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Nestor Turcotte

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Les coups de pied aux fesses...

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Il y a eu la révolution orange. Il y a eu la révolution de velours. Pourquoi pas la révolution bleue ?

  • Nestor Turcotte
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Un chef B+

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  • 16 décembre 2006
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Partez, monsieur Boisclair !

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  • Boisclair - chef du PQ
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Le coup de poignard de Lucien Bouchard

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Le Bloc, aux crochets d'Ottawa

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  • Le BQ prépare sa rentrée

Des militants inquiets

  • Nestor Turcotte
  • 30 mars 2006
  • La Presse
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Commentaires de Nestor Turcotte

  • Le vote souverainiste sera fortement divisé

    14 août 2012


    Vous me demandez pour qui voter?

    Franchement, je dois vous avouer que je ne peux pas voter PQ. Ce parti que j'ai fondé nous a tellement roulé dans la farine qu'il ne vaut plus la peine de le remettre au pouvoir.

    Si on le fait, il nous refera le même coup déjà fait deux fois. Je n'en veux pas un troisième. C'est un parti qui est devenu purement électoraliste, ressemblant encore moins à l'ancienne UNION NATIONALE. Je suis, historiquement, davantage fier de DANIEL JOHNSON (père) que de Pauline Marois.

    Alors, il me reste quoi pour exercer mon devoir de citoyen?

    PI n'existe pas ici. QS me désole sur bien des points. Et ON a un candidat qui est totalement inconnu et qui, de surcrôit, demeure en dehors de notre circonscription.

    Je penche pour la solution Chartrand. Si tous les indépendantistes annulaient leur vote, quelqu'un, quelqu'un part, arriverait peut-être à se réveiller.

    Nestor Turcotte

  • La démocratie «spéciale»

    18 mai 2012


    J'ajoute.

    Le PQ et Pauline n'ont rien d'autre à suggérer que la critique acerbe et manipulatrice. Pas de la grande politique. Seulement de la petite politique, à la petite semaine, aux couleurs des périodes des questions quotidienne.

    Je crois que le Parti de René Lévesque, le grand et l'unique, en aurait profité pour expliquer à la population ce que serait l'Université et les Collèges dans un Québec indépendant. Rien de cela. De la petite politique au carré rouge feutré. Toujours et seulement de la petite politique partisane, calculatrice, cherchant à ramasser des votes dans l'urne.

    Je me rappelle la loi matraque (car c'en était une) de Lucien Bouchard en 1999 (conflit des infirmières). Relisez ce que disait Marois à cette époque. Je vous le donne, car on l'a sans doute oublié.

    (citation)

    La ministre Pauline Marois (Ministre de la santé en 1999) a par ailleurs déclaré que le gouvernement était prêt à imposer toutes les sanctions prévues par la loi dans les cas de grève illégale. Selon elle : «Une grève illégale est inacceptable dans tous les secteurs de la société, et elle a des effets encore plus intolérables et difficiles dans le domaine de la santé puisque, dans les faits, ce sont les malades, qui ont besoin de soins, qui risquent d'en payer le prix.» Les sanctions prévues par la loi 160 comprennent entre autres des coupes salariales et la perte, pour les grévistes, d'années d'ancienneté, à raison d'une année par jour de grève. Il faudra attendre la fin du mois de juillet avant qu'un règlement ne soit adopté.

    Je me rappelle aussi de la loi matraque de René Lévesque qui a coupé unilatéralement les salaires des employés de l'État en 1982. Et vous savez qui était le négociateur en chef?

    Je me rappelle l'emprisonnement des chefs syndicaux en 1972. Qui recommandaient la désobéissance aux lois.

    Je me rappelle de quoi encore? Ah! on est bien une société bien spéciale. Depuis 50 ans, le Québec s'amuse à formenter des conflits. Ça aide les gouvernements à se faire réélire et ça évite aux citoyens de trouver, ensemble, une authentique et solidaire solution de rechange.

    Les étudiants se sont réveillés et descendus dans la rue pour de l'argent. J'aurais aimé qu'ils se réveillent et descendre dans la rue pour autre chose. Ils ont eu peur, comme toute notre génération, des années de turbulence

    Nestor Turcotte

  • La démocratie «spéciale»

    18 mai 2012


    Très cher Monsieur Beaupré,

    Tout ce que vous dites se tient.

    Mais, j'ai vu la démocratie étudiante, en allant assister à leur réunion. Si c'est cela qu'on a comme formule de remplacement, j'ai tout simplement peur. Ça sent la manipulation, le dogmatisme laïc, le «crois ou meurs»...Et le vote alors? Je n'ose écrire ce que j'en pense.

    Enfin, en ce bas monde, rien n'est parfait. Saint-Exupéry l'a dit...et redit...

    Nestor Turcotte

  • Indignons-nous!

    18 mars 2012


    Quelle la solution de rechange? Pauline Marois ? La bourgeoisie déguisée?

    NT

  • La bergerie de Bernard Landry

    15 mars 2012


    Chers lecteurs,

    Rentrant de voyage, je m'aperçois que je n'ai pas envoyé la version finale de mon texte à M. Frappier. Je me permets de vous l'envoyer. Le tout a été expédié également à tous les hebdos et tous les journaux quotidiens du Québec.

    Merci et mille excuses encore une fois à tous les lecteurs et lectrices de VIGILE.

    -----------------------------------------------------------
    La bergerie de Bernard Landry

    Le berger démissionnaire Bernard Landry souhaite le retour des brebis au bercail après avoir souhaité de départ de la bergère Pauline Marois. Jadis, le mot « bercail » était utilisé pour regrouper les brebis du Seigneur, afin qu’elles soient toutes dans la même bergerie, sous la houlette du même berger. Au Québec, même si on ne pratique plus tellement fort la religion catholique, le vocabulaire religieux d’antan imprègne toujours nos politiciens. Lucien Bouchard a déjà fait une campagne électorale avec le slogan : «J’ai confiance». Comme on disait jadis, on disait : « j’ai confiance en vous » (parlant du Cœur de Jésus.)

    Le mot « bercail » et le mot »bergerie » viennent de la même racine latine, du mot latin verberx, qui veut dire berger. Le bercail c’est le même berger. Le bercail, c’est la même bergerie. La même bergerie, c’est le même bercail, c’est le même berger.

    Monsieur Landry, qui jadis nous citait le latin lorsqu’il ne fallait pas condamner personne avant de l’avoir entendu, reprend, en sous-entendu, son latin de jadis, pour inviter les souverainistes à rentrer « au bercail ». Être sous la même houlette. Ce qui veut dire en politique : être sous le même berger et le même programme. Être dans la même mouvance, accepter la même voie. Le même projet !
    Or, Pauline Marois est peut-être la bergère des « souverainistes péquisto-confédératlistes », mais elle n’est pas la bergère des indépendantistes. Loin de là !
    Le programme de M. Aussant n’a rien à voir avec le programme du Parti québécois qui, - on commence à la dire, même dans les officines du PQ - n’est plus un parti indépendantiste. Il est devenu, au fil des ans, et surtout depuis le référendum de 1995, une nouvelle Union nationale, en format renouvelé, maquillé, métamorphosé dans les mots, mais semblable dans la pratique. Il a rayé de son programme politique l’article I (c’est la démocrate (?) Pauline qui a fait cela sans consulter les membres de son Parti, en convoquant un Congrès général) pour le remplacer par une vague expression qu’elle dénomme « gouvernance souverainiste ».

    Conséquemment, les brebis qui ont quitté la bergerie Marois et qui sont devenues les brebis de M. Aussant n’ont pas à rentrer dans la bergerie de Pauline Marois qui propose la «gouvernance souverainiste», ce qui veut dire en termes clairs, aller chercher plus de pouvoirs à Ottawa.
    On croirait entendre le Noblet Duplessis réclamant le « butin du Québec ». En d’autres termes, il faut travailler, selon le PQ renouvelé, à aller chercher le maximum de pouvoir à Ottawa, en attendant le grand soir repoussé aux calendes grecques.

    Les indépendantistes ne doivent pas répondre à l’appel de la cornemuse de M. Landry qui sonne le regroupement des nationalistes « jello » sous la bannière du PQ. Il sait très bien qu’en faisant cela, il est possible que le PQ prenne le pouvoir, mais il sait très bien aussi que le PQ ne peut faire l’indépendance avec un programme aussi mou, soluble, inconsistant. La démocratie exige qu’on travaille visière levée, avec un programme précis, une feuille de route impeccable.

    Ce parti (le PQ) n’a pas été créé pour faire de « la gouvernance souverainiste ». Tous les partis du Québec font cela ou ont déjà fait cela lorsqu’ils se battaient pour réclamer plus de pouvoir face au gouvernement central. Bourassa a fait cela. Jean Lesage a fait cela. Daniel Johnson aussi. François Legault fait exactement cela. Et Jean Charest ne fait que cela. Ils ont tous fait cela.Il faut se rappeler les mots de Pierre Bourgault : le PQ n’a pas été créé pour faire mieux ou comme les autres ; il a été créé pour faire «autrement». Et «autrement», ne signifie pas «faire de la gouvernance souverainiste». Faire «autrement», c’est faire l’indépendance.
    Si les brebis indépendantistes doivent se regrouper, c’est bien au sein d’Option nationale, dont le message est clair. Avis aux intéressés.

    Nestor Turcotte -Matane

  • Je loue le courage de Me Cloutier

    19 février 2012


    Le comité Marois est purement électoraliste. Il arrive, comme ça, à la veille d'un d'un scrutin. Vous ne trouvez pas que c'est arrangé avec le gars des vues.

    Comme le comité ne siègera qu'une fois par mois, il n'est qu'une farce de plus dans le programme péquisto-fédéraliste.

    Si les élections ont lieu en mai, le dit comité n'aura siégé que deux fois. Tout un exploit pour préparer l'indépendance du Québec.

    Farceurs...de farceurs...un fois de plus. Quand allons-nous comprendre que le PQ joue la plus grand vaudeville jamais présenté au Québec et qu'il y a encore des badauds qui s'amusent, à la levée du rideau.

    Nestor Turcotte

  • Toute une épopée pour un Conseil national de l’indépendance du Québec!

    5 février 2012


    90,000 membres au PQ?

    Sont-ils tous en règle? Le PQ a déjà eu 300 000 membres en règle...

    Monsieur Beaupré a raison: le PQ est un parti électoraliste. Point à la ligne. Il ne parle plus d'indépendance. De tout, sauf cela. Le seul parti, près de ce que nous voulions en 1970, c'est Option nationale. Le PQ? Une faible Union nationale. Moins que Daniel Johson...

    NT

  • Le temps est peut-être venu de tirer la plogue

    31 janvier 2012


    Il y a longtemps (enfin fait...depuis 1976) que j'ai tirai la plog.

    J'attends que tous les indépendantistes en fassent autant et se regroupent autour de Monsieur Aussant.

    Je pensais que le député de Matane le ferait et suivrait Monsieur Aussat. Il se dit un pur et dur de l'indépendance. Son parti est devenu une faible Union nationale. Et il semble aimer cela. Puisqu'il va, de nouveau se représenter. On ne sait pas exactement où...car la circonscription de Matane est disparue.

    L'indépendance semble être devenue sa dernière préoccupation. Sa priorité: se trouver une circonscription pour se faire élire. Il va être surpris, car il ne le sera pas. L'ON sera présent dans Matane avec un excellent candidat. A suivre !

    Nestor Turcotte

  • Mais où s'arrêtera donc le vaudeville péquiste ?

    24 janvier 2012


    Monsieur Cloutier,

    Je suis en accord avec vous: le monde ne s'est pas arrêté en 2003. Le monde du PQ, lui, a tout simplement dévié. J'ai lu vos analyses et dans l'ensemble, j'y souscris.

    Vous êtes habitué à vérifier les faits. J'en fait autant.

    1) En 2003, Landry à la barre du PQ, avait placé la chouveraineté comme vous dites à la 25e de ses priorités. Vrai ou faux?: VRAI. Je réponds voir la plate-forme électorale. Je l'ai encore. Et pour que le Québec reste fort, le PQ avait fait distribuer dans les Cégeps 30,000 condoms. Avec ça, on fait des enfants forts pour le Québec de demain.
    Lors de cette élection, je me suis présenté dans MATANE, comme candidat indépendantiste indépendant. J'ai jasé de l'indépendance du Québec bien plus que le PQ. Je fus, historiquement, le premier candidat indépendantiste du Québec.

    2) Après la saison des Idées, on adopte un excellent programme à Québec. Landry n'obtient pas son 80 % et se retire. Le chef donne tout un exemple. Pendant quelques années, Monsieur Landry ne se fait-il pas l'apôtre de l'union européenne,modèle à être implanté entre le Québec et le Canada? OUI.

    Michel Vastel, dans son livre sur Bernatrd Landry affirme que l'union européenne à la Landry n'est qu'une nouvelle présentation de la souveraineté-association.

    J'en aurais une bonne à vous raconter ici sur le libellé de la question référendaire de 1995, je vous raconterai lorsqu'on se verra...Vous n'en croirai pas de ...vos oreilles.

    3) Je me suis battu de toutes mes forces pour stopper l'élection de Boisclair à la tête du PQ. Avec sa feuille route, il a pris le champ. Est-il devenu, suite à sa démission, un soldat pour l'indépendance? Je vous laisse répondre.

    4) Vous avez suffisamment élaboré les raisons pour que Pauline Marois parte. Je n'y reviens pas. A moins d'un événement majeur au prochain Conseil national, elle sera là pour le prochain scrutin. J'ai déjà prédis la mort du PQ. Je l'enterre maintenant.

    Note: Quant à M. Duceppe, il ne nous sert pas présentement une grande leçon de combativité. Si ce que l'on raconte est bien vrai, je pense qu'on vient de perdre un parti propre au Québec

    Nestor Turcotte

  • "La madame" ira jusqu'au bout: ça surprend, mais c'est comme ça!

    24 janvier 2012


    Monsieur Gendron,

    Vous n'aurez pas à vous rendre chez les moines pour méditer sur les voies imprévisibles du Seigneur. J'y vais deux ou trois fois par année, mais pour d'autres raisons

    Le peuple a déjà donné son verdict. Et préparez-vous à construire du neuf. En renouant avec le passé oublié. Le début d'un long passé où la ferveur des militants l'emportait sur les calculs monétaires.

    Nestor Turcotte

  • Mais où s'arrêtera donc le vaudeville péquiste ?

    24 janvier 2012


    @M. Marineau

    J'ai défendu deux fois la bannière péquiste-séparatiste. Puis, en 1976, quelqu'un de l'extérieur, 3 semaines avant le scrutin du 15 novembre, s'est fait élire comme député dans la circonscription de Matane. il faut le faire !

    J'ai compris, à ce moment-là, que le PQ ne ferait jamais l'indépendance. A partir de 1976, j'ai compris que l'on reniait ce que l'on avait toujours prôné: on ne pouvait pas être un bon gouvernement, un authentique gouvernement, dans la Fédération canadienne.

    IL fallait sortir de la Fédération d'abord, puis, par la suite, avec tous les pouvoirs d'un État moderne, le Québec pourrait se doter d'un BON GOUVERNEMENT. Pas avant. C'est ce qu'on enseignait au peuple avant 1976. A partir de cette date, on a tout renié cela. Voilà le fond du problème.Il n'est pas ailleurs.

    Qui nous a conduit dans ce cul-de-sac? Le Grand René Lévesque. Pas étonnant que tout cela a débouché sur le beau risque. J'aime quand même M.Lévesque. Il a été un grand premier ministre.

    Monsieur Aussant semble reprendre le discours que j'ai tenu, lorsque j'étais candidat en 1970 et 1973. Un vote pour l'Option nationale (le nom de ce parti ne m'accroche guère) est un vote pour l'indépendance. Il n'y a aucune équivoque.

    Avec cette approche claire comme de l'eau de la source de la terre de chez nous, j'ai réussi, (avec un budget de 1,00O.OO$) à capter l'adhésion de 38 % des mes concitoyens. Le député actuel n'a guère obtenu plus que cette note, sans parle carrément de l'indépendance, comme tous les candidats de l'époque le faisaient.

    Si la lutte s'était poursuivie dans ce sens, en 1976, le PQ aurait été tout près du pouvoir, ou encore se serait fait élire. L'indépendance serait réalisée. LE QUÉBEC avait moins de 10 milliards de dette. Quelle chance manquée !

    Depuis ce temps, on cherche des formules; on crée des comités; on fait des colloques; on invente des Congrès qui bafouent les règles, etc...

    Si Monsieur Duceppe était vraiment un indépendantiste, il n'aurait fait ses élections, ses nombreuses élections, que sur l'indépendance.Il a préféré jouer le jeu lui aussi. Il l'a fait trois fois sur le scandale des commandites. On ne rallie pas les électeurs autour des cochonneries étalées dans le décor.

    Je suis maintenant trop âgé pour reprendre du service. JE m'amuse à rire quelque peu de ceux qui prônaient la voie qui les a menés tous dans un cul-de-sac...

    Bon courage à Monsieur Aussant...et à vous aussi.

    Nestor Turcotte

  • Mais où s'arrêtera donc le vaudeville péquiste ?

    24 janvier 2012


    Comme tout le monde, j'ai lu la lettre de Bernard Landry paru dans les journaux de Gesca, comme certains vigiliens parlent. Il invite les indépendantistes à mettre le cap sur l'indépendance. Quant on change de cap, sur un bateau, c'est qu'on allait dans une autre direction.

    Le PQ que M.Landry a dirigé avait-il mis le cap sur l'indépendance? NON. NON . NON.

    Relisez l'article que j'ai écrit en 2003: LE 25e carreau. Pour ceux qui l'auraient oublié, le PQ, ce moment-là, avait fait une élection sur 25 priorités. Savez-vous où le PQ dirigé par Monsieur Landry, en 2003, avait placé la souveraineté du Québec? Au 25e carreau. Allez voir dans vos archives. Pour un capitaine qui exige aujourd'hui que l'on mette le cap sur l'indépendance, c'est assez étonnant. Lorsqu'il était à la barre du bateau, il le conduisait où, à l'époque?

    Aujourd'hui, M. Landry nous parle de mettre le cap sur la souveraineté. Cela veut dire,si je comprends bien, que le parti qu'il dirigeait ne met plus le cap sur la souveraineté...et qu'il met le cap sur quelque chose d'autre.

    Ce quelque chose d'autre, ressemble à ce que proposait l'ancien premier ministre Landry, à savoir une union confédérale hypothétique. On fait de la gouvernance souveraniste, selon Marois, en attendant que les étoiles soit alignées pour faire un référendum sur quelque chose qui n'est pas précisé.

    Heureusement que M. Landry a corrigé le tir en 2005...mais, par la suite, il a quitté. Un Chef qui quitte après avoir bâti un solide programme, visionnaire, emballant, me laisse songeur.

    J'ai imaginé, un instant, ce matin que le PQ-Marois, qui est à 21 % selon le dernier sondage, aurait le double des suffrages des Québècois, soit 42 %.. Toute cette belle querelle de chapelle s'écroulerait. On se la fermerait tous...parce que le pouvoir serait à porter de mains. Mais tel n'est pas le cas.

    Landry propose de mettre le cap sur l'indépendance. Soi! Quelqu'un est-il capable, dans tout ce brouhaha et ces divisions intestines, dire de quoi aurait l'air le chemin pour y aller? C'est toujours le même scénario depuis 40 ans: si les sondages sont bons, on ne parle plus d'indépendance; si les sondages sont mauvais, on fait tout pour rapatrier les indépendantistes dissipés dans la nature.

    Et vous appelez ça encore une GRAND PEUPLE, un peuple qui se fait manipuler ainsi?

    Permettez-moi d'en douter.

    Nestor Turcotte

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  • Vigile
  • La Presse canadienne
  • Le Droit
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  • http://lesaffaires.com
  • The Ottawa Citizen www.ottawacitizen.com
  • Le Québécois www.lequebecois.org/

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