...

  • Les « astuces » de Jean Charest

    1 décembre 2010


    Monsieur Tellier,

    On peut faire dire aux chiffres ce que l'on veut. Tout dépend de l'angle de chacun. Voici ma lecture.

    Le résultat de l’élection dans la circonscription électorale Kamouraska-Témiscouata est connu : le Parti québécois a gagné par 196 voix. Le taux de participation ressemble à celui de la dernière élection générale : autour de 58 %. Sur les 34,470 électeurs inscrits, 19 871 se sont déplacés pour aller voter, si on tient compte des 296 bulletins non valides ou rejetés. 14 599 électeurs, soit 42 % des électeurs inscrits sont tout simplement restés à la maison pour vaquer à leur occupation coutumière. Ces élections partielles n’ont pas semblé les captiver.Lediscours des Oppositions ne les ont pas dérangés.

    AA l’élection générale de décembre 2008, avec un taux de participation de 60 %, Claude Béchard avait récolté 11 048 voix (53 %); l’ADQ, en deuxième place, avait ramassé 4 436 voix (21,56 %) et le PQ, 4 351 voix, (21,15 %). A l’élection partielle du 29 novembre 2010, le PLQ perd 4031 voix, le PQ gagne 2 862 voix. Quant à l’ADQ, il fait un maigre gain de 73 voix.

    Les citoyens de Kamouraska-Témiscouata envoient donc à l’Assemblée nationale un nouveau député appuyé par 38 % des électeurs ayant mis leur bulletin de vote dans l’urne, mais dans les faits, il est appuyé par 38 % des 58 % des électeurs qui se sont déplacés pour aller voter. Le nouveau député a donc l’appui de 22 % des électeurs inscrits sur la liste électorale de la circonscription. 78 % des électeurs ne trouvent donc pas que le candidat péquiste rejoint leurs aspirations. C’est énorme. Comme le candidat libéral obtient sensiblement le même nombre de votes dans les boîtes de scrutin, on peut dire que 78 % des électeurs rejettent aussi le candidat libéral. Les partis traditionnels sont boudés par les 3/4 des citoyens.

    A l’échelle nationale, le dernier sondage CROP/La Presse donnait dernièrement 38% au PQ, 23 % au PLQ et 15 % à l’ADQ. Lors de l’élection partielle, le PQ récolte effectivement 38 %; le PLQ dépasse de 14 % les prévisions nationales et l’ADQ va chercher un 6 % de plus que les données du sondage.

    Le PLQ, malgré les scandales réels ou présumés, fait donc bon figure; le PQ, dans les circonstances, malgré les rumeurs de collusions, les allégations fondées ou pas, ne se surpasse guère. Si l’Opposition péquiste était véritablement la solution de rechange au gouvernement actuel, il aurait remporté l’ancienne circonscription du Ministre défunt Claude Béchard avec un résultat beaucoup plus convainquant. Seulement 22 % des électeurs inscrits sur les listes électorales trouvent qu’il est un choix judicieux et valable. Le PQ semble gagner par défaut.

    Le PQ tient tout juste la tête hors de l’eau. 78 % des électeurs inscrits sur les listes électorales sont répartis entre le PLQ, l’ADQ, Québec solidaire et le Parti vert, ne font pas confiance au Parti Québécois. Les indépendantistes qui œuvrent dans les rangs du parti de Pauline Marois doivent se poser de sérieuses questions. Ils sont loin d’un référendum gagnant sur l’indépendance du Québec. Pas étonnant que le chef du PQ ait biffé unilatéralement la tenue d’un référendum obligatoire, lors d’un nouveau et hypothétique premier mandat péquiste en 2013.

    A l’évidence, les Québécois mettent les deux vieux partis traditionnels nez à nez. Ils sont incapables d’opter pour l’ADQ, au programme flou et mal dessiné, ni pour les autres tiers partis qui, jusqu’à présent, restent un peu dans la marge. Ces données doivent faire réfléchir aujourd’hui les partisans d’une troisième voie.

    Le PLQ et le PQ ont tous les deux un chef qui ne rassemble visiblement pas les Québécois. Leur score électoral est similaire. Leur programme, à part une faible allusion à une hypothétique souveraineté du Québec, est sensiblement le même.

    Il reste encore au moins deux ans avant le prochain scrutin. Il y a visiblement un vide politique à combler au Québec. Y aura-t-il des gens sérieux, capables d’affrontrer les réalités vers lesquelles toute la société québécoise sera bientôt confrontée? Il reste peu de temps pour le savoir et le démontrer.

  • En vue du congrès du PQ

    1 décembre 2010


    Mon Tétraède,

    Vous dites que les indépendantistes doivent investir les instances du PQ. Est-ce à dire que toutes les instances de ce parti ne sont pas indépendantistes?

    NT

  • Nous ne pouvons nous permettre ni le luxe ni le loisir de recommencer à zéro

    1 décembre 2010


    N'ayant crainte: je n'ai aucun agenda, comme vous le dites dans vos propos. On a encore le droit d'exprimer des idées, je l'espère au Québec.

    Je persiste à croire que le PQ s'amuse avec les nerfs des électeurs.

    Faisons un retour.

    René Lévesque nous avait promis de faire une référendum sur l'indépendance du Québec. Il s'est contenté, en 1980, de faire un référendum sur des négociations avec le fédéral qui, si celles-ci avaient fonctionné, aurait conduit le Québec à rester dans la Confédération canadienne. Suite ensuite le «beau risque».

    Jacques Parizeau nous avait promis en 1995, de faire un référendum sur l'indépendance du Québec. En 1994,au cours de l'élection, il avait même rendu public la question. Selon lui, elle devait se lire comme suit: «Acceptez-vous que le Québec devienne souverain en date de ...?». La question posée fût modifiée. Pour ratisser plus large et pour faire plaisir à Lucien Bouchard le confédéraliste et Mario Dumon l'autonomiste, on a posé la question suivante: «
    Acceptez-vous que le Québec devienne souverain, après avoir offert formellement au Canada un nouveau partenariat économique et politique, dans le cadre du projet de loi sur l’avenir du Québec et de l’entente du 12 juin ? »

    Cette question demandait, comme en 9980, un mandat pour négocier, avec le statut d'une province, un nouvel arrangement qui aurait conduit le Québec, si cela avait fonctionné, à rester dans le Canada. (Thèse que soutenait Bernard Landry, lors de l'élection de 2003. Voir LE DEVOIR).

    Pauline Marois a biffé l'article I de son programme politique, sans consulter les membres dans un congrès général. Elle peut bien nous dire qu'elle veut un pays, mais elle commence drôlement de travers, en mettant de côté l'instrument pour le faire.

    Lévesque, Parizeau, et tous les autres nous avaient promis de faire un référendum sur l'indépendance du Québec. Personne ne l'a fait jusqu'ici. On s'est contenté de poser une question qui enrobe tellement le fond de la question qu'on ne sait plus trop sur quoi l'on vote quand on dit OUI ou NON.

    Si Pauline Marois est sérieuse, qu'elle donne, immédiatement la question référendaire qu'elle posera, éventuellement, si jamais elle devient PM du Québec.

    Je lui en suggère une. Celle qui a fait en 2006 du Monténégro un pays indépendant. Voici la question: «Acceptez-vous que le Monténégro devienne un État indépendant avec une pleine reconnaissance juridique et internationale ?» Transposons au Québec: « Acceptez-vous qque le Québec devienne un État indépendant avec une pleine reconnaissance juridique internationale?»

    Le 21 mai 2006, 55,4% des électeurs éligibles tranchent en faveur de l'indépendance. Cette victoire est arrachée de justesse puisque l'Union européenne, à laquelle le Monténégro souhaite adhérer, a fixé à 55% le seuil minimum pour légitimer la démarche d'indépendance.

    Pourquoi, le Québec n'est-il pas capable d'une aussi grande maturité? La réponse est simple. Il est colonisé et il aime le rester puisque ceux-là même qui veulent nous délivrer de cet état cultivent ce qu'ils dénoncent.

    Je croirai Madame Marois et tous ses acolytes, le matin où ils se lèveront et diront: Voici ce que sera la question à poer pour devenir indépendant. En attendant, nous vivons plus de 40 d'imposture...et ça continue. Parce que le pouvoir l'emporte sur les convitions.

  • Nous ne pouvons nous permettre ni le luxe ni le loisir de recommencer à zéro

    30 novembre 2010


    Mon commentaire ne s'est sans doute pas rendu. Je n'ai aucun problème pour «conférencer» sur le sujet.

    Avec période de questions à la fin. Ouvert au public. Bien sûr.

    Mon temps est limité. J'ai des engagements pour plus d'un mois après Noël. Et j'écris à chaque semaine dans les hebdos de la région. Ce ne peut être avant la fin de février.

    Nestor Turcotte

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Sources de Vigile

  • Vigile
  • La Presse canadienne
  • Le Droit
  • The Toronto Star www.thestar.com
  • http://lesaffaires.com
  • The Ottawa Citizen www.ottawacitizen.com
  • Le Québécois www.lequebecois.org/

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